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C.R.I.-E.V.H. - n°02 2005 2° partie

 

C.R.I. – E.V.H. n°2


Deuxième partie

 

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Le chemin vers Dieu,


c’est un peu comme d’aller de la
La Vérité relative à la Vérité absolue


Comme dans Mon Père quand j’avais…….


Quand j’avais 4 ans :
Mon Père peut tout faire.
Quand j’avais 5 ans :
Mon Père sait beaucoup de choses.
Quand j’avais 6 ans :
Mon Père est plus intelligent que le votre.
Quand j’avais 8 ans :
Mon Père ne connaît pas tout
Quand j’avais 10 ans :
Dans le passé lorsque mon Père était jeune les choses étaient sûrement différentes.
Quand j’avais 12 ans :
Oh! Bien évidemment mon Père ne peut pas tout savoir. Il est trop vieux pour se souvenir de son enfance.
Quand j’avais 14 ans :
Ne faites pas attention à mon Père, il est si vieux jeu!
Quand j’avais 21 ans :
Lui? Mon Seigneur, il est désespérément hors jeu.
Quand j’avais 25 ans :
Mon Père avait certaines connaissances mais c’était il y a si longtemps.
Quand j’avais 30 ans :
On peut demander à Papa ce qu’il en pense, après tout il a une certaine expérience.
Quand j’avais 35 ans :
Je ne peux rien faire sans en parler à Papa.
Quand j’avais 40 ans :
Je suis émerveillé de la façon dont Papa a tout surmonté. Il était si avisé et avait tant d’expérience.
Quand j’avais 50 ans :
Je donnerais beaucoup pour que Papa soit encore là! Je pourrais parler de tout avec lui, je n’ai pas assez apprécié sa valeur et son intelligence. J’aurais pu encore apprendre tant de lui.


Mes différentes visions de mon père étaient des vérités relatives; au delà ses imperfections humaines j’arrive à la compréhension de ce que mon Père est réellement : le Soi, l’étincelle Divine, qui est en lui comme en moi et ceci est :

la Vérité absolue

 

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Dieu est mort!


Vous devez avoir entendu parler de Martin Luther, le prêtre allemand qui instaura la Réforme et créa le Protestantisme en opposition à l’église Catholique Romaine.
Lorsqu’il était dans une grande dépression il ne souriait plus et parlait à peine. Un jour sa femme changea ses robes bleues et s’habilla tout de noir comme si un mourant était devant elle. Luther fut tout surpris et lui demanda pourquoi elle avait mis de tels vêtements. Elle s’exclama : « Dieu est mort! »
Luther répliqua en colère : « Dieu ne peut pas mourir! » Alors sa femme dit calmement : « S’il en est ainsi pourquoi dans le monde chacun est dépressif? » Luther revint immédiatement à la réalité et à partir de ce jour il n’eut plus jamais un air lugubre.

 

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ycoeur43.gif Ce qui est enseigné et appris devrait emplir votre cœur et se refléter dans vos actions.  ycoeur43.gif

 

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Vos enfants vous surveillent, ils font ce que vous faites

mais non comme vous dites


** Quand tu pensais que je ne regardais pas, je te voyais accrocher ma première peinture sur le réfrigérateur, j’avais immédiatement envie d’en peindre une autre.


** Quand tu pensais que je ne regardais pas, je te voyais nourrir un chat perdu et j’apprenais qu’il faut être bon avec tous les animaux.


** Quand tu pensais que je ne regardais pas, je te voyais faire mon gâteau favori et j’apprenais que les petits détails peuvent être des choses importantes dans la vie.


 ** Quand tu pensais que je ne regardais pas, je t’entendais dire une prière je savais qu’il y a un Dieu, que je pourrais toujours lui parler et j’apprenais à avoir confiance en Dieu.

** Quand tu pensais que je ne regardais pas, je te voyais faire un repas et l’apporter à un ami malade j’apprenais que nous devons nous entre-aider et prendre soin les uns des autres.


** Quand tu pensais que je ne regardais pas, je te voyais donner de ton temps et de l’argent pour aider les gens qui n’avaient rien, j’apprenais que ceux qui ont, doivent donner à ceux qui n’ont pas.


** Quand tu pensais que je ne regardais pas, je te sentais m’embrasser, me dire bonne nuit, je me sentais aimé et en sécurité.


** Quand tu pensais que je ne regardais pas, je te voyais prendre soin de notre maison et de chacun, j’apprenais qu’il faut prendre soin de ce que l’on nous a donné.


** Quand tu pensais que je ne regardais pas, je voyais comment tu prenais tes responsabilités, même quand tu ne te sentais pas bien et j’apprenais que nous devons être responsables lorsque nous grandissons.


** Quand tu pensais que je ne regardais pas, je voyais des larmes dans tes yeux, j’apprenais que parfois des choses blessent mais nous avons le droit de pleurer.


** Quand tu pensais que je ne regardais pas, j’ai appris de toi lorsque j’ai grandi, la plupart des leçons de la vie que j’avais besoin de savoir pour être une personne bonne et efficace .


** Quand tu pensais que je ne regardais pas, je te regardais et je désirais te dire : merci pour toutes les choses que j’ai vues quand tu pensais que je ne te regardais pas.


Chacun de nous - parents ou amis - nous influençons la vie d’un enfant. Ne doutons jamais que nous sommes justement la personne qu’ils regardent.

 

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AIMER...


C'est voir la divinité dans cet autre que tu aimes.
Qu'il voit cette divinité en toi, est le signe de son Amour,
Car la Divinité est Amour.
Faire la volonté céleste, c'est donner cet Amour à tous les êtres.
Si tu sais voir la Divinité partout où tes yeux se posent,
Tu ne manqueras de rien.
Si tu aimes quelqu'un, tu réponds à l'Amour Divin
À travers celui que tu aimes. Si tu t'aimes toi-même, tu deviendras parfait,
Car tu sauras voir l'être Divin qui est en toi et tu le manifesteras en
Purifiant chaque jour davantage ton corps, ton âme et ton esprit.
Alors, la compassion jaillira de ton cœur,
Tu comprendras les peines de tous les êtres et tu pourras les aider.

 

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La meilleure des faveurs


C’était par une sombre nuit pluvieuse. Le roi se promenait sur un étroit chemin. Il était déguisé. Il était vêtu comme un homme commun t ressemblait à un de ses sujets.
Il était complètement trempé par la pluie, mais il ne le réalisait pas, il était suffisamment en bonne santé pour résister au froid, il n’était pas non plus, gêné par l’obscurité. Il n’avait pas peur de faire face au danger.


Ainsi il se promenait tranquillement. Arrivèrent derrière lui, furtivement, une dizaine de bandits. Ils avaient remarqué que le roi se promenait avec un beau cheval et avaient l’intention de lui dérober.
Soudainement les bandits entourèrent le roi. Le roi fut pris par surprise mais il ne paniquait pas. Les bandits étaient à 50 centimètres de lui lorsque six jeunes hommes arrivèrent sur les lieux et vinrent au secours du roi. Ils attaquèrent les bandits par l’arrière. Les bandits obligés de faire face à cet assaut furent incapables de blesser le roi.
Bien que le roi voyagea incognito, quelques-uns de ses gardes du corps le suivaient à distance, ils étaient maintenant arrivés sur les lieux. Les bandits essayèrent de s’échapper mais ils furent bientôt cernés et furent tous capturés par la garde royale.


Le roi était naturellement content d’être sauvé par la garde qui l’avait suivi pour le protéger. Les jeunes gens n’avaient aucune idée du service qu’ils venaient de rendre au roi. Après les avoir remerciés, le roi insista pour qu’ils l’accompagnent au palais.
Les jeunes gens venaient de différents villages lointains. Ils étaient devenus amis depuis qu’ils restaient dans la même auberge.
Le matin, la nouvelle de l’incident était déjà connue. Tout le monde était enchanté en apprenant que les bandits n’avaient pas pu blesser le roi. Les membres de la famille royale, les ministres, les courtisans et le public, tous priaient pour le courage de ces jeunes gens.


Lorsque le roi apparut, les six jeunes gens furent amenés devant lui, le roi se leva de son trône et les embrassa. Il exprima son désir de les récompenser pour l’aide qu’ils lui avaient apportée.
« Laissez-les exprimer chacun la chose qui leur plairait le plus, je promets de la leur accorder instantanément si c’est cela m’est possible » annonça le roi.


Le plus vieux des six exprima le premier son désir. Il réfléchit un moment et dit : « O! roi, j’ai seulement une hutte pour me loger. Depuis longtemps j’aimerais avoir une maison confortable. Pouvez-vous réaliser mon vœux? »
Le roi immédiatement convoqua l’architecte de la cour et lui demanda de faire construire un grand manoir pour le jeune homme.


Le jeune homme suivant demanda à être anobli. Le roi lui accorda un titre et fit de lui un de ses pairs.


Le troisième dit : « Les pauvres gens de mon village vont à la ville chaque semaine pour vendre leurs légumes et les routes ne sont pas bonnes entre mon village et la ville, les villageois en souffrent surtout pendant la saison des pluies. Ma prière est : pouvez-vous nous procurer une bonne route qui relierait mon village et la ville? »
Le roi fit un geste d’approbation et le ministre en charge des routes et des ponts en prit note immédiatement.


Quand on demanda au quatrième jeune homme d’exprimer son vœu il rougit et répondit : « O, grand roi, vous êtes comme mon père trouvez-moi s’il vous plait une jolie femme. »
Le bouffon du roi avait justement une jolie fille. Le roi demanda au bouffon de lui donner la main de sa fille en mariage. Le bouffon acquiesça avec joie.


Le cinquième exprima le désir d’avoir de l’argent. Un sac plein de pièces en or lui fut donné immédiatement.


A la fin vint le tour du sixième jeune homme qui dit : « Mon Roi, j’aimerais que vous soyez mon invité une fois par an jusqu’à ce que l’un des deux meurt. »
Tout le monde fut surpris de cette étrange prière du jeune homme. Certains pensaient qu’il était fou. Même pour le roi la requête lui parut bizarre; mais il avait promis d’accorder les requêtes dans la mesure de ses possibilités. Aussi il accepta de passer un jour et une nuit chaque année dans la maison du jeune homme.


Maintenant il appartenait aux différents responsables du gouvernement du roi de prendre toute les mesures nécessaires pour les visites annuelles du roi dans la maison du jeune homme.


En premier de tout il était nécessaire de construire une bonne route—une route royale—pour aller au village, de façon à ce que le carrosse du roi puisse rouler sans secousse.


Ensuite la question fut soulevée : « Comment pourra vivre et dormir le roi dans la maison du jeune homme, celle-ci était à peine mieux qu’une étable? En peu de temps fût construit pour lui un luxueux château digne d’accueillir le roi.


Mais avec ses maigres revenus, comment pourrait-il entretenir le château et accueillir le roi et son entourage? Pour résoudre ce problème, des dispositions furent prises pour lui attribuer une belle rente mensuelle provenant du trésor royal.


Pour respecter une coutume établie depuis longtemps, le roi ne peut être reçu que chez un noble. Aussi on conféra au jeune homme le rang de noble avec des titres spéciaux. Il était maintenant honoré comme un prince de sang royal.


Il y a encore un élément qui devait être considéré; la femme qui devait être l’hôtesse du roi devait être familiarisée avec les habitudes du roi et ses goûts délicats. Qui pourrait être la plus familiarisée que la fille du roi? Bientôt des dispositions furent prises pour préparer le mariage de la princesse avec le jeune homme.


Le jeune homme maintenant était riche anobli et maître d’un château.
Ainsi en demandant une faveur, le jeune homme obtint tout ce que les cinq compagnons avaient demandé et même plus.


De même en priant pour profiter directement du Divin on obtient les autres richesses comme la dévotion, la pureté et tout ce qui en découle. Nous n’avons pas besoin d’attendre de posséder, en premier, toutes ces qualités pour faire de Dieu l’hôte de notre cœur.

 

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Où est Dieu?


Une fois l’Empereur Hadrien dit à Rabbi Joshua : « Vous parlez de Dieu, mais où est-Il? S’Il existe pouvez-vous me Le montrer? »
« C’est impossible « dit le Rabbin-. L’Empereur insiste : « Comment puis-je croire en un Dieu que je ne peux pas voir? »
Le Rabbin l’emmena dehors, c’était une chaude journée d’été; il dit à l’Empereur : « Maintenant regardez le soleil. » , « Je ne peux pas » répondit l’Empereur »
Alors le Rabbin explique : « Vous n’êtes pas capable de regarder le soleil qui est un serviteur de Dieu, comment pourriez-vous voir Dieu Lui-même? »


Talmud, écritures juives

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De toutes les musiques, ce qui émeut le plus le ciel, c’est le battement d’un cœur aimant.


Henry Ward Beecher

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Gourou Nanak et l’aiguille


Un jour un homme riche, Dhunichand, s’approcha de Gourou Nanak pour être guidé sur le chemin spirituel. Gourou Nanak lui donna une petite aiguille en disant : « Gardez la précieusement jusqu’à ce que je vous la redemande au ciel. »


Sans rien d’autre que ces paroles de Gourou Nanak, l’homme repartit chez lui et donna l’aiguille à sa femme pour qu’elle la garde : « Prends en soin; ne la perds pas » Il l’avertit : « Je dois la rendre à Gourou Nanak au paradis »
« Comment est-ce possible ! » s’exclama la femme; « peux-tu prendre quelque chose lorsque tu vas dans l’au-delà? »
Une lueur éclaira l’esprit de l’homme riche, il retourna voir le Gourou et lui demanda de reprendre l’aiguille.
« Dhunichand pourquoi amassez-vous tant de richesses?
Quand serez-vous prêt pour le moment fatal? »
Le message pénétra le cœur de Dhunichand; il tomba aux pieds du maître et dit : « Que dois-je faire alors? »
« Répétez le nom du Seigneur et utilisez vos millions au service de ceux qui souffrent. » Répondit le Gourou.

 

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Faites quelque chose


Un homme éperdu par toutes les souffrances qu’il voyait autour de lui, s’arrêta et tapa son poing sur la table. Levant la tête il hurla à Dieu : « Regardez cette pagaïe. Regardez toute cette souffrance, regardez tous ces massacres et cette haine. Mon Dieu! Oh mon Dieu! Pourquoi ne faites-vous rien!! »
Et Dieu lui répondit et dit : « J’ai fait, et je vous ai envoyé. »

 

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Le pêcheur et le poisson


Stephan von Stepski-Doliwa


Il était une fois un homme qui aimait occuper ses loisirs en pêchant à la ligne. Pour le reste il ne se souciait pas des tenants et des aboutissants de la vie. Il ne se souciait pas non plus du fait que des poissons mouraient à cause de son occupation.
Un jour il pêcha un grand poisson comme c’est le cas dans beaucoup de contes. Le poisson lui dit : « Je réalise ton souhait le plus cher si tu me laisses la vie ! »


« Je désire être intensément riche » répondit aussitôt l’homme. Le poisson répliqua : « Bon ton souhait est réalisé, il y a une table chez toi ; si tu ouvres son tiroir trois fois de suite, il sera rempli d’argent après la troisième fois. »
Le poisson ajouta : « Mais je mets deux conditions à la réalisation de ton désir :
1) Ne m’oublie pas et
 2) Découvre qui je suis ! »

Le poisson disparut et le pêcheur retourna à la maison, comblé de bonheur. Il trouva la table, ouvrit trois fois le tiroir et le trouva rempli d’argent à la troisième fois.


Ainsi il devint un homme riche. Il acheta des maisons, des propriétés. Il eut beaucoup d’employés. Il se maria et eut plusieurs enfants.
Au fur et à mesure que le temps passait et qu’il s’enrichissait, il oubliait de plus en plus le poisson et sa question, à savoir qui il était.
Au début il pensait parfois aux deux conditions du poisson.
Ensuite il s’irritait réellement en pensant au poisson. Il le trouvait prétentieux et pharisien et il pensa : « Au fond, c’est incroyable ce que ce poisson attendait de moi ». Le temps passait et il avait besoin de toujours plus d’argent pour payer tous les objets de ses désirs. Il était en effet un homme très riche avec les obligations correspondantes.
Un jour se produisit un énorme tremblement de terre qui détruisit tous ses biens. La table magique disparut également. Il ne put sauver que sa vie.


Désespéré, il erra à travers ses propriétés dévastées jusqu’au moment où il s’effondra et s’endormit. Alors le poisson lui apparut dans un rêve et lui dit : « Tu M’as complètement oublié, de même que Mes conditions. Tu ne vivais que pour tes intérêts et tu Me trouvais égoïste parce que Je t’avais posé comme condition de penser à Moi. Quel sot tu es ! Je t’avais posé cette condition de penser à Moi parce qu’elle représentait d’autres cadeaux pour toi. Tant que tu aurais pensé à Moi, tu aurais été en sécurité. Et si tu avais fait des recherches, tu aurais découvert que Je ne peux être que ton Créateur qui t’a tout donné et qui te donne tout.


Maintenant tu as tout perdu. Tu as fais un détour. Les détours peuvent êtes cependant les chemins les plus courts si tu apprends grâce à eux . Et quand Je vois ta souffrance, quand Je vois tes efforts, alors Je suis plein de miséricorde pour toi…. »

 

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Le mal que vous faites…

.
Une femme avait l’habitude de faire tous les jours un chapati ( sorte de pain indien en forme de crêpe) supplémentaire lorsqu’elle en cuisait pour sa famille et elle le laissait sur le rebord de la fenêtre pour quelque créature affamée qui arriverait à le voir.
Alors qu’elle faisait ce petit service elle pensait à son propre fils qui était parti de la maison pour aller chercher fortune ; il n’était pas revenu et n’avait pas écrit depuis.
« Puisse-t-il être en sécurité et avoir suffisamment pour être bien » ainsi priait-elle Dieu chaque jour lorsqu’elle faisait le chapati.


Maintenant un bossu avait découvert son habitude et venait chaque jour chercher le chapati. Au lieu de la remercier pour cette bonne fortune il marmonnait pour lui-même : « Le bien que vous faites retourne vers vous, le mal que vous faites reste avec vous ! »


Ces mots commençaient à irriter la femme. Un jour elle pensa : « Qu’est-ce que cela signifie ? Jamais un mot de remerciement. Ne sait-il pas que l’ingratitude est le plus grand des défauts? »
Maintenant cette pensée habitait en permanence son mental, puis arriva le jour où elle fut au comble de l’exaspération. Elle était déterminée à mettre du poison dans le chapati pour donner une leçon à ce bossu ! Cependant comme elle plaçait le chapati mortel sur le rebord de la fenêtre, sa main tremblait et elle fut prise de remord : « Hé ! Qu’est-ce que je suis en train de faire ? » Secouée elle jeta le chapati dans le feu avec soulagement et le regarda se transformer en cendres.
Elle fit un nouveau chapati, le plaça à l’endroit habituel et rentra, elle n’éprouvait pas le besoin de regarder le bossu qui l’avait mise dans un tel état d’irritation.


Elle alla dans sa salle de méditation pour trouver le réconfort auprès du Seigneur, prier pour le bien-être de son fils et pour son retour sain et sauf. Le soir on frappa à la porte, lorsqu’elle ouvrit, elle fut transportée de joie en voyant son fils devant elle ; mais il était devenu si maigre et si frêle.
« Maman ! » il criait : « C’est un miracle, je suis en vie ! Alors que je revenais à la maison sans un sou j’étais si affamé que je croyais m’effondrer et mourir. Un pauvre bossu a pris pitié de moi et me donna un chapati, en me disant que j’en avais plus besoin que lui. Ce chapati me donna la force de revenir à la maison ! »
La femme s’appuya contre la porte de faiblesse. Si elle n’avait pas mis le chapati dans le feu, elle aurait, sans le savoir empoisonné son propre fils. Mais ses bonnes actions du passé l’aidèrent à dépasser ses mauvaises dispositions ! Et de cette façon sauva la vie de son propre fils.


La roue du Dharma tourne et il arrive le moment où ce que nous avons fait aux autres nous revient.
Nous devons toujours penser à cela avant d’agir.
Tôt ou tard nous récoltons ce que nous semons.

 

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La prière de Socrate


Accordez-moi d’être beau jusqu’au plus profond de mon âme et que toute mon apparence extérieure soit en harmonie avec mon être intérieur.
Que je puisse considérer comme riche l’homme sage et ne pas avoir plus de bien que n’importe quel homme modéré.

 

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Changer le monde


Lorsque j’étais jeune et libre, mon imagination était sans bornes, je rêvais de changer le monde.


Puis, prenant de l’âge et une mesure de sagesse en passant, je décidais de rétrécir quelque peu mon champvisuel et de ne changer que mon pays.
Mais celui-ci s’avéra intransigeant.

J’entrais enfin dans le crépuscule de l’âge et, dans une dernière tentative désespérée, je m’évertuais à changer ma famille, mes proches.
Mais hélas ils n’en voulaient point.

A présent proche de mes dernières heures, je réalise pour la première fois que si je m’étais seulement changé moi-même, j’aurais peut-être été un exemple digne d’influencer ma famille. Fort de son soutien et de ses encouragements, j’aurais eu une chance d’améliorer mon pays et qui sait, j’aurais peut-être enfin pu changer le monde.

( Evêque Anglais du XII ème Siècle)

 

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Date de création : 13/03/2007 @ 11:32
Dernière modification : 06/05/2008 @ 15:12
Catégorie : C.R.I.-E.V.H.
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Pensée du jour
 
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L’homme doit toujours avancer vers la force ; il ne devrait pas se réfugier dans le mensonge, la méchanceté et la malhonnêteté qui sont les caractéristiques fondamentales de la lâcheté. Cette lâcheté est née de l’acceptation d’une image fausse et inférieure de nous-même. Vous pensez que vous êtes l’enveloppe, la couche extérieure, mais vous êtes en réalité le noyau, le cœur. Cette fausse identification est l’erreur fondamentale. Tout effort spirituel doit être dirigé vers la suppression de l’enveloppe et la révélation du noyau central. Aussi longtemps que vous dites « Je suis Untel », vous êtes obligé d’avoir peur, mais une fois que vous dites et éprouvez « Je suis Brahman », vous obtenez une force invincible.
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