La bouée de sauvetage
Bouée de sauvetage
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C.R.I.-E.V.H. - n°08 2007 1° partie
C.R.I. – E.V.H. n° 8 1ère partie
« La véritable éducation est celle qui dissipe l’étroitesse d’esprit et promeut l’unité. Elle enseigne l’homme à vivre en paix avec ses semblables, les êtres humains et à établir la paix dans le monde. » ( Poème Télougou )
Lire beaucoup de livres, accumuler la connaissance livresque et l’enseigner aux autres, n’est pas la véritable éducation. Cette connaissance n’est pas très utile. En accumulant la connaissance livresque, vous pouvez peut-être devenir un livre, mais la véritable éducation est ce qui promeut l’unité, la paix et la coexistence pacifique.
Par une belle nuit de pleine lune, le prisonnier aperçoit sa femme, au pied de la tour. La femme enduit de miel les antennes d'un insecte, puis elle attache un fil de soie très fin au corps de celui-ci, et le pose sur le mur, les antennes pointées vers la fenêtre du prisonnier. Attiré par l'odeur du miel, l'insecte grimpe. Il grimpe et grimpe, il finit par arriver à la fenêtre du prisonnier, qui s'en saisit, détache le fil de soie et libère l'insecte. Il tire doucement le fil de soie. A l’extrémité du fil de soie, il y a un fil plus gros, puis arrive une cordelette, et enfin une grosse corde, grâce à laquelle le prisonnier retrouve la liberté. Conclusion : La première chose que la méditation apporte dans son sillage est infime, aussi infime que le premier fil de soie qu'une misérable petite créature entraîne de nuit vers le haut d'un mur noir et très haut. Cela, c'est le début de la méditation. Mais en recommençant, en persévérant, on finit par attirer un fil plus gros, puis une cordelette, puis une corde et enfin un cordage suffisant pour supporter le poids d'un homme. L'élimination virtuelle de l'anxiété semble être le résultat le plus marquant de la pratique régulière de la méditation, dont l'apport final est la paix du cœur. L'étrange mur épais et sa hauteur n'existent plus, pour ceux qui sont partis vers le pays de la liberté. ... C'est là la base mystérieuse de la méditation. Ceux qui s'en vont vers la nuit ne peuvent expliquer à personne où ils vont, et ils ne peuvent expliquer à personne ce que c'est d'être libre.
(Art du bonheur)
Le passant et moi avons été très polis, nous nous sommes dit au-revoir et nous avons continué notre route. Mais à la maison nous agissons différemment. Comment traitons-nous ceux que nous aimons jeunes et vieux !!! Plus tard dans la soirée, je faisais la cuisine tandis que mon fils se tenait près de moi très calmement. Il s’éloigna le cœur brisé. Je n’avais pas réalisé comme je lui avais parlé durement Va dans la cuisine et regarde sur le sol, à la porte tu trouveras des fleurs. Il a apporté ces fleurs pour toi, il les avait cueillies lui-même.des roses, des jaunes et des bleues. Il se tenait calmement pour ne pas gâcher la surprise, tu n’as même pas remarqué les larmes qui remplissaient ses yeux. A ce moment là je me suis sentie très petite et ensuite mes larmes commencèrent à couler; je suis allée doucement m’agenouiller près de son lit: « Réveille-toi mon chéri, réveille-toi » dis-je : « Est-ce que c’est toi qui as cueilli ces fleurs pour moi ? Il sourit: « Je les ai trouvées près de l’arbre, je les ai cueillies parce qu’elles sont charmantes comme toi. Je sais que tu aimes particulièrement le bleu. » « Pardonne-moi la façon dont j’ai agi aujourd’hui. je n’aurais pas dû crier aprèstoi comme cela »
Réalisons que nous nous investissons plus dans notre travail que dans notre propre famille. Ne pensez-vous pas que c’est un investissement déraisonnable en réalité? Connaissez-vous la signification du mot FAMILLE(en Anglais F.A.M.I.L.Y.)
Carnegie
Gandhi
Elle alla voir l’un d’eux et lui dit : « Cher ami ! J’ai une affaire qui va être jugée au tribunal pour laquelle j’ai besoin d’un témoin approprié. Pourriez-vous venir au tribunal avec moi pour apporter votre témoignage ? » Son ami lui répondit qu’il ne savait pas ce que signifiait le fait de fournir un témoignage et il ajouta : « Je ne connais rien aux procédures des tribunaux et je suis effrayé de ce qui pourrait m’arriver si j’allais avec vous au tribunal. S’il vous plaît, pardonnez-moi, mais je ne pourrais pas venir avec vous. Cette personne éprouva alors quelques soucis et alla voir son deuxième ami. Après lui avoir expliqué le but de sa visite, elle lui demanda : « M’aiderez-vous ? » Son ami répondit : « Oui, je veux bien aller avec vous au tribunal. Mais, s’il vous plaît, excusez-moi, je ne pourrais pas aller témoigner à la barre. » Après avoir entendu les réponses négatives de deux de ses amis, cette personne devint très anxieuse. Elle alla ensuite voir son troisième ami et lui expliqua également la raison de sa visite. Dans cette histoire, qui sont les trois amis et qui est cette personne ? Cette personne, le personnage principal de cette histoire, est en réalité l’homme lui-même. Parmi ses trois amis, le premier symbolise la richesse, l’or, le véhicule (son corps), les possessions de ce monde, etc... qui sont très chers à l’homme. Ils ne nous suivent pas lorsque nous quittons ce monde. Le second ami représente les membres de notre famille et les autres amis qui viennent avec nous jusqu’au cimetière après notre mort. Le troisième ami représente les bonnes actions que nous avons accomplies. Même après notre mort, elles gardent notre nom vivant. Elles deviennent également la base de notre prochaine incarnation. Seules les actions accomplies par l’homme restent avec lui en tant que substance pure et immuable.
Bouddha
Pour étancher sa soif, elle se pencha vers les eaux transparentes qui sourdaient d'un rocher. Un sanglot lui parvint alors, à travers le cliquetis de la cascade : Surprise, la colombe chercha autour d'elle. Alors, l'oiseau aperçut une minuscule fourmi qui se débattait de toutes ses faibles forces dans le courant. Elle la rassura aussitôt : Aussitôt dit, aussitôt fait ! " Ce maudit chasseur veut faire du mal à la colombe ! La colombe se rendit enfin compte de la présence du chasseur. Dit la colombe reconnaissante.
J'avais un week-end très chargé avec mes amis. Donc, je haussais les épaules et continuais mon chemin. Tout en marchant, j'ai vu une bande de jeunes courir vers Maurice. Ils l'ont rejoint, et lui ont fait tomber tous ses livres. Il a perdu l'équilibre, il est tombé dans la boue et a perdu ses lunettes. Ces dernières sont tombées à environ 3 mètres de lui. Maurice s'est relevé tranquillement et j'ai pu voir la terrible tristesse dans ses yeux. J'ai senti mon cœur se serrer et j'avais un nœud dans la gorge. J’ai donc couru le rejoindre. Il cherchait ses lunettes et j'ai vu une larme couler sur sa joue. J'ai ramassé ses lunettes et lui ai dit : Je l'ai aidé à ramasser ses livres et je lui ai demandé où il habitait. Je me suis rendu compte qu'on habitait dans la même rue. Alors, je lui ai demandé pourquoi je ne l'avais jamais vu auparavant : Nous avons donc passé le week-end ensemble. Plus j'apprenais à le connaître, plus je l'appréciais et mes amis aussi apprirent à l'aimer. Le lundi matin, sur le chemin de l'école, j'ai aperçu Maurice, encore une fois avec tous ses livres en main. Je l'ai rejoint et lui ai demandé : Quelques années plus tard, nous avions terminé le secondaire et nous planifions nos études universitaires. Maurice, le plus fort de la classe, se dirigeait pour des études de médecine et moi, pour du sport-étude en football. Il était un de ceux qui s'étaient trouvés et affirmés pendant le secondaire. Il avait pris sa place et paraissait très bien. Il avait maintenant plus de rendez-vous que moi avec les filles. Elles l'aimaient et j’étais un peu jaloux ! Avant de se quitter, nous nous sommes tous retrouvés, élèves, enseignants et parents. Il avait préparé un petit discours mais il en était très nerveux. Je lui ai donné une tape d'encouragement dans le dos et lui ai dit : Il a commencé son discours, s'est arrêté pour s’éclaircir la voix puis a lancé : J'ai regardé Maurice avec stupéfaction lorsqu'il raconta la première journée où on s'était connu. Il avait planifié de se suicider ce week-end là. Il raconta qu'il avait vidé son casier pour éviter à sa mère d'avoir à le faire. Il m'a regardé droit dans les yeux et m'a souri « Merci de m'avoir sauvé ! Mon ami m'a protégé et empêché de faire une énorme bêtise ! » Tout le monde est resté bouche bée lorsque Maurice, le gars le plus beau et le plus populaire de l'école, a raconté ses souvenirs les plus tristes. J'ai aperçu ses parents en train de me regarder avec ce même sourire de gratitude que Maurice avait. C'est à ce moment que j'ai réalisé toute la tristesse qu'il avait ce jour où l'on s'était rencontré. Ce n'était pas seulement à cause des jeunes voyous.
Les ménages sont incités à acheter le dernier portable, le dernier ordinateur, la dernière voiture à la mode, des vêtements de marque. On voit dans les revues ou à la télévision des publicités qui vantent les mérites de tel ou tel séjour de vacances, de tel ou tel produit miracle qui vous redonnera la beauté, la vitalité, vous effacera vos premières rides et même vous fera retrouver une nouvelle jeunesse, etc, etc... Les enfants et les adolescents sont sans arrêt matraqués par des nouvelles publicités présentant, par exemple, la dernière console vidéo à la mode. A Noël ou au Jour de l’An, vous n’aurez que l’embarras du choix pour composer le menu de vos réveillons chez vous, au restaurant, ou lors d’une escapade à la montagne, tellement vos boîtes aux lettres sont remplies de prospectus tous aussi alléchants les uns que les autres. Alors, effectivement, comment résister et ne pas adopter une attitude individualiste, puisque c’est à la mode et ce serait dommage, voire suspect de ne pas faire comme tout le monde. C’est dans l’air du temps de profiter de tout, tout de suite et après nous, la fin du monde, après tout ! C’est enfin rassurant de consommer, d’établir sans cesse des projets pour sa petite personne ou pour sa petite famille et c’est peut-être aussi une façon de se dire qu’on existe aux yeux des autres et que l’on a réussi en affichant sa position sociale. Tout ceci relève-t-il toutefois de l’essentiel et est-ce que de tels comportements conduisent l’être humain au bonheur, à la plénitude ? Savons-nous encore apprécier le bonheur d’être ensemble, de se rencontrer de manière simple, sans accessoire, sans artifice ?
Apprécier la vie, ce peut être aussi de passer du temps avec des anciens et les écouter parler du bon vieux temps, de ce qui est essentiel à leurs yeux compte-tenu de leur expérience de la vie.
Guy GILLET
Profiter de la vie ou bien l’apprécier,
Vieux conte oriental Lazare était un pauvre cultivateur qui se contentait du peu qu’il avait. Ses trois enfants lui apportaient le bonheur car chacun avait un don particulier. Le premier de ses enfants avait le don de clairvoyance, le deuxième avait le don de voler à grande distance et le troisième possédait le don de guérison. Un jour, alors que tous ses enfants étaient aux champs, Lazare tomba très gravement malade au point de mourir dans l’immédiat si rien n’était fait. Au même moment, l’enfant ayant le don de clairvoyance vit l’état de son père et appela ses frères : - Père est très souffrant, nous devons rentrer au plus vite ! Le deuxième enfant ayant le don de voler les prit sur ses épaules et les porta du champ jusqu’à la maison. Le troisième enfant au don de guérison miraculeuse utilisa son pouvoir pour guérir leur père. Tous furent heureux de voir leur père sur pieds. Puis chacun des enfants revendiqua à lui seul le mérite d’avoir sauvé leur père. Le premier dit : « Si je n’avais rien vu, vous n’auriez jamais su qu’il se passait quelque chose d’anormal à la maison » Le deuxième soutint sa position en s’exclamant « Si je ne vous avais pas portés immédiatement à la maison, notre père bien-aimé serait mort avant notre arrivée. » Le troisième ajouta « C’est mon don de guérison miraculeuse qui a sorti Père de son mal. » Selon vous, qui de ses trois enfants a vraiment sauvé son père ?
Etant donné que ses examens débutaient le lendemain, le garçon garda la pièce d’or sur son bureau et se mit à réviser ses cours. Peu de temps après, sa jeune sœur entra dans la pièce. Il répondit : « C’est une pièce d’or. » Alors, il lui répondit ce mensonge : « Lorsqu’on la met dans un trou, la recouvre de terre et l’arrose avec de l’eau, elle pousse et devient un arbre qui porte des fruits. Ensuite, il y a des pièces dans chaque fruit. » Comme sa sœur était sur le point de lui poser une autre question, il lui dit : « Ne m’embête pas, je n’ai pas le temps de te répondre. Je dois réviser. Laisse-moi tranquille. » Disant cela, il plongea la tête dans son livre. Profitant de la situation, la petite fille prit la pièce d’or et sortit de la chambre. Ecoutant les conseils de son frère, elle se rendit dans le jardin, creusa un trou près du puits, y déposa la pièce, recouvrit le trou avec de la terre et l’arrosa avec de l’eau. Une jeune servante observa tout cela. Aussitôt la petite fille rentrée à la maison, elle prit la pièce et la cacha. Peu de temps après, la mère du garçon entra dans la chambre où il était en train de réviser et lui dit : « Il est temps d’aller à l’école, viens prendre ton déjeuner. » Tout à son bonheur, le fils dit à sa mère : « Père m’a offert une pièce d’or en cadeau d’anniversaire et m’a dit d’en faire faire une bague. Vois, elle est ici. » Disant cela, il regarda sur son bureau. La pièce avait disparu. Il appela sa sœur et lui demanda sèchement où était la pièce. Le garçon fut très malheureux. Au lieu de passer son anniversaire à s’amuser joyeusement, il se mit à pleurer. Il raconta à sa mère ce qui était arrivé. La mère demanda à la petite fille : « Pourquoi as-tu enterré cette pièce ? » Elle répondit : « Mon frère m’a dit que si j’enterrais la pièce et l’arrosais, elle deviendrait un arbre qui donnerait des fruits et dans chaque fruit il y aurait une pièce. C’est pourquoi j'ai fait cela. » La mère réprimanda gentiment son fils : « Tu as dit un mensonge à ta sœur et de cette façon tu lui as enseigné des mensonges. Tu peux en constater le résultat. Maintenant, au lieu de passer joyeusement ton anniversaire, tu pleures. Et en plus tu as également perdu la pièce. »
Conte turc traditionnel Deux Sultans discutaient pour savoir laquelle, de la politesse ou de la noblesse était la plus importante. Le premier, tenant pour la politesse, insista finalement pour que le deuxième vienne le lendemain chez lui pour lui faire la démonstration de la justesse de son point de vue. - Alors, dit le premier Sultan, vois-tu comment la politesse est importante puisque j'ai réussi à l'apprendre à ce chat et à transformer ainsi ses capacités? - Bien, répondit le deuxième, mais laisse-moi un jour et refaisons l'expérience demain.
Sans la noblesse, dit le Sultan, la politesse n'est rien.
Un méchant loup rôde dans les environs, cherchant que dévorer... Comme seule défense, l'étoile ne peut briller que très fort pour aveugler le loup... mais bientôt elle sent qu'elle étouffe... Survient une pauvre femme... tout occupée à ramasser des branches mortes pour chauffer sa maison. Surpris, le loup s'enfuit... laissant la petite étoile à moitié morte... La femme doucement s'approche... Abandonnant ses branches mortes, dans ses deux mains ouvertes, rapprochées en forme de coupe, la femme recueille la petite étoile... et, toute joyeuse, regagne sa maison. De retour, le soir, le mari est tout étonné par la vive clarté qui l'accueille en franchissant la porte. La femme raconte... Non, dit la femme. Mettons-la dehors. elle éclairera les passants ! " Plus l'étoile brillait Plus la femme disait : L'homme prépare une place sur le rebord extérieur de la fenêtre et y dépose le brillant trésor...
Si le mot disait : ce n'est pas un mot qui fait une page... Si la pierre disait : ce n'est pas une pierre qui peut monter un mur... Si la goutte disait : ce n'est pas une goutte d'eau qui peut faire une rivière... Si le grain de blé disait : ce n'est pas un grain de blé qui peut ensemencer un champ... Si l'homme disait : ce n'est pas un geste d'amour qui peut sauver l'humanité...
Comme le livre a besoin de chaque mot, Comme la maison a besoin de chaque pierre, Comme l'océan a besoin de chaque goutte d'eau, Comme le moissonneur a besoin de chaque grain de blé, L'humanité toute entière a besoin de toi, là où tu es. Et on pourrait ajouter : là comme tu es, avec ta joie, ton espérance, ta souffrance, ta misère, ta vieillesse. L’humanité toute entière a besoin de toi, car tu es unique et donc irremplaçable.
Date de création : 30/06/2007 @ 15:02
Dernière modification : 06/05/2008 @ 15:30
Catégorie : C.R.I.-E.V.H.
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| Pensée du jour
L’homme doit toujours avancer vers la force ; il ne devrait pas se réfugier dans le mensonge, la méchanceté et la malhonnêteté qui sont les caractéristiques fondamentales de la lâcheté. Cette lâcheté est née de l’acceptation d’une image fausse et inférieure de nous-même. Vous pensez que vous êtes l’enveloppe, la couche extérieure, mais vous êtes en réalité le noyau, le cœur. Cette fausse identification est l’erreur fondamentale. Tout effort spirituel doit être dirigé vers la suppression de l’enveloppe et la révélation du noyau central. Aussi longtemps que vous dites « Je suis Untel », vous êtes obligé d’avoir peur, mais une fois que vous dites et éprouvez « Je suis Brahman », vous obtenez une force invincible.
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