La bouée de sauvetage
Bouée de sauvetage
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C.R.I.-E.V.H. - n°07 2006 1° partie
CRI-EVH n°7 1ère partie
«Je vais passer un temps interminable ici et j'ai encore tant de choses à faire. » Je me suis frayé un chemin jusqu'au rayon des jouets. Je me demandais: « Les enfants joueront-ils vraiment avec? » Puis le petit garçon se retourne vers la dame près de lui: « Ma tante, es-tu certaine que je n'ai pas assez de sous? »
Puis il baisse la tête et reste silencieux. Je glisse mon argent avec le sien et nous commençons à compter. Il m'a donné assez de sous pour acheter la poupée et la rose blanche. Puis, je me rappelle un article paru dans le journal quelques jours auparavant qui parlait d'un conducteur en état d'ivresse qui avait heurté une voiture dans laquelle se trouvait une jeune femme et sa fille.
L'amour que ce petit garçon éprouvait pour sa maman et sa sœur, était extraordinaire et en une fraction de seconde, un conducteur ivre lui avait tout enlevé.
Privée des moyens normaux pour étudier, Hélène commença bientôt à explorer le monde en se servant de ses autres sens. Elle suivait sa mère partout où elle allait, en tenant le bas de sa jupe. Elle touchait et sentait tout ce qu’elle rencontrait et tâtait les mains des autres personnes pour voir ce qu’elles étaient en train de faire. Elle imitait leurs gestes et bientôt elle fût capable de faire certaines choses elle-même, comme traire les vaches et pétrir la pâte. Elle apprit même à reconnaître les gens en tâtant leur visage ou leurs vêtements. Elle pouvait aussi dire où elle était dans le jardin en reconnaissant les différentes senteurs des plantes et la sensation du sol sous ses pieds. A l’âge de sept ans elle avait inventé soixante signes différents avec lesquels elle pouvait « parler » à sa famille. Si elle désirait du pain, par exemple, elle faisait semblant de couper une miche de pain et de beurrer les tartines. Si elle désirait une glace elle entourait les bras autour d’elle-même et faisant semblant de frissonner. Ainsi grâce à ses efforts personnels elle commençait à rendre logique ce monde confus et étranger. Bientôt elle commença à apprendre à communiquer. Elle remarqua que les autres personnes se servaient de leur bouche et de leur gorge pour communiquer. Elle réalisa qu’elles utilisaient le son. Parfois elle se tenait entre deux personnes et touchait leurs lèvres. Bien sûr elle ne pouvait pas comprendre ce qu’elles disaient et elle-même ne pouvait émettre aucun son significatif. La frustration de son incapacité à faire comprendre correctement ses paroles augmenta à un tel point qu’elle devint sauvage et indisciplinée. A l’âge de sept ans, ses parents engagèrent un professeur pour Hélène. Âgée de vingt-cinq ans Annie Sullivan venait d’un milieu pauvre et avait été elle-même aveugle jusqu’à la réussite de deux opérations qui lui redonnèrent la vue, elle avait de ce fait, une bonne compréhension du monde isolé qu’Hélène habitait et c’est pour cela qu’elle désirait se consacrer fortement à cette nouvelle tâche. La grande révélation pour Annie et Hélène vint lorsqu’un jour, Annie emmena Hélène à la pompe à eau et pompa de l’eau dans les mains d’Hélène. Alors qu’elle faisait cela, elle écrivit individuellement les lettres « EAU »sur la paume d’Hélène. Hélène réalisa soudainement que les différents signes représentaient la chose qu’elle venait juste de sentir: EAU. Au même moment elle comprit que chaque chose dans le monde devait aussi avoir un nom et pouvait aussi être représentée par une série de signes. Hélène se précipita touchant tout ce qu’elle pouvait trouver et demandait à Annie comment cela s’appelait. De cette façon elle apprit que toutes les choses sont représentées par un ensemble de symboles « un mot » Après cette révélation, vint la prochaine étape – qu’un ensemble de mots peut représenter quelque chose d’intangible – une idée. Annie prenait soin d’apprendre à Hélène les sujets qui l’intéressaient, quelles que soient les idées qui venaient à l’esprit d’Hélène. De cette façon Annie s’arrangeait pour intéresser Hélène à une grande variété de sujets. Elles pouvaient aussi s’adonner à de nombreuses et passionnantes distractions, telles que la navigation à voile et le toboggan. Ainsi grâce à l’amour et à la persévérance d’Annie, Hélène commençait à s’épanouir et à se développer. Elle devenait plus gentille et à l’âge de dix ans elle avait appris à lire et à écrire en Braille. Elle avait aussi appris à lire sur les lèvres des gens en mettant l’extrémitéde ses doigts sur elles et en ressentant leur mouvement et leurs vibrations. Cette méthode est appelée Tadoma une habileté que très peu réussissent à acquérir. Elle apprit aussi à parler, un exploit pour quelqu’un qui ne pouvait pas entendre du tout. Ensuite, Hélène suivit un autre cycle d’enseignement à Boston etNew York, pendant laquelle Annie lui servait d’interprète et de guide. En 1904 elle fut diplômée avec honneur du Collège Radcliffe, elle avait étudié l’Allemand, le Latin, l’arithmétique, l’histoire et la littérature anglaise. Pendant qu’elle était encore au collège elle écrivit « L’histoire de ma vie ». Ce fut un succès immédiat et cela lui rapporta suffisamment d’argent pour s’acheter sa propre maison.
Pendant tout ce temps Annie était toujours aux côtés d’Hélène l’aidant et la guidant. C’est grâce à ses soins et son amour pour Hélène, grâce à sa persévérance et sa patience qu’Hélène a été capable de développer la volonté de surmonter son invalidité et de traverser les épreuves de son monde solitaire pour prendre sa place et offrir sa participation personnelle. Aujourd’hui, l’agence internationale Hélène Keller est l’une des plus grandes organisations travaillant avec les aveugles d’outre-mer. Bien qu’Hélène soit morte en 1968, son histoire continue encore de nos jours, à inspirer les gens.
Pour prouver au tigre qu'il disait vrai, le chat s'approcha de la fenêtre de la petite maison. Après s'être bien éclairci la voix, il ferma les yeux et poussa un " miaou " plaintif et prolongé, ce qui, dans le langage des chats, voulait dire qu'il avait très faim. Le chat miaula de nouveau et la petite fille s'exclama : " Pauvre petit chat, tu pleures parce que tu as très faim ! Ne pleure plus, je t'apporte tout de suite à manger ! "
Aussitôt dit aussitôt fait, le tigre se rendit sous la fenêtre, il se mit à rugir tellement fort que le chat dut se boucher les oreilles. A cette vue, le tigre oublia sa faim, et courut comme une flèche vers les bois, pendant que l'homme criait : " Ah, tu t'enfuis stupide animal ! " Et il commença à lui tirer dessus. " J'ai cherché à te suivre, dit le petit chat, mais tu courais trop vite pour moi. " Rappelle-toi: lorsque les choses ne vont pas comme nous le voulons,
Lorsque nous nous tournons vers Lui, demandons Lui de nous aider à comprendre nos erreurs, afin de ne plus les recommencer. Si nous sommes réellement sincère, Il nous aidera et peut-être adoucira-t-Il l’épreuve.
Il le félicita sur la qualité de ses poissons et lui demanda combien de temps il avait mis pour les attraper. L’Américain lui demanda pourquoi il ne restait pas en mer plus longtemps pour pêcher plus de poissons. L’Américain lui a alors demandé: mais que faites-vous du reste de votre temps? L’Américain dit: «Vous devriez pêcher plus longtemps et avec le surplus de l’argent vous pourriez acheter un bateau plus grand et avec le revenu supplémentaire vous pourriez acheter plusieurs bateaux. Par la suite vous auriez une grande flotte de bateaux de pêche. Au lieu de vendre à un intermédiaire vous vendriez directement à l’usine ensuite, vous auriez votre propre fabrique de conserves, vous contrôleriez directement la production, la transformation et la distribution.
«Des millions et des millions, mais après cela? »
Quand elle était toute petite, le grand homme la soulevait de terre, chantait un air et dansait avec elle autour de la pièce, et il disait: Quand la petite fille n'était encore qu'une enfant, le grand homme la prenait dans ses bras et lui disait: Alors l'homme riait et disait: La petite fille, qui n'était plus une petite fille, Plus elle apprenait à se connaître elle-même, Elle vit qu'il était vraiment grand et fort, L'une de ces forces était la capacité d'exprimer Peu importe où elle allait dans le monde, Le jour vint où la petite fille, qui n'était plus une petite fille, Il était aphasique, expliqua-t-on à la petite fille. Aussi s'est-elle rendue au chevet du grand homme. La petite fille fit la seule chose qu'elle pouvait faire. Des larmes coulèrent de leurs yeux La tête sur son épaule, elle pensa à plusieurs choses. Elle pensa à la peine qu'elle éprouverait, Le cœur, où la musique et les mots avaient toujours vécu. Elle entendit ce qu'elle avait besoin d'entendre.
Les hommes parlaient sans arrêt pendant des heures. Ils parlaient de leurs épouses, de leur famille, de leurs maisons, de leur travail, de leurs souvenirs de l’époque de leur service militaire où ils étaient comme en vacances. Chaque après-midi l’homme près de la fenêtre qui pouvait s’asseoir passait son temps à décrire à son compagnon toutes les choses qu’il voyait par la fenêtre. L’homme dans l’autre lit se sentait revivre pendant ces périodes d’une heure où le monde s’élargissait et s’animait de toutes les activités et des couleurs du monde extérieur. La fenêtre donnait sur un parc avec un beau lac. Les canards, les cygnes jouaient et nageaient sur l’eau pendant que les enfants faisaient naviguer leurs bateaux en modèles réduits. Les jeunes amoureux marchaient se tenant par la main au milieu des fleurs de toutes les couleurs et au loin il y avait une très belle vue sur la ville. Tandis que l’homme près de la fenêtre décrivait tous ces détails précis l’autre homme à côte de lui fermait les yeux et imaginait la scène pittoresque qui était décrite. Par une chaude après-midi l’homme décrivit un défilé qui passait. Bien que l’autre homme ne puisse pas entendre l’orchestre, de la façon détaillée dont son compagnon décrivait la scène, il pouvait l’imaginer. Les jours et les semaines passèrent. Un matin l’infirmière arriva leur apporter l’eau pour la toilette et elle découvrit le corps sans vie de l’homme près de la fenêtre, il était mort paisiblement pendant son sommeil. Elle était attristée, elle appela les brancardiers pour enlever le corps. Au bout d’un moment l’autre homme demanda s’il pouvait être placé près de la fenêtre. L’infirmière était heureuse de lui faire plaisir elle l’installa confortablement et le laissa seul. Lentement et péniblement il se souleva sur ses coudes pour jeter un premier coup d’œil sur l’extérieur. Il y avait en face un mur blanc. L’homme demanda à l’infirmière pourquoi son compagnon de chambre décédé lui avait décrit de telles choses merveilleuses en dehors de cette fenêtre. L'infirmière répondit que l'homme était aveugle et ne pouvait même pas voir le mur. Elle a dit: «peut-être a-t-il juste voulu vous encourager.»
Aujourd'hui est un cadeau, c’est pourquoi on l'appelle le « Présent ».
Elle s’enlise, se décourage. Elle hésite – Une situation sans issue. Ce n’est pas possible, elle se décourage« A quoi bon! Je vais mourir » et elle coule. Trop de gens ont perdu espoir par hésitation – et se disent: « A quoi bon? Je n’en sortirai jamais. Si l’on est défaitiste, on connaîtra la défaite.
Elle rame avec ses petites pattes, rame sans cesse, sans se lasser. Elle rame tellement et si vigoureusement que la crème se durcit et devient du beurre, la grenouille se perche sur cette motte de beurre et pousse son petit cri de victoire.
Quand tu seras dans la crème, dans la … souviens-toi de cette parabole.
Elle m’a dit: «Bonjour beau jeune homme. Mon nom est Rose. J’ai 87 ans. Est-ce que je peux t’embrasser? » J'ai ri et ai répondu avec enthousiasme, «naturellement vous pouvez !» et elle m'a donné une grande accolade. «Pourquoi êtes-vous à l'université à un si jeune âge innocent? » ai-je demandé. Elle a répondu en plaisantant: « Je suis ici pour rencontrer un riche mari, pour me marier, et pour avoir des enfants… » « Non sérieusement? » Ai-je demandé. J'étais curieux de savoir ce qui la motivait de relever ce défi à son âge Après les cours nous avons marché jusqu’au bar des étudiants et avons bu ensemble un chocolat. Nous sommes devenus tout de suite des amis. Chaque jour les trois mois suivants nous quittions la classe ensemble et parlions sans arrêt. J'étais toujours hypnotisé en écoutant cette « machine à remonter le temps » car elle partageait sa sagesse et son expérience avec moi. Au cours de l’année, Rose était devenue la mascotte du campus, elle se faisait facilement des amis partout où elle allait. Elle aimait s'habiller avec élégance et elle prenait plaisir de l'attention que lui accordaient les étudiants. Elle vivait pleinement. À la fin du semestre nous avons invité Rose à parler à notre banquet du football. Je n'oublierai jamais ce qu'elle nous a enseigné. Sur l’estrade après que nous l'avons présentée, alors qu'elle commençait le discours qu’elle avait préparé, elle laissa tomber ses documents sur le sol. Ennuyée et un peu embarrassée elle s'est penchée vers le microphone et a simplement dit: « Je suis désolée d’être si nerveuse. J'ai renoncé à la bière pour le Carême et ce whisky m’a achevé! Je n’arriverai jamais à remettre dans l'ordre les feuilles de mon discours aussi laissez-moi vous dire juste ce que je sais. » Pendant que nous riions elle a éclairci sa gorge et a commencé: « Nous ne devons pas cesser de jouer parce que nous sommes vieux ; nous vieillissons parce que nous cessons le jeu. Quand vous perdez vos rêves, vous mourez. Il y a tant de personnes qui tournent en rond qui sont mortes et ne le savent même pas ! Il y a une énorme différence entre vieillir et grandir. Si vous avez dix-neuf ans que vous restez dans le lit pendant une année complète et que vous ne faites rien de productif, vous arriverez à vingt ans. J’ai quatre-vingt-sept ans si je restais dans le lit pendant une année et ne faisais jamais rien j’arriverais à quatre-vingt-huit ans. Quiconque peut vieillir. Cela ne demande aucun talent ou capacité. L'idée est de grandir en trouvant toujours l'opportunité de changer. N'avoir aucun regret. Les personnes âgées habituellement n'ont pas des regrets pour ce qu’elles ont fait, mais plutôt pour des choses qu’elles n'ont pas faites. Les seules personnes qui craignent la mort sont celles qui ont des regrets » Elle a défié chacun de nous d'étudier le chant et de vivre pleinement dans nos vies quotidiennes. Une semaine après avoir atteint son objectif, Rose est morte paisiblement dans son sommeil. Une devise a été gravée en souvenir de la mémoire de la merveilleuse Rose. « SE RAPPELER : Notre vie n’est pas faite de ce que nous obtenons mais de ce que nous donnons.
Bien sûr, dans mon enfance, je ne voyais pas bien cet intérieur. Lorsque quelqu'un me faisait remarquer qu'une décoration était plus ou moins jolie, je n'y portais pas attention ou plutôt je ne voulais pas y porter attention, je la cachais ou bien je ne la regardais plus mais, tôt ou tard cette décoration refaisait surface par je ne sais quelle magie. J'y vivais comme un automate. Je la détestais, je la fuyais, je ne lui trouvais plus rien de beau. J'avais beau fuir, cette maison me suivait, j'aurais voulu la démolir.
En plus de les avoir oubliées lorsque je les ai ressorties j'ai eu peine à croire qu'elles m'avaient déjà appartenu. J'ai fini par trouver de belles choses et finalement accepter de les accrocher bien en vue, non pas pour les montrer aux autres dans le but de faire envie mais bien plus pour les voir et les admirer moi-même. Quelle satisfaction que de redécouvrir la beauté !
Je ne fais que commencer. Je ne fais que commencer, la route sera longue mais bien entourée elle me semblera plus facile.
Le singe, qui désire la nourriture, mettra sa main à l’intérieur du pot pour prendre une grande poignée de friandises. En conséquence, le singe est incapable de retirer sa main par l'étroite ouverture. C’est seulement en lâchant ce qu’il tient qu’il pourra retirer sa main. Sa main est prisonnière à cause de son désir de nourriture Il ne sera libéré que si sa main lâche ce qu’il tient.
C'est le désir qui nous lie.
C'est dire : Veux-tu un café ? …Es-tu fatigué(e)? … C'est un coup de téléphone, C'est accueillir l'autre tel qu'il est, l'écouter avec son cœur, ne pas se presser… La parole peut mentir, mais le regard ne ment pas…
C'est dire : " Je t'aime ". C'est être capable de dire : C'est pouvoir aussi dire sans envie: Mais si l'amour ne nous habite pas,
Date de création : 03/12/2006 @ 23:19
Dernière modification : 06/05/2008 @ 15:27
Catégorie : C.R.I.-E.V.H.
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| Pensée du jour
L’homme doit toujours avancer vers la force ; il ne devrait pas se réfugier dans le mensonge, la méchanceté et la malhonnêteté qui sont les caractéristiques fondamentales de la lâcheté. Cette lâcheté est née de l’acceptation d’une image fausse et inférieure de nous-même. Vous pensez que vous êtes l’enveloppe, la couche extérieure, mais vous êtes en réalité le noyau, le cœur. Cette fausse identification est l’erreur fondamentale. Tout effort spirituel doit être dirigé vers la suppression de l’enveloppe et la révélation du noyau central. Aussi longtemps que vous dites « Je suis Untel », vous êtes obligé d’avoir peur, mais une fois que vous dites et éprouvez « Je suis Brahman », vous obtenez une force invincible.
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