La bouée de sauvetage
Bouée de sauvetage
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C.R.I.-E.V.H. - n°06 2006 1° partie
C.R.I.- E.V.H. n° 6 1ère partie
La recherche de la véritable félicité, nécessite d’être sincère avec soi-même. L’opinion ou l’approbation des autres n’a aucune importance. La seule chose capitale est, comment approfondir cette félicité et comment éloigner tout ce qui peut l’obscurcir. La pratique de l’assise silencieuse, nous permet de savoir exactement ce que nous devons faire. Les jugements de la plupart des gens sont incertains et peuvent être influencés par leur conditionnement et illusions personnels.
Pastel1995 – école des loisirs – Vivian French
Mais, petit crapaud n’avait pas envie de dormir. Les yeux grands ouverts, il regardait autour de lui. Un bélier broutait dans la prairie. Il entendit la chanson de maman crapaud et vit les grands yeux de bébé crapaud. -Oh là là ! suis-je bête ! Et elle berce bébé crapaud en chantant : Bêêêê ! Bêêêê … Bêêêê… Une cane remontait la rivière avec ses canetons. Elle entendit la chanson de maman crapaud et les grands yeux brillants de petit crapaud.- Maman crapaud, petit crapaud ne s’endormira jamais si tu bêles ainsi. -Oh là là ! suis-je bête ! Et elle berce tendrement bébé crapaud en chantant : coin, coin, coin !!! Un rossignol était perché dans l’arbre. Il entend la chanson de maman crapaud et voit briller les grands yeux de bébé crapaud. Le bélier et la cane écoutaient. Maman crapaud écoutait et une larme d’argent brillait au bord de ses paupières. Comme c’est beau ! dit-elle. Elle poussa un gros soupir : jamais je ne pourrais chanter aussi merveilleusement ! et une larme d’argent tomba sur le berceau de petit crapaud. Maman ! maman ! appelait petit crapaud. -Petit crapaud, quand vas-tu enfin t’endormir ? Alors maman crapaud chanta : Petit crapaud ferma les yeux et s’endormit.
Le charpentier accepta, mais on voyait facilement qu’il ne travaillait plus de bon cœur. Il utilisa des matériaux de seconde qualité et l’exécution laissait à désirer. C’était une triste façon de finir sa carrière.
Quel choc ! Quelle honte ! Si seulement il avait su qu’il construisait sa propre maison, il aurait fait autrement, maintenant il devra vivre dans une maison mal construite.
« Votre vie est votre projet personnel réalisez-le. » En parlant plus clairement : « Votre vie d’aujourd’hui, est le résultat de vos actes et de vos choix du passé.
Le maître vit la grimace du disciple, il se pencha avec sympathie et consternation : « Oh ! rien, » répondit le disciple. « Oh, oh ! Une mouche dans le thé ! » dit le Maître à voix basse. Avec grand soin il retira la mouche et quitta la pièce. Ensuite le Maître revint vers son disciple et dit : Tandis que le disciple était abasourdi par la compassion du Maître, celui-ci ajouta : « Sers-toi des choses et aime la vie, si tu n’aimes pas les choses tu maltraites la vie. »
Assis en tailleur dans la petite pièce où le maître vivait reclus, les trois jeunes le virent apparaître derrière la fumée des encensoirs et écoutèrent sans bruit ce qu'il avait à leur dire. « Avant de pouvoir atteindre les cîmes de la sagesse, vous devrez apprendre à supporter la solitude. 100 jours sans voir âme qui vive, seuls dans le désert.
Il accueillit son élève avec ces paroles: Tu es désormais un sage, car tu sais que pour affronter nos peurs il nous faut non seulement affronter l'opinion que nous avons de la chose, mais surtout la chose directement. »
Les enfants affamés se précipitèrent autour du panier et la plupart se disputèrent pour le pain, chacun voulait prendre le morceau le plus gros. Mais Gretchen, une pauvre petite fille ne se disputa pas ni ne lutta avec les autres enfants. Elle resta tranquille sur le côté. Lorsque les enfants mal éduqués partirent elle prit le plus petit pain dont personne n’avait voulu, embrassa la main du boulanger et repartit chez elle.
Lorsque la petite fille transmit le message de sa mère à l’homme riche celui-ci dit : « Non mon enfant, ce n’est pas une erreur, j’ai mis ces pièces dans le plus petit pain pour te récompenser. Soit toujours contente, gentille, reconnaissante comme tu l’es maintenant. Retourne chez toi et dis à ta mère que cet argent est le tien. »
Elle avait six ans, lorsque je la rencontrais la première fois sur la plage, non loin d’où j’habitais. Je répondis d’un signe de tête, je n’étais pas d’humeur à être dérangé par une petite enfant.
« Comment t’appelles-tu ? » elle ne voulait pas abandonner. En dépit de ma mélancolie, je riais aussi en m’éloignant. La musique de son rire me suivait. Je venais de passer quelques jours avec un groupe de scouts indisciplinés, des réunions et une mère souffrante ; un matin, tandis que le soleil brillait, après avoir fait la vaisselle, je me dis à moi-même, en mettant ma veste : « J’ai besoin d’une bécasse. » Le spectacle apaisant du bord de mer m’attendait. La brise était fraîche mais j’avançais à grands pas essayant de retrouver la sérénité dont j’avais grand besoin. « Hello monsieur P ! »dit-elle : « Tu veux jouer ? » En la regardant, je remarquais la délicatesse de son visage. « Où habites-tu ? » Elle bavardait, pendant que nous nous promenions sur la plage, mais j’avais la tête ailleurs.
Elle paraissait inhabituellement pâle et essoufflée. « Oh ! « dit-elle calmement, « alors c’est une mauvaise journée. »
Une jeune femme aux traits tirés et aux cheveux couleur miel ouvrit la porte. « Monsieur Peterson, Wendy est morte la semaine dernière. Elle avait une leucémie. Peut-être ne vous l’avait-elle pas dit ? » Sa voix trembla : « Elle a laissé quelque chose pour vous… si seulement je peux le retrouver. « J’acquiesçais stupidement de la tête, mon esprit cherchait quelque chose à dire à cette douce jeune femme. Elle me tendit une enveloppe griffonnée avec« MR. P » écrit avec des grandes lettres puériles. A l’intérieur un dessin au crayon, avec des couleurs lumineuses : une plage jaune, une mer bleue et un oiseau marron. « UNE BECASSE VOUS APPORTE LA JOIE » Les larmes coulaient de mes yeux et mon cœur, qui avait presque oublié l’amour, s’ouvrait largement.
Le don d’une enfant aux yeux bleu comme la mer, aux cheveux couleur de sable et qui m’a appris le don de l’amour. Note :
Le prix de la haine des autres êtres humains est l’Amour Inconditionnel. La vie est si compliquée, que le tourbillon des traumatismes de chaque jour peut nous faire oublier de distinguer la différence entre ce qui est réellement important et ce qui ne l’est pas. Cette semaines assurez-vous de donner votre amour à votre entourage et prenez le temps ne serait-ce que dix secondes pour sentir une rose. Souvenez-vous… il n’y a pas de coïncidence. « Je lui souhaite une joyeuse Bécasse !! »
Mahatma Gandhi Kiki Bigoudi a perdu sa chaussette
Kiki est bien embêté. C’est étrange car ce n’est pas la première fois que ses chaussettes disparaissent. Il cherche partout, dans les tiroirs de sa commode, dans son placard, dans son coffre à jouets. On ne sait jamais des fois qu’elle se soit ennuyée toute seule cette nuit ? Kiki appelle : -Quelle idée ! Une chaussette ! Si je la trouve, je la mets sur ma tête pour aller à la fête ! Va donc voir Mr serpent, c’est mon voisin. Trotti, trotta, sauti, sauta, Kiki s’en va voir Mr serpent. -Non, mais si je la trouve, je me glisserai dedans pour faire un bon dodo ! Va donc demander à l’écureuil qui habite dans le grand arbre. Trotti, trotta, sauti, sauta, Kiki s’en va voir l’écureuil. -Ah non ! Moi, j’ai des noix, des noisettes mais pas de chaussette ! C’est dommage ! C’est plus doux que les feuilles sèches ! Va voir l’éléphant ! Il prend son bain tous les matins dans la mare. Trotti, trotta, sauti, sauta, Kiki s’en va voir l’éléphant. -Ho ! non ! que veux-tu que je fasse d’une chaussette. Un bonnet pour ma trompe mais ça ne servirait à rien. Ho ! Ho ! Ho ! C’est trop rigolo !!! Va voir crocodile, il se fait dorer au soleil, un peu plus loin. Trotti, trotta, sauti, sauta, Kiki s’en va voir le crocodile ; -Quoi ! Une chaussette mais c’est dégoûtant ! Pour qui me prends-tu ? Va donc voir derrière le grand bananier. Trotti, trotta, sauti, sauta, Kiki voit le grand bananier : Ça alors ! Kiki n’en croit pas ses yeux ! -Excuse nous Kiki. On ne voulait pas te réveiller. Dis Kiki ? On est toujours amis ?
Elle l’aida à trouver un pot, de la terre, il planta la graine et l’arrosa délicatement . Trois semaines plus tard environ certains jeunes commençaient à parler de leur graine et de leur plante qui commençait à pousser. Ling vérifiait, observait sa graine mais rien n’avait encore poussé, trois, quatre, cinq semaines passèrent. Maintenant d’autres parlaient de leur plante, mais Ling n’avait toujours rien et il se sentait frustré. Ling n’en parlait pas à ses amis, il attendait simplement que sa graine pousse.
Ling en était malade, il avait mal à l’estomac mais il savait que sa mère avait raison. Quand il arriva, il fut surpris de la variété de plantes qui avaient poussé chez les autres jeunes, leur formes et leurs tailles étaient magnifiques. Ling posa son pot vide sur le sol et nombre de jeunes rirent de lui. Quelques uns étaient désolés et dirent seulement : « Et bel essai ! » Lorsque l’empereur arriva, il supervisa la salle et salua les jeunes gens. « Que de jolies plantes vous avez fait pousser ! » dit l’empereur. Tout à coup, l’empereur aperçu Ling et son pot vide au fond de la salle. Il ordonna à ses gardes de l’amener sur le devant. Ling était terrifié : « L’empereur sait que je suis un raté ! Peut-être va-t-il me faire tuer ! » Lorsque Ling fut sur le devant, l’empereur lui demanda son nom. Tous les jeunes riaient et se moquaient de lui. Il regarda Ling et annonça à la foule : « Voici votre nouvel empereur ! Son nom est Ling. »
Si vous plantez la malhonnêteté, vous récolterez la méfiance.
De regarder vivre le monde à la télévision, De posséder un bout de terrain De vivre dans l'abondance, D'augmenter ses revenus, De se déplacer plus vite, D'ajouter des heures à son temps de travail, D'améliorer son niveau de vie, D'amasser biens et argent, D'avoir les moyens de vivre, De conquérir l'univers tout entier, (Auteur inconnu)
Date de création : 05/09/2006 @ 14:31
Dernière modification : 06/05/2008 @ 15:25
Catégorie : C.R.I.-E.V.H.
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| Pensée du jour
L’homme doit toujours avancer vers la force ; il ne devrait pas se réfugier dans le mensonge, la méchanceté et la malhonnêteté qui sont les caractéristiques fondamentales de la lâcheté. Cette lâcheté est née de l’acceptation d’une image fausse et inférieure de nous-même. Vous pensez que vous êtes l’enveloppe, la couche extérieure, mais vous êtes en réalité le noyau, le cœur. Cette fausse identification est l’erreur fondamentale. Tout effort spirituel doit être dirigé vers la suppression de l’enveloppe et la révélation du noyau central. Aussi longtemps que vous dites « Je suis Untel », vous êtes obligé d’avoir peur, mais une fois que vous dites et éprouvez « Je suis Brahman », vous obtenez une force invincible.
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29 Mars 2024 Bonne fête à toutes les C'était aussi un 29 Mars Lancement du Redoutable, premier sous-marin nucléaire français. Né(e) un 29 Mars 1963 Vous venez de
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