1ère Partie
Rappel de « l’assise silencieuse »
Le silence
Tu te questionnes, tu te cherches,
tu cherches à comprendre.
Quand tu voudras la réponse à tes questions,
Arrête de chercher des réponses.
Laisse la réponse venir à toi.
Elle t'apparaîtra du plus profond de toi,
Quand tu auras fait le vide
Et que tu arrêteras de t'inventer des réponses.
Ne cherche pas les conseils d'un sage.
Ne cours pas au-devant des meilleurs devins.
Arrête-toi un instant,
Prends ton souffle et fais le vide.
Écoute Mon silence,
Celui qui est en toi.
De là émergeront toutes les réponses que tu cherchais.
C'est en s'arrêtant de chercher que l'on se trouve.
Regarde en toi. Pas avec les yeux de l'aveugle,
Avec les yeux de ton cœur. Sans préjugé.
Tu verras les messages que Je t'ai envoyés,
Tous ces messages,
Que tu n'as pas pris le temps de regarder et d'écouter.
Je t'aime bien, mais Je ne te forcerai pas à t'aimer,
Je t'envoie des messages,
Mais Je ne te forcerai pas à les écouter,
Ni même à les entendre.
C'est en écoutant attentivement Mon silence intérieur,
Que tu finiras par entendre cette douce mélodie,
Qui se cache en toi depuis si longtemps.
Pourquoi chercher si loin, ce qui se cache en toi.
Raymond Viger
Se concentrer, c’est savoir écouter et vivre pleinement dans le moment présent.
Quelques réflexions sur la laïcité :
Henri Pena-Ruyz
L’idéal laïque unit les hommes par ce qui les élève tout en les déliant : devenir maître de ses pensées afin de l’être aussi, autant que possible, de ses actions.
La laïcité n’est pas hostile à la religion comme telle, mais à sa traduction politique.
Il faut faire la différence entre la religion comme témoignage spirituel et le cléricalisme comme emprise politique.
La laïcité c’est l’affirmation de trois valeurs qui sont aussi des principes d’ordre politique :
-Liberté de conscience fondée sur l’autonomie de la personne et de sa sphère privée, la pleine égalité des athées, des agnostiques et des divers croyants et le souci d’universalité de la sphère publique, la loi commune devant promouvoir ce qui est d’intérêt commun à tous.
-La laïcisation des esprits consiste à faire respecter l’humanité des hommes indépendamment des figures particulières qu’elle prend du fait des diversités d’allures, de coutumes, et de croyances religieuses. Cela ne veut pas dire refuser « la différence », mais au contraire l’admettre en voyant en elle une des expressions de la richesse humaine. Toute fois, admettre ainsi la différence, cela ne veut pas dire non plus s’interdire tout jugement sur des pratiques attestant un pouvoir de domination ou d’assujettissement. Respecter toutes les cultures, par principe, ce n’est pas tout respecter dans les cultures, ou plutôt tout ce qui au nom d’une culture constitue une chose en soi inacceptable.
-La loi commune, on l’a vu, ne requiert aucun nivellement des différences, mais une invitation à les vivre selon un régime d’affirmation compatible avec les règles de droit.
Une culture qui prétend s’imposer n’est pas une culture, mais une politique.
Dans une république laïque, croyants divers, athées et agnostiques ont leur place, la même, assortie des mêmes droits et des même devoirs.
- La déontologie laïque consiste à livrer tous les éléments d’une réflexion personnelle sans prétendre trancher à la place d’êtres humains dont il s’agit avant tout de promouvoir l’autonomie……Laisser l’enfant devenir élève et advenir graduellement à la maîtrise de ses pensées, afin de pouvoir opter lui-même pour la spiritualité de son choix, qu’elle soit celle d’un humanisme athée ou d’une vision religieuse du monde ou encore d’un agnosticisme raisonné .
-La liberté de conscience n’est pas plus religieuse qu’elle n’est athée : elle est simplement , la liberté d’avoir une religion ou de ne pas en avoir, de faire sien un humanisme athée ou un humanisme de type religieux.
Apologie de Socrate :
Le premier pas dans la sagesse consiste à bien prendre la mesure de ce qu’on ignore, pour ne pas se méprendre sur ce qu’on sait réellement et ce qu’on croit savoir.
Toute la vérité, rien que la vérité :
Un jour au tribunal, le juge demande à une prévenue : « Quel est votre âge ? Attention vous avez prêté serment vous devez donc dire la vérité. »
La dame répondit : « 24 ans et quelques mois, Votre Honneur. »
« Combien de mois en plus ? » demanda le juge.
« 104 mois, Votre Honneur » !!!
L’éducation sans formation du caractère, la science sans humanité, le commerce sans moralité sont inutiles et dangereux.
Le joyeux violoniste
Tessa Hillman, (Une histoire racontée par une religieuse Irlandaise)
C’était l’époque en Irlande où les gens avaient faim. C’était à l’époque de la famine due au manque de pommes de terre. Les plus âgés et les enfants étaient les plus touchés. Beaucoup mourraient. Un grand nombre de jeunes adultes qui étaient encore forts et en bonne santé décidèrent de quitter le pays. Ils se réfugièrent en Amérique par milliers.
Ceci est une histoire qui est restée dans ma famille depuis des générations. Ils étaient originaires d’Irlande mais plusieurs d’entre eux émigrèrent en Amérique. L’ un d’eux qui doit être mon grand, grand, grand, grand oncle, était un bon chanteur et musicien. Il n’était pas du tout perturbé à l’idée de recommencer une nouvelle vie; où que soient les Irlandais, ils chantent et ils dansent, mais sans un musicien ils ne le pourraient pas. Ce que les Irlandais aiment le plus c’est une musique traditionnelle de qualité. Un sifflet peut suffire s’il n’y a rien d’autre, mais quand un violon apparaît et que le musicien en joue bien, ha ! alors vous passez une soirée mémorable.
On raconte que mon oncle, où qu’il aille, était logé gratuitement. Il était accueilli à bras ouverts. Quand il sortait son flûtiau, les sourires apparaissaient ; mais quand il laissait voir son violon, c’était la jubilation.
A ce moment là, cet ancêtre, que l’on appelait Patrick avait l’habitude d’enjoliver la vie. Il avait remarqué combien la musique rend les gens heureux et danser les rend encore plus heureux. Il nota que la bière semblait les rendre heureux, mais après, lorsqu’ils buvaient encore plus de bière ils devenaient colériques et même violents, ou seulement tristes et moroses, leur vieux pays leurs manquait.
Patrick encourageait les gens à danser parce que comme il disait : « S’ils dansent, ils ne boivent pas et ils seront heureux le lendemain matin. » Pour sûr, un homme qui danse beaucoup, se sentira joyeux le lendemain, mais un homme qui boit trop sera triste le lendemain.
Mon Oncle ressentit qu’il était de son devoir de rendre les gens heureux. En fait il avait le surnom « Joyeux Patrick ». Il essayait de mériter son nom. Lorsqu’il devint plus âgé il réalisa qu’il ne pouvait plus danser comme lorsqu’il était un jeune homme. Ce qui ne l’empêcha pas de continuer à jouer de son violon pour que les autres puissent danser quoi qu’il en soit. Les gens avaient l’habitude de venir vers lui et de lui demander des conseils sur la vie. Il était toujours souriant, toujours jovial ; Peut-être pensait-on qu’il connaissait les réponses sur le sens de la vie. Toutes ses rides remontaient vers le haut. Sa bouche même au repos semblait faire un demi- sourire et ses yeux scintillaient en regardant le monde.
Un jour, un jeune homme s’approcha de mon oncle ; il semblait plutôt triste « Puis-je vous poser une question Monsieur ? demanda-t-il
« Demandez toujours jeune homme ! Cela ne vous coûtera rien et si vous n’aimez pas ma réponse vous la laisserez aller. »
« Cela fait plusieurs semaines que je vous vois jouer de votre violon, toujours souriant, là dans le coin. Qu’est-ce qui vous rend si heureux tout le temps ? »
« Bien ! » répondit le vieil homme. « La vérité doit être connue, je ne suis pas toujours heureux. Quand j’ai un problème, je sais que si je m’assieds tranquillement, que j’y pense juste un tout petit peu, ensuite je joue de mon violon ou peut-être j’écoute de la musique, alors la réponse semble venir à moi. Ceci est la façon dont j’aborde mes problèmes, je ne les laisse pas grandir, se développer à l’intérieur de ma tête, je ne m’affaire pas ça et là pour les oublier. Je m’occupe d’eux immédiatement en m’asseyant calmement. J’imagine qu’il y a une partie de moi qui est plus grande et plus avisée que ce « petit moi » Je sens que je peux surmonter mes problèmes avec cette partie plus grande de moi-même, je ne sais pas ce que c’est que cette partie, je sais juste que lorsque j’agis de cette façon les problèmes semblent se résoudre d’eux-mêmes. La réponse vient à moi ou le problème s’en va et ne me trouble plus. Parfois il suffit d’aborder le problème d’une façon différente. C’est ce que je voudrais vous recommander jeune homme ; je vois plusieurs rides sur votre front. Essayez de demander de l’aide et asseyez-vous calmement.
Concentrez-vous, mais un conseil : Vous ne devez pas faire cela trop longtemps, dix minutes par jour devrait être suffisant pour vous. Si vous dépassez ce temps les problèmes ressurgiront et vous ne résoudrez rien. Après dix minutes, allez faites quelque chose d’autre, activez vous . Voulez-vous essayer et vous reviendrez me dire comment ça a marché ?
Le jeune homme sourit pour la première fois. « Merci, honorable Vieillard. C’est tout ce que je dois faire ! »
Plusieurs semaines plus tard le jeune réapparut. Patrick était curieux. Il nota que les rides de tristesse étaient disparues. « Hello jeune camarade. Qui venez-vous me présenter ? »
« C’est ma femme, Elsa. Nous venons vous remercier pour votre conseil. Je me suis assis calmement et mon âme m’a dit : « Appelle Elsa. Tu es triste parce qu’elle te manque. Marie la et commence ton travail d’adaptation. Ainsi j’ai su ce que je devais faire et je l’ai fait. Je suis venu vous offrir un nouveau costume, j’espère que vous l’aimerez. »
« C’est extrêmement aimable de votre part jeune Monsieur » répondit Patrick« Il me servira pour les mariages et les enterrements. Il n’est pas fait pour les violonistes négligés, vous savez? Je vous souhaite beaucoup de joie et de bonheur dans votre nouvelle vie ensemble. Pensez à apprendre à Elsa à demander de l’aide aussi, alors je suis sûr que vous serez toujours heureux. »
Questions:
1) Quel pourrait être le titre de cette histoire ?
2) Pour quelle raison un grand nombre de jeunes adultes en bonne santé émigrèrent en Amérique ?
3) Quelle est la distraction des Irlandais ? Pourquoi Patrick encourage les gens à danser ?
4) Pourquoi Patrick était une personne heureuse ?
5) Quel conseil Patrick donne au jeune homme pour résoudre son problème ?
6) Comment, plus tard, le jeune homme lui montre sa gratitude ?
7) Qu’avez-vous ressenti en entendant cette histoire ?
8) Vous souvenez-vous d’une histoire semblable dans votre vie ?
Les oiseaux et les animaux sans aucune connaissance ni éducation suivent leur discipline à fond, tandis que l’homme avec toute son intelligence ne suit même pas le minimum de discipline observé par les oiseaux et les animaux.
Un sourire
Un sourire ne coûte rien, mais il rapporte beaucoup,
Il enrichit ce lui qui le reçoit sans appauvrir
celui qui le donne.
Il suffit d'un moment pour esquisser un sourire,
mais son souvenir est parfois inoubliable.
Nul n'est si riche ou si puissant qu'il puisse s'en passer
et nul n'est si pauvre qu'il ne puisse s'enrichir en le donnant.
Un sourire crée le bonheur au foyer,
encourage la bienveillance en affaires et scelle l'amitié.
Il apporte le repos à ceux qui sont fatigués,
la joie à ceux qui sont découragés,
le soleil à ceux qui sont tristes;
c'est le meilleur antidote de la nature
contre les tracas de la vie.
N'empêche qu'on ne peut l'acheter, l'emprunter ou le voler,
car c'est quelque chose qui n'a aucune valeur avant d'être donné.
Il y a des gens qui sont trop fatigués pour nous adresser un sourire.
Accordons-leur un des nôtres:
personne n'en a autant besoin que celui qui ne sait plus sourire.. . . . . .
(Frank Irving Fletcher)
Quand vous rendez service à quelqu’un, c’est vous que vous aidez.
Les pommes en bois
Il était une fois un joyeux singe vagabondant dans la jungle, mangeant des fruits délicieux quand il avait faim et se reposant quand il était fatigué. Un jour il découvrit une maison, où il vit une coupe remplie de magnifiques pommes. Il en pris une dans chaque mains et se sauva dans la forêt.
Il renifla les pommes mais elles ne sentaient rien. Il essaya de les manger, mais il se fit mal aux dents. Elles étaient en bois , mais elles étaient réellement très belles, et quand les autres singes virent ces pommes en bois, il les tint le plus fort possible.
Il admirait ses nouvelles possessions avec fierté tout en se promenant dans la jungle. Leur couleur rouge scintillait dans le soleil et elles lui semblaient parfaites.
Il s’attacha si fort à elles qu’il ne ressentait plus la faim. Un arbre la lui rappela, mais il tenait les pommes dans les mains.
Il ne pouvait pas se décider à les poser pour attraper les fruits. En fait il ne réussissait pas à se détendre, peut-être aurait-il besoin de défendre ses pommes. Fier, mais sans joie, le singe continuait de marcher dans les chemins de la forêt.
Les pommes devenaient de plus en plus lourdes et le pauvre petit singe envisageait de les laisser. Il était fatigué, affamé et il ne pouvait ni monter aux arbres, ni attraper les fruits car ses mains étaient pleines.
Soudainement il pensa…..et si je les abandonnais ?
Abandonner des choses d’une telle valeur pouvait paraître une folie, mais que pouvait-il faire d’autre ? Il était si fatigué. Apercevant un arbre fruitier, il en sentit les fruits, il prit la décision. Il abandonna les pommes en bois et il leva les bras pour attraper son repas. Il était de nouveau heureux.
Combien de pommes en bois transportons-nous ?
Comme le petit singe, nous aussi nous transportons des pommes en bois qui nous paraissent avoir trop de valeur pour les laisser.
Un homme transporte une image importante de lui-même. Il la transporte comme une brillante pomme en bois. Mais en réalité son activité le laisse fatigué et assoiffé d’une vie meilleure. Se laisser aller au calme lui semble de la folie. Même si ses soucis sont les pommes sacrées – elles prouvent « qu’il fait tout ce qu’il peut » il s’attache à elles compulsivement.
C’est une chose difficile à voir. Nous nous identifions si fortement avec ce que nous possédons, nous éprouvons même de la peine lorsque nos voitures sont cabossées. Encore plus puissamment nous nous identifions avec nos croyances et nos idées personnelles. Cependant elles ne nourrissent pas toujours notre âme et nous sommes fatigués à force de les défendre.
On aurait pu trouver le singe mort de faim sous un bel arbre chargé de fruits et tenant dans ses mains serrées ses pommes en bois.
C’est seulement lorsque nous laissons aller les choses…..
que nous sommes capable de recevoir les mains ouvertes !
Transformez-vous et le monde sera transformé.
Les mauvaises habitudes :
Un jour un homme demanda à un vieil érudit d’aider son fils à se débarrasser de ses mauvaises habitudes.
Le précepteur emmena le jeune faire un tour dans un jardin. Soudain il s’arrêta et il demanda au garçon d’arracher la petite plante qui poussait là. Le jeune prit la plante entre le pouce et l’index et l’arracha facilement. Ensuite le vieil homme lui demanda d’arracher une plante un peu plus grande. Le jeune tira fort et la plante fut arrachée entièrement avec les racines.
« Maintenant arrache celle-ci » dit l’érudit montrant un buisson. Le garçon dut tirer de toutes ses forces pour réussir à l’extraire.
« Maintenant arrache ceci » dit l’érudit en désignant un arbre. Le jeune attrapa le tronc et essaya de l’arracher mais celui-ci ne bougea pas .
« C’est impossible » dit le jeune garçon essoufflé par ses efforts.
« Il en est de même avec les mauvaises habitudes » dit le Sage. « Lorsque nous sommes jeunes il est facile de nous débarrasser de nos mauvaises habitudes mais plus tard elles deviennent indéracinables »
Faisons comme ce jeune, prenons la résolution de nous débarrasser de nos mauvaises habitudes, dès le début, avant qu ‘elles ne deviennent indéracinables.
CHAQUE ENFANT APPREND PAR L'EXEMPLE
S'il vit entouré de critiques,
il apprend à blâmer.
S'il vit entouré d'hostilité,
il apprend à être agressif.
S'il vit entouré de moquerie,
il apprend à être timide.
S'il vit entouré de honte,
il apprend à se sentir coupable.
S'il vit entouré de tolérance,
il apprend à être patient.
S'il vit entouré d'encouragement,
il apprend à agir.
S'il vit entouré d'éloges,
il apprend à complimenter.
S'il vit entouré de probité,
il apprend à être juste.
S'il vit entouré de sécurité,
il apprend à faire confiance.
S'il vit entouré d'approbation,
il apprend à s'accepter.
S'il vit entouré d'amitié,
il apprend à aimer la vie.
Lorsque vous tirez une leçon d’une défaite, alors vous n’avez pas réellement perdu.
INSTRUCTIONS POUR MENER VOTRE VIE:
1. Tenez compte du fait que le grand amour et les grandes réussites impliquent de grands risques.
2. Lorsque vous perdez, ne perdez pas la leçon.
3. Suivez les trois R:
- Respect de soi-même
- Respect des autres et
- Responsabilité de tous vos actes.
4. Souvenez-vous que ne pas obtenir ce que vous voulez est parfois un merveilleux coup de chance.
5. Apprenez les règles pour savoir comment les appliquer correctement.
6. Ne laissez pas une petite dispute meurtrir une grande amitié.
7. Lorsque vous réalisez que vous avez commis une erreur, prenez immédiatement des mesures pour la corriger.
8. Passez un peu de temps seul chaque jour.
9. Ouvrez vos bras au changement, mais ne laissez pas s'envoler vos valeurs.
10. Rappelez-vous que le silence est parfois la meilleure des réponses.
11. Vivez votre vie d'une façon bonne et honorable. Ainsi, lorsque vous vieillirez et que vous regarderez en arrière, vous en profiterez une deuxième fois.
12. Un foyer aimant est la fondation de votre vie.
13. Dans les désaccords que vous avez avec ceux que vous aimez, ne vous occupez que de la situation actuelle. Ne réveillez pas le passé.
14. Partagez votre savoir. C'est une manière d'atteindre l'immortalité.
15. Soyez tendre avec la Terre.
16. Une fois par an, allez quelque part ou vous n'êtes jamais allé auparavant.
17. Souvenez-vous que la meilleure des relations est celle dans laquelle l'amour que chacun porte à l'autre dépasse le besoin que vous avez de l'autre.
18. Jugez vos succès d'après ce que vous avez dû sacrifier pour les obtenir.
19. Approchez l'amour et la cuisine avec un abandon insouciant
Il n’y a pas moyen d’échapper aux conséquences de nos actes. A travers les âges, les mauvais ont toujours rencontré le sort qu’ils méritaient.
L’aigle et l’alouette :
Une alouette et un aigle se rencontrèrent sur un rocher au sommet d’une haute montagne. L’alouette dit : « Bonjour Monsieur »
L’aigle regarda par dessous lui et dit vaguement : « Bonjour »
Ensuite l’alouette dit : « J’espère que tout va bien pour vous, Monsieur »
« Oui » dit l’aigle « tout est bien pour nous. Mais savez-vous que nous sommes le roi des oiseaux et que vous ne devez pas vous adresser à nous avant que nous ne vous ayons parlé? »
L’alouette dit : « Ce me semble, nous sommes de la même famille ! »
L’aigle regardait par dessous lui avec dédain et dit : « Qui a dit que vous et moi sommes de la même famille? »
Alors l’alouette dit : « Mais je veux vous rappeler ceci, je peux voler aussi haut que vous, chanter et charmer les autres créatures de la terre. Et vous, leurs donnez-vous du plaisir? »
L’aigle se mit en colère et dit : « Plaisir et charme! Vous, petite créature présomptueuse! D’un coup de bec je peux vous détruire. Vous n’êtes pas plus grand que ma patte »
Puis l’alouette s’envola, se précipita sur le dos de l’aigle et commença à lui piquer les plumes. L’aigle était agacé, il s’envola rapidement et aussi haut qu’il pût pour se mettre hors de portée du petit oiseau. Mais il ne réussit pas et à la fin il se laissa tomber vers ce très haut rocher au sommet de la montagne maudissant le destin.
A ce moment là arriva une petite tortue riant du spectacle, elle riait si fort qu’elle s’en retourna presque sur le dos.
L’aigle toisant la tortue dit : « Vous doucement, chose rampante toujours sur la terre, pourquoi riez-vous si fort?
Et la tortue répondit : « Parce que j’ai vu que vous tourniez comme un cheval et qu’un petit oiseau vous dirigeait, le petit oiseau est le meilleur des oiseaux. »
L’aigle lui répondit : « Mêlez-vous de vos affaires. Ceci est une affaire de famille entre ma sœur, l’alouette et moi-même. »
Kahlil Gibran
Le premier sot venu est capable de critiquer, de condamner et de se plaindre : c’est d’ailleurs ce que font tous les sots.
Mais il faut de la noblesse et de la maîtrise de soi pour comprendre et pardonner.
L’homme qui se croyait fort mais qui ne savait pas
accepter les critiques et les louanges avec la même égalité d’humeur :
C’est l’exemple d’un lutteur Sumode HongKong. Il était gourmand et avait l’habitude de faire du jogging chaque matin. De bonne heure un matin, alors qu’il faisait son jogging, une dame du village qui vendait du lait caillé le vit. En apercevant l’énorme personnage elle ne put contrôler son rire et elle éclata de rire.
Quand il la vit, il lui cria derrière : « Savez-vous qui je suis? Je suis si fort que je peux arrêter un car en marche. Il n’y a personne de plus fort que moi dans le monde. » La femme lui répliqua :
« Vous vous faites des compliments, il n’y a pas d’homme plus faible que vous ». Le lutteur était interloqué : « Comment, je suis faible? Comment pouvez-vous dire cela? » cria-t-il.
La dame répliqua; « Vous ne pouvez pas supporter une femme qui se moque de vous, comment pouvez-vous dire que vous êtes fort? Vous pourrez vous considèrerez fort, seulement, lorsque vous vous débarrasserez de tel jugement social »
Celui qui réalise l’équanimité dans tous les aspects de la vie est réellement fort.
Au lieu de condamner les gens, essayons de les comprendre. Essayons de découvrir le mobile de leurs actions. Voilà qui est beaucoup plus profitable et plus agréable que de critiquer, voilà qui nous rend tolérants, compréhensifs et bons.
(Carnegie)
Bienveillance et compréhension entraînent le respect
C’est l’histoire d’un directeur d’usine nouvellement embauché. Peu de temps après, il trouve que le rendement est particulièrement faible. Il appelle les travailleurs et leur reproche le déficit sans se renseigner sur les causes. Le plus vieux des travailleurs répond : « Je connais cette machine, j’ai travaillé ici pendant vingt ans; vous êtes arrivé depuis peu, que connaissez-vous? » Ceci rendit le directeur honteux. S’il s’était renseigné sur la raison de la chute de la production d’une manière bienveillante, il aurait gagné le respect de ses travailleurs.
« La supériorité ce n’est pas de faire des choses extraordinaires, mais de faire extraordinairement bien les choses ordinaires. »
Les caractéristiques des personnes qui réussissent
Elles ne sont pas troublées par les soucis.
Elles sont conscientes de leur propre valeur et ont confiance en elles.
Elles savent que la responsabilité est la clef pour devenir autonome.
Elles s’exposent elles-mêmes au risque.
Elles sont curieuses.
Elles posent des questions.
Elles écoutent les problèmes des autres personnes.
Elles tiennent leurs promesses.
Elles sont prêtes à saisir les opportunités.
Elles sont prêtes à compter sur leur intuition.
Elles se concentrent sur ce qui est important.
Elles aiment la victoire.
Elles sont prêtes à prendre des responsabilités professionnelles.
Elles se réjouissent de prendre d’innombrables décisions pour aider les autres.
Les plaisirs de la vie
Il y a de cela très longtemps, un Empereur dit à son cavalier de chevaucher sur son cheval et de parcourir la superficie de campagne qu’il désirait et alors il lui donnerait la superficie parcourue. Effectivement le cavalier monta sur son cheval et courut aussi vite que possible pour parcourir la plus grande surface qu’il pût.
Il continuait de courir et courir, fouettant son cheval pour le faire aller le plus vite possible. Quand il avait faim ou était fatigué il ne s’arrêtait pas parce qu’il désirait parcourir le plus de superficie possible. Il fut heureux lorsqu’il eut couvert une importante surface ; mais il était mourant !
Alors il se demanda à lui-même : « Pourquoi je me suis pressé si fort pour parcourir une superficie si grande ? Maintenant que je suis mourant, j’ai seulement besoin d’une très petite surface pour être enterré. »
Cette histoire ci-dessus est identique à la journée de notre vie. Nous nous dépêchons très fort chaque jour pour avoir plus d’argent, pour obtenir le pouvoir, les honneurs. Nous négligeons notre santé, le temps passé avec notre famille et nos passe-temps préférés, nous oublions d'apprécier la beauté environnante. Un jour lorsque nous regarderons en arrière, nous réaliserons que nous n’avons pas besoin de tout, et que nous ne pouvons pas revenir en arrière pour achever ce que nous avons manqué.
Le but de la vie ce n’est pas avoir beaucoup d’argent, d’obtenir du pouvoir ou des honneurs. La vie ce n’est pas seulement le travail ! Le travail est uniquement nécessaire pour nous permettre de vivre, de profiter de la beauté de la vie. La vie est un équilibre entre le travail, la famille et le temps personnel . Vous devez décider comment vous désirez équilibrer votre vie. Définissez vos priorités, réalisez que vous pouvez aboutir à un compromis mais laissez toujours certaines de vos décisions dépendre de votre intuition.
Le bonheur est le sens et le but de la vie, le seul objectif de l’existence humaine. Aussi faites ce que vous voulez faire et appréciez la nature. La vie est fragile, la vie est courte; ne considérez pas la vie comme un dû. Gardez l’équilibre entre votre style de vie et une vie agréable. !!!!!
L’Amour est l’arme la plus puissante pour détruire les forces du mal qui prédominent dans le monde d’aujourd’hui.
Les pommes de Monsieur Peabody
Adapté par Jane Hammond d’une histoire de la Kabbale
Monsieur Paebody, le professeur d’école du village avait l’habitude chaque Samedi matin d’entraîner les enfants au cricket. Tous les enfants aimaient et respectaient Monsieur Peabody et ils ne manquaient jamais les séances du Samedi matin. Il prenait le temps d’aider chacun à apprendre à bien jouer, il était toujours gentil et patient.
Le Samedi matin après la partie, Monsieur Peabody rentrait chez lui comme d’habitude par la Grand’rue. Chacun dans le village le connaissait et lui souriait, faisait un signe de la main ou lui disait un joyeux : « Hello ! » lorsqu’il passait. Monsieur Peabody s’arrêta à l’épicerie de Monsieur Simmons et sur l’étal de fruits il choisit une pomme rouge, brillante, la frotta sur sa manche, la lança en l’air, la rattrapa et la mit dans sa poche. Ensuite il partit.
De l’autre côté de la rue, David, un des garçon de l’équipe de cricket, regardait avec amusement. Mr Peabody avait pris une pomme sans payer !
Le Samedi suivant après la partie, David, demanda à deux de ses amis de rentrer avec lui. Sur le trottoir en face de l’épicier, David s’arrêta et dit à ses amis d’attendre.
Mr Peabody arriva en souriant, s’arrêta au magasin. Il choisit une pomme rouge brillante, la frotta sur sa manche, la lança en l’air et la mit dans sa poche. David et ses amis fixaient Mr Peabody alors qu’il se dirigeait vers sa maison. Mr Peabody avait volé une autre pomme !
David et ses amis coururent chez eux et racontèrent à leurs parents ce qu’ils avaient vu. Leurs parents le racontèrent à leurs amis, et tout le monde le sut. Les amis le racontèrent à leurs amis et la nouvelle se répandit.
Le Samedi suivant, Mr Peabody arriva sur le terrain de cricket, il n’y trouva qu’un seul garçon. « Billy » dit Mr Peabody« Où sont-ils aujourd’hui? »
Billy hochait la tête tristement ; « Ils ne viendront pas aujourd’hui Mr Peabody, David a dit à tout le monde que vous êtes un voleur. »
Un voleur ? » dit Mr Peabody « Qu’est-ce que j’ai volé ? »
Alors Billy lui raconta ce que David lui avait dit, qu’il avait vu Mr Peabody voler les pommes.
« Ah! » dit Mr Peabody « Je vois. Viens avec moi Billy et nous tirerons cela au clair »
Mr Peabody et Billy arrivèrent dans la Grand’rue. Ils rencontrèrent beaucoup de gens qui connaissaient Mr Peabody, mais personne ne le salua.
Quand à l’épicier, Mr Simmons, il était sur le pas de sa porte arrangeant son étalage de beaux fruits. « Hello Mr Peabody ! »puis il dit: « Vous êtes en avance aujourd’hui, le jeu est déjà fini ? »
« Hello ! Mr Simmons » dit Mr Peabody « Pouvez-vous, s’il vous plait, dire à Billy ce que je fais habituellement le Samedi matin ? »
« Mais oui Mr Peabody » dit Mr Simmons « Vous avez l’habitude de venir avant le cricket, vous payez votre lait et vous payez la pomme que vous prenez plus tard lorsque je suis occupé. Est-ce qu’aujourd’hui vous voulez la prendre maintenant ? » Et il tendit une pomme rouge et brillante à Mr Peabody.
Mr Peabody prit la pomme et la tendit à Billy qui faisait des grands yeux ronds. « Merci Mr Peabody » dit-il « Mais je dois aller voir et parler à David en premier. »
« Très bien Billy » dit Mr Peabody, « Quand tu lui auras parlé, demande–lui de venir me voir, s’il te plait ? »
« Oui » dit Billy et il partit précipitamment à la maison de David.
Billy raconta à David ce qui s’était passé. « Ainsi vois-tu » dit-il« Mr Peabody n’est pas un voleur. Il désire que tu ailles le voir. »
David, la gorge serrée alla lentement à la maison de Mr Peabody et sonna la cloche, la tête basse. Mr Peabody ouvrit la porte.
« Hello ! David » dit-il
« Mr Peabody, je suis désolé » dit David « je ne savais pas que vous aviez déjà payé votre pomme, de bonne heure chaque Samedi matin, y-a-t’il quelque chose que je puisse faire pour réparer ? »
« Il y a juste une chose » dit Mr Peabody « Vas chercher un oreiller de plumes et viens me retrouver en haut de la colline derrière le terrain de cricket »
David était perplexe, mais il courut chez lui, tira l’oreiller de plumes de son lit et alla retrouver Mr Peabody sur la petite colline. Ils marchèrent ensemble. Arrivés au sommet Mr Peabody dit « voici des ciseaux David, coupe l’extrémité de ton oreiller »
David était encore plus perplexe, mais il coupa l’extrémité de l’oreiller.
« Maintenant » dit Mr Peabody « Secoue toutes les plumes de ton oreiller. »
David leva l’oreiller et le secoua. Le vent attrapa les milliers de plumes, elles s’envolèrent et se dispersèrent on ne sait où. Elles ressemblaient à de la neige alors qu’elles disparaissaient dans le ciel bleu.
« C’est tout ce que j’ai à faire, Mr Peabody ? » dit David avec impatience.
« Je suis désolé il y a encore une chose, David » dit Mr Peabody « Maintenant tu dois ramasser toutes les plumes et les remettre dans l’oreiller. »
Le visage de David s’allongea. « Je ne crois pas que je pourrai le faire, Mr Peabody » dit-il consterné.
« Et comme c’est dur, David de ramasser tous les mots que nous avons dit lorsque nous réalisons que nous nous sommes trompés. »
Et Mr Peabody repartit chez lui.
Questions:
1) Quel titre pourrions-nous donner à cette histoire?
2) Pourquoi David pensait que Mr Peabody était un voleur ?
3) Qu’est-ce que Mr Simmons a dit à Billy ?
4) Pourquoi Mr Peabody demanda à David de secouer les plumes de l’oreiller ?
5) Pensez-vous que David puisse faire quelque chose pour réparer les faux bruits répandus ?
6) Que ressentez-vous après avoir lu cette histoire ?
L’éducation devrait aussi bien servir à gagner sa vie, qu’à vivre sa vie. De ces deux buts, l’un est négatif et le second positif. Quand ils s’unissent, l’existence s’illumine et fleurit dans toute sa perfection.
Le bras douloureux du professeur
Un professeur commence sa classe en tenant un verre avec un peu d’eau dedans. Il le tient de façon à ce que tous puissent le voir : « Combien pensez-vous que ce verre pèse ? »
« 50 gr ! »
« 100 gr ! »
« 125 gr ! » répondent les étudiants
« En réalité je ne connais pas le poids » dit le professeur, « Mais ma question est : qu’est-ce qu’il se passera si je le tiens ainsi pendant quelques minutes ? »
« Rien » dirent les étudiants.
« Bien ! que se passera-t-il si je le tiens ainsi pendant une heure ? » demanda le professeur
« Votre bras commencera à faire mal » dit un des étudiants.
« Vous avez raison. Maintenant que se passera-t-il si je le tiens pendant une journée ? «
“Votre bras sera engourdi. Vous pourrez avoir plusieurs muscles tendus, paralysés” dit un autre.
« C’est sûr vous devrez aller à l’hôpital ! »avança un autre et tous les étudiants rirent.
« Très bien. Mais pendant ce temps, est-ce que le poids du verre change ? » demanda le professeur.
« Non »
« Alors qu’est-ce qui cause la douleur et le muscle tendu ? “Les étudiants étaient perplexes.
« Posez le verre » dit un des étudiants.
« Exactement » dit le professeur. « C’est la même chose pour les problèmes de la vie. Tenez les quelques minutes dans votre tête, cela semble possible. Pensez y pendant longtemps et vous commencez à avoir mal à la tête. Tenez les encore plus longtemps et vous commencez à vous paralyser ; vous n’êtes plus capable de faire quoi que ce soit ? »
« Il est important de penser aux challenges de votre vie, mais il est encore plus important de les laisser à la fin de chaque jour, avant d’aller vous coucher. De cette façon vous ne serez pas stressés. Vous vous lèverez chaque jour frais et dispos et vous pourrez faire face à chaque problème et chaque challenge qui se trouveront sur votre chemin ! »
Questions:
1 ) Quel titre donneriez-vous à cette histoire?
2) Pensez-vous que le professeur est un bon professeur? Pourquoi ?
3 ) Pensez-vous que le conseil que donne le professeur à ses étudiants est un bon conseil?
4 ) Gardez-vous toujours à l’esprit vos problèmes où les oubliez-vous parfois pour vous reposer?
En détruisant l’orgueil, l‘homme devient aimable.
En détruisant la colère l’homme se libère de la douleur.
En détruisant le désir, l’homme atteint la paix.
En détruisant la cupidité l’homme parvient au bonheur.
Le lâcher prise
Lâcher prise, ce n’est pas se montrer indifférent, mais simplement admettre que l’on ne peut agir à la place de quelqu’un d’autre.
Lâcher prise, ce n’est pas couper les liens, mais prendre conscience que l’on ne peut contrôler autrui.
Lâcher prise, ce n’est pas être passif, mais au contraire tirer une leçon des conséquences inhérentes à un événement.
Lâcher prise, c’est reconnaître son impuissance, c’est à dire que le résultat final n’est pas entre nos mains.
Lâcher prise, ce n’est pas blâmer ou vouloir changer autrui, mais donner le meilleur de soi-même.
Lâcher prise, ce n’est pas prendre soin des autres, mais se sentir concerné par eux.
Lâcher prise, ce n’est pas ‘’assister’’ mais encourager.
Lâcher prise, ce n’est pas juger, mais accorder à autrui le droit d’être humain.
Lâcher prise, ce n’est pas s’occuper de tout ce qui arrive, mais laisser les autres gérer leur propre destin.
Lâcher prise, ce n’est pas materner les autres, mais leur permettre d’affronter la réalité.
Lâcher prise, ce n’est pas rejeter, mais au contraire accepter.
Lâcher prise, ce n ‘est pas harceler, sermonner ou gronder, mais tenter de déceler ses propres faiblesses et de s’en défaire.
Lâcher prise, ce n’est pas adapter les choses à ses propres désirs, mais prendre chaque jour comme il vient et l’apprécier.
Lâcher prise, ce n’est pas critiquer ou corriger autrui, mais s’efforcer de devenir ce que l’on rêve de devenir.
Lâcher prise, ce n’est pas regretter le passé, mais vivre et grandir pour l’avenir.
Lâcher prise, c’est craindre moins et aimer davantage.