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Un véritable être humain est celui qui possède les nobles qualités de l’adhérence à la Vérité, au devoir, à la dévotion et à la discipline.
    


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C.R.I.-E.V.H. - n°12 2011 1° partie



CRI n°12  2011

1 ière partie 

 

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Les grand-mères vues par les enfants

 Site « Amour de lumière »



* Une grand-mère est une femme qui n'a pas d'enfant à elle, c'est pour ça qu'elle aime les enfants des autres.

* Les grand-mères n'ont rien à faire, elles n'ont qu'à être là.

* Quand elles nous emmènent en promenade, elles marchent lentement, à coté des belles feuilles et des chenilles. Elles ne disent jamais : « Avance plus vite, dépêche-toi ! »

* En général, elles sont grosses, mais pas trop, pour pouvoir attacher nos souliers.

* Elles savent qu'on a toujours besoin d'un deuxième morceau de gâteau, ou du plus gros.

* Une vraie grand-mère ne tape jamais un enfant, elle se met en colère en riant.

* Les grand-mères portent des lunettes, et parfois, elles peuvent même enlever leurs dents.

* Elles savent être sourdes quand il faut, pour ne pas nous gêner quand nous sommes maladroits.

* Quand elles nous lisent des histoires, elles ne sautent jamais un bout, et elles n'ont rien contre si on réclame la même histoire plusieurs fois.

* Les grand-mères sont les seuls adultes qui ont toujours du temps.

* Elles savent faire le geste qui fait du bien quand on a mal.

* Les grand-mères ne sont pas aussi fragiles qu'elles le disent, même si elles meurent plus souvent que nous.

* Tout le monde devrait essayer d'avoir une grand-mère, surtout ceux qui n'ont pas la télé.
 

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Le cadeau de Grand-mère

D. Trinidad Hunt

D'aussi loin que remontent mes souvenirs, j'ai appelé ma grand-mère Gagi. « Gaga » a été le premier mot qui est sorti de ma bouche lorsque j'étais bébé, et ma fière grand-mère était persuadée que j'essayais de dire son nom. Depuis ce temps, elle est restée ma Gagi.

À la mort de mon grand-père, alors âgé de 90 ans, mes grands-parents étaient mariés depuis plus de 50 ans. Gagi en ressentit cruellement la perte. Son centre d'attraction avait disparu de sa vie; elle se retira du monde et entra dans une longue période de deuil. Sa peine dura près de cinq ans, et pendant ce temps je pris l'habitude de lui rendre visite toutes les une ou deux semaines.

Un jour je rendis visite à Gagi, m'attendant à la trouver dans l'état passif habituel que je connaissais bien depuis le décès de mon grand-père. Au contraire, je la trouvai assise, rayonnante, dans son fauteuil roulant. Comme je n'avais pas été assez rapide à commenter son changement d'attitude évident, elle me provoqua.

« Ne veux-tu pas savoir pourquoi je suis si heureuse? N'es-tu pas curieux? »

« Bien sûr, Gagi, m'excusai-je. Pardonne-moi de n'avoir pas réagi assez vite. Dis-moi, pourquoi es-tu si heureuse? Pourquoi cette nouvelle attitude? »

« Parce que, la nuit dernière, j'ai obtenu une réponse, déclara-t-elle. J'ai enfin compris pourquoi Dieu a pris ton grand-père et m'a laissée derrière, seule et sans lui. »

Gagi était toujours pleine de surprises, mais je dois admettre que j'étais renversé par cette déclaration. « Pourquoi Gagi? », dis-je enfin.

Alors, comme si elle livrait le plus grand secret du monde, elle baissa le ton, se pencha vers moi dans son fauteuil roulant et me confia doucement : « Ton grand-père savait que l'amour est le secret de la vie et il le vivait tous les jours. Il était devenu l'amour inconditionnel en action. Je connaissais l'amour inconditionnel, mais je ne l'avais jamais vécu pleinement. C'est pourquoi il est parti en premier et pourquoi je devais rester derrière. »

Elle s'arrêta comme si elle pensait à ce qu'elle allait dire, puis continua : « Tout ce temps, j'ai cru que j'étais punie pour quelque chose, mais la nuit dernière j'ai découvert que le fait que je sois restée était un cadeau du Ciel. Il m'a laissée sur terre pour que je puisse transformer ma vie en amour. Tu vois, continua-t-elle, en pointant un doigt vers le ciel, la nuit dernière j'ai compris que les leçons ne s'apprenaient pas là-haut. L'amour doit se vivre ici, sur la terre. Une fois parti, il est trop tard. On m'a fait le don de la vie afin que j'apprenne à vivre l'amour ici et maintenant. »

À partir de ce jour, au fil des histoires de Gagi, chaque visite devint une nouvelle aventure. Une fois, alors que j'étais là, Gagi frappa sur le bras de son fauteuil avec animation et dit : « Tu ne devineras jamais ce que j'ai fait ce matin! »

Quand je répondis que je ne pouvais pas deviner, elle poursuivit avec fébrilité : « Bien, ce matin ton oncle était contrarié et fâché contre moi à propos d'une chose que j'avais faite. Je n'ai même pas bronché! J'ai reçu sa colère, je l'ai enveloppée d'amour et je la lui ai retournée avec joie. » Ses yeux brillaient lorsqu'elle ajouta : « C'était même plutôt amusant, et sa colère a disparu. »

Bien que la course inexorable du vieillissement se poursuivit, sa vie avait pris un tout nouveau sens. Visite après visite s'accumulaient les années au cours desquelles Gagi mettait en pratique ses leçons d'amour. Elle avait trouvé une raison de vivre, une raison pour continuer de grandir pendant les douze dernières années.

Dans les derniers jours de sa vie, je lui rendis souvent visite à l'hôpital. Comme je marchais vers sa chambre un jour, l'infirmière de service me regarda dans les yeux et dit : « Votre grand-mère est une dame très spéciale, vous savez... elle est une lumière ».

Oui, un but a éclairé sa vie et jusqu'à la fin, elle est devenue un phare pour tous ceux qui l'entouraient.
 

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UNE BONNE NOUVELLE

Parfois, l'idée du changement, nous fait remettre à demain ce qui, cependant, changerait radicalement notre bien-vivre !
L'habitude nous donne l'illusion qu'en laissant les choses ainsi notre vie sera plus facile. 

Plongez une grenouille dans une marmite remplie d'eau froide
Allumez un feu sous le récipient.
Laissez l'eau chauffer doucement. Elle est bientôt tiède. La grenouille trouve cela plutôt agréable et continue de nager.

Bientôt, la température grimpe. L'eau devient chaude. Cette chaleur fatigue la grenouille, qui ne s'affole pas pour autant.
Maintenant, l'eau est vraiment chaude. Sans aucun doute, c'est désagréable pour la grenouille qui s'est affaiblie. Pourtant, elle supporte et ne fait rien qui pourrait changer la situation.

Savez-vous ce que fera la grenouille quand la température aura atteint des sommets ? Elle se laissera tout simplement mourir, sans jamais lever la pate pour s'extraire de la marmite.

Or, si la même grenouille avait été plongée directement dans l'eau à 50°, elle aurait immédiatement donné le coup de patte qui l'aurait éjectée de cet enfer.

Vous l'aurez compris : la grenouille, c'est souvent nous !
Cette expérience montre qu'un changement qui s'effectue d'une manière lente et insidieuse échappe à notre conscience et ne suscite la plupart du temps aucune réaction.
Il ne faut pas avoir peur du changement. Au contraire, c'est un moteur formidable pour réagir, rebondir, bouleverser les petites habitudes mortifères d'une vie trop routinière.
 

"Vivre c'est ne pas se résigner"    Albert Camus

Relevons nos manches et le matin faisons en sorte que la journée honore notre vie !
On peut se faire soi-même, la vie aussi merveilleuse,  qu'on peut se la gâcher!!!...

Alors, puisque le bonheur dépend de nous, ce n'est pas UNE BONNE NOUVELLE ça ?
 

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La sébile

Extrait de “Rayons du soleil pour le Jeudi” par Prya et Sanjay Tandon

Un mendiant frappa à la cour d'un roi pour demander l'aumône. Le roi vit les vêtements en haillons du mendiant, son visage et ses membres maigres. Ses yeux semblaient ne regarder nulle part. Il ordonna que des bijoux précieux et de l'or soient mis dans la sébile du mendiant. Le mendiant tendit sa sébile et les hommes du roi y versèrent des pièces d'or, des rubis et des émeraudes. Le bol était à moitié plein. Le roi dit: « Remplissez le bol; donnez-lui en plus. » Donc, quelques bijoux furent rajoutés dans la sébile. Mais elle restait à moitié pleine. Le roi fit signe d’en donner encore. La reine se leva de son trône et enleva un collier précieux de son cou et le mit dans le bol du mendiant. Mais le bol était encore, à moitié plein.

Tout le monde était perplexe. Un ministre suggéra que l'homme avait faim, « Qu'il lui soit donné de la nourriture », dit-il. Le grand sac de grains fut versé dans la sébile. Curieusement, après cela le bol était encore à moitié plein. Le mendiant se tenait-là, sans un battement de paupière! Le roi ordonna que l’on donne des vêtements au mendiant. Mais le bol n’était toujours pas rempli.

À ce moment-là, une pauvre vieille femme vint à passer par la cour du roi et s'est arrêtée pour voir le spectacle. Elle regarda le mendiant et ses yeux se sont agrandis. Elle courut aussi vite que ses jambes pouvaient la porter et prit le mendiant dans ses bras. « Oh! Mon cher fils! Mon cher enfant! Où es-tu allé? Je t'ai cherché pendant des mois. Oh! Je suis reconnaissante à Dieu, je t’ai enfin trouvé. » La vieille femme, couvrait de baisers le front du mendiant et lui caressait les cheveux en désordre et emmêlés. Elle s'adressa au roi et dit: «Mon Seigneur, c'est mon fils. Il a perdu la mémoire. Maintenant, je l'ai retrouvé. S'il vous plaît permettez-moi de le ramener à la maison. »Des larmes de joie coulaient sur ses joues ridées tandis qu’elle embrassait le mendiant sur la poitrine.

Le ministre du roi jeta un regard vers la sébile. Elle était pleine! Il n'en croyait pas ses yeux. Rien, apparemment rien, n'avait été rajouté. Mais le bol n'était pas seulement plein, il débordait!

Une voix, qui semblait venir de nulle part et de partout, dit: «La sébile est pas un bol ordinaire. Elle est composée du cœur humain. Homme savez-vous! Aucune quantité de bijoux, d'or, de céréales ou de beaux vêtements ne pourra jamais la remplir. Elle ne peut être remplie que par une seule chose. Et c'est l'AMOUR! »
 
 

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LA FORTUNE DANS LE PUITS  

 Extrait de “Rayons du soleil pour le Jeudi” par Prya et Sanjay Tandon



Un homme a hérité une fortune de son oncle. Il ramena chez lui une importante somme d'argent et d'or. Ce soir-là, il était assis à l’arrière dans son jardin quand il crut entendre quelqu'un chuchoter. Il tendit l'oreille pour saisir les paroles étouffées et entendit,  « bijou à minuit cacher tranquillement »

L'homme soupçonnait quelque chose de louche et a immédiatement appelé sa femme, « Écoute ma chérie, je suis inquiet pour la sécurité de notre gros héritage, je pense que nous devrions le mettre dans une malle et le cacher dans notre jardin derrière. » La femme écarta les sourcils, surprise que son mari lui dise cela d’une façon si audible. Mais il lui fit signe de garder le silence et de le suivre dans la maison.

Bientôt, le couple ressortit de la maison traînant un volumineux et lourd coffre de fer. Un cadenas était suspendu au verrou. Ils ont traîné le coffre jusqu’au puits et ont réussi à le jeter dedans. Celui-ci a touché le fond du puits avec un grand floc. L'homme poussa un soupir de soulagement et dit: «Enfin, maintenant, nous pouvons dormir en paix. Viens, rentrons à l'intérieur. »

Les cambrioleurs ont observé attentivement chaque mouvement. Ils étaient ravis de ne pas avoir à faire d'exercice risqué pour faire irruption dans la maison. Récupérer le coffre dans le puits, serait un jeu d'enfant, pensaient-ils. Ils furent heureux de trouver près du puits, un seau couché avec une corde. Furtivement ils firent descendre le seau dans le puits et tirèrent un seau plein d'eau. Le chef des cambrioleurs dit laconiquement: «Nous devons tirer rapidement toute l'eau, seau par seau. Bientôt nous serons en mesure de tarir le puits. Ensuite, nous pourrons descendre dans le puits et récupérer le trésor du coffre. Cette corde devrait être assez forte pour nous remonter. Je vois qu'elle est solidement fixée à cet arbre. »

Les cambrioleurs ont vidé l'eau du puits aussi vite qu'ils le pouvaient. Comme l'eau  commençait à s’écouler aux alentours du puits, dans l'obscurité de la nuit, le propriétaire de la maison intelligemment canalisa l'eau vers sa culture de riz dans le champ contigu! Bientôt le propriétaire estima que le débit de l'eau diminuait. Il s'est rendu compte que les voleurs avaient sans doute vidé la majeure partie de l'eau du puits.

Il remarqua qu'un à un tous les voleurs étaient descendus dans le puits. Le propriétaire se glissa jusqu'à l'arbre et défit le nœud de la corde!
Quelques minutes plus tard il a entendu un tumulte du fond du puits. « Qu'est-ce que c'est ? Ce coffre est plein de vieux ustensiles et des pierres! » « Oh Seigneur! Où sont les pièces de monnaie en or ? » « Laissez-moi voir » Après avoir réalisé qu'ils avaient été dupés, le chef des cambrioleurs saisit la corde et dit:« Je pense que nous devons maintenant sortir précipitamment. Nous avons été trompés! » Dès qu'il tira sur la corde pour se hisser, la corde s'est écroulée sur sa tête. « Nous avons été dupés par deux fois!  »  Gémissait-il.

Par sa présence d'esprit le propriétaire avait sauvé sa fortune.
Être capable de faire la bonne chose au bon moment, fait toute la différence!

Le bon sens est rarement commun. L'histoire nous apprend que, lorsque la NASA a commencé le lancement d'astronautes dans l'espace elle a constaté que les stylos ne fonctionneraient pas en apesanteur car l'encre ne s’écoulerait pas. La NASA a consacré une somme exorbitante d'argent, sur une période de dix ans, pour développer un stylo qui fonctionnerait par n’importe quelle sorte de gravité, température, pression, etc.. Les Russes ont simplement utilisé un crayon! La différence réside dans la façon dont vous abordez le problème.
 

La sagesse n'est rien de plus que l'application du bon sens en temps opportun.

 

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KRACK-TRACK - KRACK –TRACK

Extrait de “Rayons du soleil pour le Jeudi” par Prya et Sanjay Tandon

Dans un village il y avait un puits, où l'eau était tirée par un taureau qui était attaché à une énorme roue en fer.  Comme le taureau tournait sur un chemin  circulaire autour du puits, la roue se déplaçait et de l'eau était remontée. Tout le temps que le taureau était au travail et que l'eau coulait, il y avait un bruit krack-track-krack-track venant de la vieille roue bancale.

Certaines femmes remplissaient des pots à eau et les emportaient à la maison pour la cuisine. Il y en avait d'autres assises à proximité qui lavaient des vêtements. Tout semblait se passer dans une parfaite harmonie au son de la musique Krack-track-krack-track jouée en arrière-plan. Un roi arriva au galop, par ce chemin. Son cheval avait soif. Il a appelé un villageois qui était assis à proximité. «Mon cheval a soif. J'ai besoin d'un peu d'eau. » Le paysan poussa le taureau et dès que le taureau a commencé à se déplacer sur sa piste circulaire, l'eau a commencé à couler au son du krack-track-krack-track. Le paysan dit: «L'eau coule maintenant, amenez ici votre cheval et laissez-le étancher sa soif. » Le roi conduisit le cheval au jet d'eau, mais le cheval hésitait en raison du craquement. Le roi essaya à plusieurs reprises, mais il semblait que le cheval avait peur du bruit. Le roi dit: «Arrêtez le bruit, mon cheval en a peur. » Le paysan dit: «Si je dois arrêter ce bruit, je vais devoir arrêter le taureau, le bruit s’arrêtera, mais aussi le débit de l'eau. Si le cheval a besoin d'avoir de l'eau, il doit l'avoir avec le bruit. Il n'y a rien que je puisse faire pour vous donner de l'eau sans le bruit! »

Ainsi, le cheval après beaucoup de paroles rassurantes dût affronter la situation et eut l'eau au son du krack-track-krack-track.
Nous comportons-nous aussi comme le cheval? Offrons-nous aussi des excuses pour ne pas faire ceci ou cela? Attendons-nous demain pour avancer dans la vie et pour commencer à faire certaines choses? Attendons-nous que nos enfants se marient, avant de commencer à aider dans la société? Attendons-nous que nos enfants aient passé leurs examens avant de commencer à faire une promenade? Attendons-nous d’avoir gagné une certaine somme, avant de commencer à faire un don pour les moins chanceux?
 

Le temps et la marée n'attendent pas. Si vous voulez vraiment faire quelque chose, commencez à le faire dès maintenant.
Faites-le pendant que vous le pouvez, car qui sait si vous pourrez, ou non, être en mesure de le faire plus tard.

 

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L'ancien téléphone –


Quand j'étais jeune, mon père était l'un des premiers à avoir le téléphone dans notre quartier. Je me souviens de l’ancien boitier poli fixé au mur. Le brillant récepteur pendait sur le côté de la boîte. J'étais trop petit pour atteindre le téléphone, mais j’avais l'habitude d'écouter avec fascination lorsque ma mère lui parlait.

J'ai ensuite découvert que quelque part dans le merveilleux appareil se trouvait une personne étonnante. Son nom était « Les renseignements s'il vous plaît » et elle n’ignorait rien. « Les renseignements s’il vous plaît » pouvaient fournir n’importe quel numéro et l’heure exacte.

Mon expérience personnelle avec le génie-dans la bouteille- arriva un jour alors que ma mère était en visite chez un voisin. Je m’amusais sur l’établi au sous-sol, lorsque je m’écrasai le doigt avec un marteau, la douleur était terrible, mais cela me paraissait inutile de pleurer parce qu'il n'y avait personne à la maison pour me témoigner de la sympathie...

Je me promenais dans la maison suçant mon doigt lancinant, finalement j’arrivais à l'escalier. Le téléphone! Rapidement, j'ai couru chercher le tabouret dans le salon et le traînais sur le palier. Je grimpais dessus et décrochais le récepteur dans le salon et le portais à mon oreille. «Les renseignements, s'il vous plaît » dis-je dans l’endroit pour parler juste au-dessus de ma tête.
Un clic ou deux et une petite voix claire parla dans mon oreille.
 «Les renseignements».
« Je me suis blessé le doigt ... » J'ai pleuré dans le téléphone, les larmes me vinrent assez facilement maintenant que j'avais eu une audience.

Arriva la question : « Ta mère n’est pas à la maison? ».

 « Non il n’y a personne et moi je pleure. »

«Est-ce que tu saignes? Dit la voix posément..

 «Non, » lui répondis-je. «J'ai frappé mon doigt avec le marteau et ça fait mal. »

« Peux-tu ouvrir la glacière? » Demanda-t-elle.

J'ai dit que je pouvais.

« Prends un peu de glace et met-la sur ton doigt, » dit la voix.
Par la suite, j'ai appelé «Les renseignements, s'il vous plaît » à propos de tout. Je lui ai demandé de m’aider pour ma géographie, et elle m'a dit où se trouvait Philadelphie. Elle m’a aidé pour mes maths. Elle m'a dit que l’écureuil que j'avais attrapé la veille dans le parc mangeait des fruits et des noix.

Puis, il y eut l’époque où Petey, notre canari, est décédé. J'ai appelé, «Les renseignements, s'il vous plaît », et lui ai raconté la triste histoire. Elle écouta, puis dit des choses que les adultes disent pour calmer un enfant. Mais je n'étais pas consolé. Je lui ai demandé: «Pourquoi les oiseaux qui chantent si merveilleusement et apportent de la joie à toutes les familles, finissent comme un tas de plumes sur le fond d'une cage? »

Elle a dû sentir ma profonde préoccupation, car elle dit tranquillement: «Wayne souviens-toi toujours qu'il existe d'autres mondes pour chanter. »
D'une certaine façon je me sentais mieux.

 Un autre jour, j'étais au téléphone, «Les renseignements, s'il vous plaît »

«Les renseignements,», a déclaré la voix désormais familière. « Comment épeler fixer?” Demandais-je.

 Ceci se passait dans une petite ville dans le Pacifique Nord-Ouest. Quand j'avais neuf ans, nous sommes partis à Boston. Mon ami «Les renseignements, s'il vous plaît » me manquait beaucoup, il était dans cette vieille boîte en bois à la maison et je n'ai jamais pensé en quelque sorte d'essayer le téléphone flambant neuf qui était posé sur la table dans le hall. En grandissant tout au long de mon adolescence, les souvenirs de ces conversations enfants ne m'ont jamais vraiment quittés.

Souvent, dans les moments de doute et de perplexité, je me souvenais du sentiment de sérénité
que j'avais alors. J'appréciais maintenant combien la patience, la compréhension, et la gentillesse qu’elle avait d'avoir passé son temps avec un petit garçon.

Quelques années plus tard, en route pour l'université de l'Ouest, mon avion fit une escale à Seattle. J'avais environ une demi-heure entre les deux avions. J'ai passé environ 15 minutes au téléphone avec ma sœur, qui habitait là-bas. Ensuite, sans penser à ce que je faisais, j'ai composé l’opérateur de ma ville natale et lui dit: «Les renseignements, s'il vous plaît »
Miraculeusement, j'entendis la petite voix claire que je connaissais si bien : «Les renseignements».

Je n'avais pas prévu ça, mais je me suis entendu dire: «Pourriez-vous me dire s'il vous plaît
comment épeler fixer? »

Il y eut une longue pause. Puis vint la réponse d’une voix douce, «Je suppose que votre
doigt doit être guéri maintenant. »
J'ai ri, «Alors, c'est vraiment toi, dis-je. «Je me demande si tu as une idée de ce que tu représentais pour moi à cette époque? »

« Je me demande, dit-elle, « si tu savais l’importance que ton appel avait pour moi. Je n'ai jamais eu d'enfants et je me réjouissais de tes appels. »

 Je lui ai dit combien de fois j'avais pensé à elle au fil des ans et lui ai demandé si je
pourrais la rappeler quand je reviendrais rendre visite à ma sœur.

«S'il vous plaît », dit-elle. « Il suffit de demander Sally. »

Trois mois plus tard, j'étais de retour à Seattle. Une autre voix répondit : «Les renseignements».
J'ai demandé Sally.
«Êtes-vous un ami? » dit-elle.

« Oui, un très vieil ami, » lui répondis-je.
«Je suis désolé d'avoir à vous dire ceci, dit-elle. "Sally travaillait à temps partiel ces dernières années car elle était malade. Elle est morte il ya cinq semaines. »

Avant que j'aie pu raccrocher elle dit, « Attendez une minute, vous avez dit votre nom était
Wayne? » «  Oui. » Répondis-je.

«Eh bien, Sally a laissé un message pour vous. Elle l'a écrit au cas où vous appelleriez.
Permettez-moi de vous le lire. »

La note disait: «Dites-lui il y a d'autres mondes pour chanter. Il saura ce que je veux dire. »
Je l'ai remerciée et ai raccroché. Je savais ce que Sally voulait dire.

Ne sous-estimez jamais l'impression que vous pouvez faire sur les autres. Quelle vie avez-vous croisée aujourd'hui?
Prenez du recul. Puissiez-vous trouver la joie et la paix.
 

La vie est un voyage ... PAS une visite guidée.
Alors ne manquez pas le départ, le temps passe et vous n’aurez pas une deuxième occasion.


 

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UN BIENFAIT N’EST JAMAIS PERDU

 
Je trouve que cette histoire est trop belle pour la garder pour moi.
 
C’est pourquoi je la dédie à tous ceux qui pensent faire le bien afin qu’ils soient édifiés.
 
Bryan roulait sur une route quasi déserte lorsqu'il vit une Mercedes en panne sur le côté de la route. Malgré la faible lumière du jour, il aperçut la conductrice, une vieille dame qui avait l'air complètement affolée.
 
Il s'arrêta devant la Mercedes, sortit de sa vieille Pontiac et se dirigea vers la pauvre dame désespérée. Malgré le sourire qui se dessinait sur son visage, il sentit combien elle était effrayée. Depuis le temps qu'elle attendait, personne ne s'était arrêté. Ce jeune homme, allait-il lui faire du mal?
 
Il pouvait voir qu'elle était effrayée, debout dans le froid, près de sa voiture. Elle grelottait, la peur tout autant que le froid lui donnaient la chair de poule.
 
Bryan perçut sa peur.
« Je vais vous aider Madame, dit-il, allez-vous asseoir dans la voiture où il fait un peu plus chaud... Mon nom est Bryan Anderson »
 
Il constata qu'elle avait une crevaison; mais en raison de son âge avancé, elle ne pouvait rien faire toute seule.
 
Bryan s'accroupit, regarda sous la voiture pour voir comment placer le cric, se frotta les mains pour se réchauffer les doigts et se mit au travail. Elle vit qu'en remplaçant le pneu, il s'était sali et blessé à une main.
 
Pendant qu'il resserrait les écrous, elle abaissa sa vitre et commença à lui adresser la parole.
 
Elle lui expliqua qu'elle était de St Louis et était juste de passage. Elle ne pouvait pas assez le remercier pour son aide.
 
Bryan souriait en refermant le coffre. La dame lui demanda combien elle lui devait. Elle lui dit que son prix n'avait pas d'importance tellement elle avait eu peur, s'étant imaginée les choses affreuses auxquelles elle aurait été exposées s'il ne s'était pas arrêté.
 
Bryan lui répondit qu'il n'avait pas à être payé. Ceci n'était pas un travail pour lui. Il n'avait fait qu'aider quelqu'un dans le besoin. Sa conscience seule savait combien de fois des gens l'avaient aidé dans le passé. Il menait son existence de cette manière et il ne lui venait pas à l'esprit d'agir autrement. Il lui dit que si elle voulait vraiment le payer de retour, la prochaine fois qu'elle verrait quelqu'un dans le besoin, elle devrait donner à cette personne l'assistance nécessaire; et il conclut, « Souvenez-vous de moi »
 
Il attendit qu'elle démarrât son véhicule pour s'en aller. C'était une belle journée froide, la vie n'était pas facile pour lui en ce moment, mais il se sentait bien en prenant le chemin de la maison.
 
A quelques kilomètres de là, la vieille dame trouva un restaurant. Elle y entra pour se réchauffer et prendre une collation avant de continuer sa route.
 
C'était un restaurant modeste devant lequel se trouvaient deux vieilles pompes à essence .La serveuse l'accueillit et lui offrit une serviette propre pour sécher ses cheveux mouillés.
 
Elle avait un gentil sourire malgré le fait qu'elle était debout toute la journée. La vieille dame remarqua que la serveuse était enceinte d'environ huit mois mais que ni l'effort ni le travail ne lui enlevaient sa bonne humeur.
 
La vieille se demanda comment une personne avec si peu de moyens pouvait être si généreuse envers une étrangère.
 
Aussitôt, elle se souvint de Bryan. Quand elle finit son repas, elle paya avec un billet de 100 €. La serveuse alla vite chercher la monnaie. Mais la dame se faufila dehors, quittant avant que la serveuse ne soit de retour.
 
Lorsque la serveuse revint, elle se demanda où la cliente pouvait bien se trouver.
 
Elle remarqua alors une note sur la serviette de table.
 
Des larmes coulèrent de ses yeux quand elle lut ce que la vieille lui avait écrit :
« Vous ne me devez rien. Je suis aussi passée par-là. Quelqu'un m'a aidée à m'en sortir comme je le fais pour vous. Si vous voulez réellement me payer de retour, voici ce qu'il faut faire : ne permettez pas à cette chaîne d'amour de prendre fin avec vous »
 
Et sous la serviette de table, il y avait quatre autres billets de 100 €. He bien ! Même s'il y avait des tables à nettoyer, des boîtes de sucre à remplir, la serveuse décida de le faire un autre jour.
 
Elle rentra chez elle, et en se mettant au lit, elle pensa à l'argent et à ce que la vieille lui avait écrit.
 
Comment la dame aurait-elle pu savoir qu'elle et son mari en avaient besoin ? Avec un bébé le mois suivant, cela s'annonçait très dur. Elle savait combien son mari était inquiet et en se glissant près de lui, elle lui donna un doux baiser et chuchota doucement à son oreille :
« Tout ira bien. Je t'aime, Bryan Anderson »
 
Il y a un vieux dicton qui dit « UN BIENFAIT N'EST JAMAIS PERDU », les mains ouvertes finissent par attraper quelque chose.
 
Aujourd'hui, je vous envoie cette histoire. Je vous prie de la faire circuler. Permettez que cette lumière brille. Ne la supprimez pas !
 

S'il vous plaît, passez- la à un ami. Les bons amis sont comme des étoiles...
Vous ne les voyez pas toujours… Mais vous savez qu'ils sont toujours là.
 

BONNE JOURNÉE À VOUS TOUS !
 
Ne nous lassons jamais de faire du bien, non jamais
 

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Date de création : 04/03/2011 @ 19:34
Dernière modification : 05/03/2011 @ 15:38
Catégorie : C.R.I.-E.V.H.
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Pensée du jour
 
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L’homme doit toujours avancer vers la force ; il ne devrait pas se réfugier dans le mensonge, la méchanceté et la malhonnêteté qui sont les caractéristiques fondamentales de la lâcheté. Cette lâcheté est née de l’acceptation d’une image fausse et inférieure de nous-même. Vous pensez que vous êtes l’enveloppe, la couche extérieure, mais vous êtes en réalité le noyau, le cœur. Cette fausse identification est l’erreur fondamentale. Tout effort spirituel doit être dirigé vers la suppression de l’enveloppe et la révélation du noyau central. Aussi longtemps que vous dites « Je suis Untel », vous êtes obligé d’avoir peur, mais une fois que vous dites et éprouvez « Je suis Brahman », vous obtenez une force invincible.
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Juste


C'était aussi un 14 Octobre
1964

Martin Luther King reçoit le prix Nobel de la Paix et Kroutchev est destitué.


Né(e) un 14 Octobre 1967
Gérard De Palmas

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France France : 10
Russia Russia : 1
Saudi Arabia Saudi Arabia : 6
United States United States : 18

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3
Australia Australia 141
Austria Austria 12
Belarus Belarus 1
Belgium Belgium 23
Bhutan Bhutan 1
Bolivia Bolivia 2
Brazil Brazil 3
Bulgaria Bulgaria 4
Canada Canada 107452
Canada Canada 132737
Canada Canada 171817
Canada Canada 235167
Canada Canada 243310
Canada Canada 309781
Canada Canada 325312
Canada Canada 492515
China China 30
Czech Republic Czech Republic 47
Denmark Denmark 2
Europe Europe 33
Finland Finland 4
France France 2631
Georgia Georgia 1
Germany Germany 423
Greece Greece 44
Guinea Guinea 7
Hong Kong Hong Kong 6
Hungary Hungary 2
India India 5
Indonesia Indonesia 3
Iran Iran 1
Ireland Ireland 5
Italy Italy 370
Japan Japan 373
Kazakhstan Kazakhstan 7
Korea Korea 1
Laos Laos 1
Lebanon Lebanon 4
Lithuania Lithuania 40
Luxembourg Luxembourg 1
Malaysia Malaysia 1
Mexico Mexico 2
Nepal Nepal 1
Netherlands Netherlands 66
New Zealand New Zealand 313
Norway Norway 175
Peru Peru 1
Poland Poland 38
Portugal Portugal 9
Romania Romania 31
Russia Russia 3639
Saudi Arabia Saudi Arabia 5750
Serbia Serbia 2
Slovenia Slovenia 9
Spain Spain 12
Sweden Sweden 219
Switzerland Switzerland 374
Taiwan Taiwan 2
Thailand Thailand 3
Turkey Turkey 1
Ukraine Ukraine 18
United Kingdom United Kingdom 797
United States United States 109043
United States United States 109043
United States United States 109043
United States United States 109043
United States United States 129501
Uzbekistan Uzbekistan 1
Venezuela Venezuela 1
Vietnam Vietnam 1

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