La bouée de sauvetage
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C.R.I.-E.V.H. - n°05 2006 1°partie
C.R.I.- E.V.H. n° 5
En quoi la lubie se distingue-t-elle de la volonté ? La lubie est spontanée, c’est un désir dépourvu de liens structurels avec la personnalité et les buts de l’homme, sauf chez lez enfants en bas âge, pour qui les envies capricieuses sont un schéma de comportement normal.
« Pourquoi pas ? » Cette velléité de réponse, quand on demande à quelqu’un s’il veut faire telle ou telle chose, peut dans bien des cas être attribuée à une lubie et est un critère permettant de la reconnaître. Les gens qui ne répliquent pas « pourquoi ? », mais « pourquoi pas ? » à telle question, n’entreprennent pas une chose parce qu’ils ont de bonnes raisons de la faire, mais parce qu’ils n’ont pas de raison de ne pas la faire. Ils n’agissent pas en manifestant une volonté, mais ils sont mûs par des lubies. La lubie dénote une profonde passivité intérieure, mêlée au désir d’échapper à l’ennui.
D’après Erich Fromm ( L’art d’être) En conclusion : n’agissons plus comme des enfants mais devenons des adultes.
Étonné, l'homme s'y installa en disant que le comble du bonheur serait atteint si une jeune fille venait masser ses jambes percluses. La jeune fille apparut et le massa très agréablement. L'homme se régala. Il mangea et il but. La tête lui tournait un peu. Ses paupières, sous l'action du vin et de la fatigue, s'abaissaient. Il se laissa aller de tout son long sur le lit, en pensant encore aux merveilleux évènements de cette journée extraordinaire. « Je vais dormir une heure ou deux, se dit-il. Le pire serait qu'un tigre passe par ici pendant que je dors. » Vous avez en vous, un Arbre à souhait, qui attend vos ordres.
Johann Gottfried Herder
« Rien ne sert de courir il faut partir à point . »
Le lièvre déçu d’avoir perdu la course, fit son auto-critique. Il se rendit compte qu'il a perdu la course seulement parce qu'il avait été présomptueux, paresseux et négligent. S'il n'avait pas considéré la chose comme acquise, en aucune manière la tortue aurait pu le battre. Aussi, il défia à nouveau la tortue pour une autre course. La tortue accepta. Cette fois, le lièvre démarra et courut sans s’arrêter du début jusqu’à l’arrivée. Il gagna avec plusieurs mètres d’avance. Moralité : Il vaut mieux être rapide et persévérant que lent et persévérant Il est bon d'être lent et régulier; mais il vaut mieux être rapide et régulier.
Le lièvre et la tortue ont également appris une autre leçon importante: Quand nous cessons de considérer un concurrent comme un rival et qu’à la place nous faisons face à la situation, nos résultats seront bien meilleurs.
Daniel Zanin
Auteur:Samuel Ullman (traduction inédite)
Martin Luther(1483-1546)
Vinay Kapoor
Et le guide a dit : « Oui, c’est un dur chemin, et vous serez vieille avant d’arriver au bout. Mais la fin sera meilleure que le commencement. » Comme la jeune mère était heureuse, il ne lui était pas possible de croire que quelque chose puisse être plus merveilleux que ces années qu’elle était en train de vivre. Car elle a joué avec ses enfants, elle les a nourris et les a baignés, et leur a enseigné comment attacher leurs chaussures et monter à vélo et leur a inculqué des notions telles que : nourrir le chien, faire leur devoirs et se brosser les dents. Le soleil brillait et la jeune mère dit : « Rien ne peut être plus beau que cela. » Puis, les nuits sont arrivées avec les orages et le chemin était parfois sombre. Lorsque ses enfants tremblaient de crainte et de froid, la mère les entouraient de ses bras et les enfants disaient : « Maman nous n'avons pas peur, parce que tu es près de nous, aucun mal ne peut nous arriver. » Au matin lorsqu’un obstacle se dressait devant eux, les enfants y grimpaient et se développaient. La mère était lasse, mais à tout moment elle disait aux enfants : « Un peu de patience et nous arriverons au but. »Ainsi les enfants ont grandi, et en même temps ils ont appris à faire face aux orages. C’est ainsi qu’elle leur a donné la force d’affronter le monde. Année après année, elle leur a montré la compassion, la compréhension, l’espoir, mais surtout… l’Amour Inconditionnel. Lorsque la mère, s’allongeait le soir et regardait les étoiles elle se disait : « Ceci est un des meilleurs jours de ma vie parce que mes enfants ont tellement bien appris que maintenant ils transmettent ces qualités à leurs enfants. » Lorsque le chemin devenait trop dur pour elle, ses enfants la portaient et lui donnaient leur force, exactement comme elle la leur avait donnée. Un jour, ils sont arrivés à une colline, et au delà de la colline, ils pouvaient voir une route brillante flanquée de larges portes dorées. La mère dit: « Je suis arrivée à la fin de ma route, et maintenant je sais que l'extrémité est meilleure que le commencement, parce que mes enfants peuvent marcher avec fierté tenant la tête haute et que leurs enfants feront de même après eux. » Les enfants répondirent : « Maman tu seras toujours avec nous, même lorsque tu seras passée de l’autre côté. » Et, pendant qu’elle partait seule, ils l'ont veillée, jusqu’à ce que les portes se soient refermées derrière elle. Votre mère sera toujours avec vous. Elle est le chuchotement du feuillage lorsque vous descendez la rue, elle est le souvenir de l'odeur de certains aliments, des fleurs que vous avez cueillies pour elle, du parfum qu’elle portait, elle est la main fraîche sur votre front quand vous ne vous sentez pas bien, elle est votre souffle dans l’air un jour froid d' hiver. Elle est le bruit de la pluie qui vous calme et vous aide à vous endormir, elle est les couleurs d'un arc-en-ciel, elle est le matin de Noël. Votre mère vit à l'intérieur de votre sourire, elle est cristallisée dans chaque larme qui coule. Une mère assiste à chaque émotion… la joie, la tristesse, la haine, la colère, la peur, la jalousie, le bonheur, l’amour, l'abandon, l’excitation, la douleur, mais à chaque fois elle espère et prie pour que vous n’éprouviez que les bons sentiments. Elle est l'endroit d’où vous êtes venu, votre première maison et elle est l’exemple que vous suivez à chaque décision que vous prenez. Elle est votre première passion, votre premier ami, même votre premier ennemi, mais rien sur terre ne peut vous séparer d’elle. Ni le temps, ni l'espace... pas même la mort!
Catherine Enjolet
Il était une fois... un garçon qui naquit malade, d'une maladie qui n'avait pas de traitement. Il vivait toujours chez sa mère, sous l’œil attentif de cette dernière. C'était dur et il décida de sortir seul, seulement pour une fois. Il demanda la permission à sa mère qui la lui donna. En marchant dans son quartier il vit beaucoup de boutiques. En passant devant un magasin de musique et en regardant la vitrine, il nota la présence d'une fille très douce et de son âge. Ce fut le coup de foudre. Il ouvrit la porte et entra en ne regardant qu'elle. En s'approchant peu à peu, il arriva au comptoir où elle se trouvait. Elle le regarda et lui demanda en souriant:" Je peux t'aider? Il pensa que c'était le sourire le plus beau qu'il avait vu de toute sa vie. Il désira l'embrasser en ce même instant. Il lui dit en bégayant: " Oui, heeeuuu... J'aimerais acheter un CD". Sans réfléchir, il prit le premier qu'il vit et lui donna l'argent. " Tu veux que je te l'emballe?" Demanda la fille en souriant de nouveau. Il répondit que oui, en bougeant la tête, et elle alla dans l'arrière-boutique pour revenir avec le paquet emballé et le lui remettre. Il le prit et sortit du magasin. Il retourna chez lui, et à partir de ce moment, il alla au magasin chaque jour pour acheter un CD. Sa mère fut mise au courant de cela et tenta de l'encourager à s'aventurer, de sorte que le jour suivant il s'arma de courage et se dirigea vers le magasin. Comme tous les autres jours, il acheta un CD, et comme toujours, elle s'en alla derrière pour l'emballer. Elle prit donc le CD et pendant qu'elle l'emballait, il laissa rapidement son numéro de téléphone sur le comptoir et sortit en courant du magasin. Quelque temps après... le téléphone sonna… La mère du garçon répondit: "Allô?", c'était la jeune fille qui demandait après son fils et la mère inconsolable, commença à pleurer pendant qu'elle disait: "Quoi, tu ne sais pas? Il est mort hier". Il y eut un silence prolongé, excepté les lamentations de la mère. Plus tard, la maman entra dans la chambre de son fils pour se souvenir de lui. Elle décida de commencer par regarder ses vêtements de sorte qu'elle ouvrit son armoire. Elle eut la surprise de se heurter à une montagne de CD emballés. Aucun n'était ouvert. Le fait de voir autant de CD la rendit curieuse et elle ne résista pas; elle prit un CD et s'assit sur le lit pour l'ouvrir; en faisant cela, un petit bout de papier tomba de la boîte de plastique. La maman le rattrapa et le lut, il disait: " Salut!!! T'es super mignon, tu veux sortir avec moi?". TQM....Sofia.
Ce message a été écrit pour faire réfléchir les gens; et ainsi, peu à peu, faire changer le monde.
Donne un bisou à quelqu'un que tu aimes et ce sera magique. Avec de l'amour tout est possible.
Paolo Coelho
Par S. Nayar Harry, le hérisson vivait à la lisière d’un grand bois, au milieu d’une réserve naturelle. Tous les jours de nombreux visiteurs visitaient le parc et les habitants des environs venaient s’y promener. Mais Harry n’avait jamais rencontré d’être humain de sa vie. Le jour il dormait dans son terrier, ce n’est que lorsque venait la nuit, qu’il sortait pour chercher sa nourriture et explorer les alentours. Lorsqu’il était effrayé il se roulait en boule, avec ses épines piquantes pointées vers l’extérieur pour le protéger et il restait tranquille jusqu’à ce que le danger ait disparu, c’est habituellement ce qui se passait et ensuite il pouvait continuer son chemin. Un soir, alors qu’il faisait sombre, Harry marchait dans le sous-bois cherchant sa nourriture favorite: les vers de terre. Harry aimait les vers de terre; il n’en avait jamais assez. Il s’arrêtait à une place et commençait à creuser dans la terre avec ses pattes de devant. Il avait de la chance, juste au-dessus du sol il y avait un gros ver savoureux ! Heureux de sa chance il commença à mâchouiller bruyamment, se réjouissant d’avoir bientôt le ventre plein. Tout en mangeant, il pensait qu’il pourrait rencontrer cette nuit, un des animaux de la forêt. Il savait qu’il ne devait pas s’approcher de certains, tel que Renard, mais il aimait toujours dire bonjour aux autres tels que Blaireau et Lapin, s’il avait la bonne fortune de les rencontrer. Après quelques minutes, lorsqu’il eut fini de manger, Harry décida d’aller voir ce qu’il y avait dans le buisson devant lui. Il remuait son petit nez et reniflait, comme le fait tout bon hérisson et ne sentant aucun danger il avançait doucement. Comme il arrivait près du buisson, il sentit une odeur inhabituelle. C’était quelque chose qu’il n’avait jamais rencontré avant. Ce n’était pas un animal, comme les odeurs d’animaux qu’il connaissait ; c’était quelque chose de très étrange. La curiosité le poussait de plus en plus et, au lieu de faire demi-tour, de partir dans une autre direction, comme il aurait dû le faire, il pénétra davantage dans le buisson. L’étrange odeur augmentait, et tout à coup il sentit le sol descendre et sa petite patte dérapa sur quelque chose de glissant. Maintenant affolé, sa réaction instinctive était de s’enrouler et de se mettre en boule. Alors qu’il faisait cela, son corps déboula en avant de la petite butte de terre, avant d’être arrêté soudainement. Il restait sans bouger, effrayé, se demandant ce qui allait arriver. L’étrange odeur était encore autour de lui. Il était immobile depuis quelque temps et rien d’autre ne lui arrivait. Harry devint plus courageux et bougea légèrement. Il entendit un étrange bruissement. Alors étirant son corps il commença à marcher. L’étrange bruit restait avec lui. Maintenant il sentait qu’il y avait quelque chose au-dessus de lui, et enfin finalement il réalisa qu’il y avait quelque chose d’enfoncé sur la pointe des épines de son dos, mais il ne savait pas ce que c’était. Cela avait une étrange odeur, faisait un bruissement amusant mais n’était pas lourd du tout. Il savait qu’il devait s’en débarrasser, mais ne savait pas comment. « Blaireau » cria Harry, « pouvez-vous m’aider à retirer ce qui est sur mon dos ? » Après quelques minutes il croisa Lapin qui se précipitait. Après avoir marché quelques minutes, Harry entendit quelque chose sous terre, juste devant lui. Alors une tête sortit du sol . C’était taupe. Maintenant, Harry se sentait très triste et ses yeux étaient pleins de larmes. Pourquoi n’y avait-il personne pour l’aider ? Lentement il se dirigea vers le buisson le plus proche essayant de se cacher et commença à crier. Finalement se sentant épuisé et triste il tomba endormi. Le lendemain matin, Jack, âgé de dix ans marchait sur le chemin dans le bois avec son père et son Labrador Hudson. Tout à coup Hudson commença à aboyer sur quelque chose devant lui près du chemin. « Qu’est-ce qui inquiète Hudson ? » dit Jack à son père. « Regarde Papa, » dit Jack, alors que son père s’agenouillait à côté de lui. « Le sac est pris dans les épines du hérisson » « Chut, tais-toi maintenant Hudson » dit Jack : « Tu l’effraies » « C’est pourquoi il est important que les gens ne jettent pas leurs ordures lorsqu’ils se promènent dans les bois. » Le père de Jack continua : « Ce hérisson aurait pu mourir avec ce sac enroulé autour de lui . » « Oui papa » a répondu Jack. « On nous avait dit à l'école de ne pas jeter nos déchets dans la nature mais de les ramener à la maison et maintenant je comprends pourquoi. » Pendant qu'ils marchaient, ils se retournèrent un moment pour regarder où ils avaient vu le Hérisson, comme pour lui dire au revoir.Harry était resté roulé en boule.Il resta encore très effrayé pendant un bon moment après qu'ils aient disparu. Quand il fut sûr que le danger était passé, il se déplaça toujours très légèrement. Il ne sentait plus la chose qui était sur son dos. Se sentant soulagé, il s'est déroulé et a étiré ses petites jambes. Puis, en reniflant la terre autour de lui, il a marché de nouveau lentement dans le bois, dans la direction de son terrier, en ne sachant pas ce qui lui était arrivé.
Black Elk ( chef spirituel des Sioux) Source: Guillaume Leroutier Toute une région du sud de la Chine venait de subir un terrible tremblement de terre. Un jour, une femme était partie seule et loin du village pour chercher de l'eau. Alors qu'elle remplissait ses jarres à la source, elle aperçut à quelques dizaines de mètres un homme qui semblait âgé assis à l'ombre d'un arbre. Elle n'eut pas peur et s'avança vers lui. - Qui es-tu ? lui demanda t-elle Il lui fit signe de s'asseoir non loin de lui. La femme s'assit et commença à lui raconter le tremblement de terre et les jours pénibles qui s'écoulaient depuis, au village. - Écoute-moi, dit le Sage : Tant que tu regrettes ce qui s'est passé, tu ne pourras évacuer ta douleur. La peur, la tristesse et le désespoir font partie de l'évolution de l'homme. C'est une évolution que tu dois traverser, mais tant que tu es la proie de ces émotions négatives, tu ne peux pas utiliser ce que tu es. Les sages, ceux qui savent comment aider les gens à se voir eux-mêmes, ne se laissent pas impliquer par ce qui a été. Ils ne sont concernés que par l'instant présent. Ils peuvent voir l'avenir et le passé mais ne se laissent entraîner ni par l'un ni par l'autre. Il te faut te connecter à ton guide intérieur pour apprendre à vivre entièrement dans et pour le présent. C'est ainsi que disparaissent les émotions négatives. - Mais j'ai tellement perdu confiance en moi et en la vie avec cette terrible catastrophe qui a détruit notre vie. Au fur et à mesure que le Sage parlait, la femme se sentait plus légère et elle commençait à relativiser ce qu’elle avait vécu. Les paroles du Sage imprégnaient son être en ces moments difficiles. Puis, le Sage sortit un miroir de sa poche. Il était à peine plus grand que la paume de sa main. Il le tendit à la femme de façon à ce qu’elle puisse voir son visage. Elle y vit son visage triste aux traits tirés par la fatigue. Puis le Sage se concentra et soudain le miroir se brisa et joncha le sol de ses éclats. Aussitôt, la femme sentit son visage se détendre et sa fatigue disparaître. Elle ferma les yeux quelques instants. Lorsqu’elle les rouvrit, le Sage avait disparu. A peine surprise et sans chercher à comprendre, elle retourna parmi les siens légère et vivante.
Sagesse chinoise
Mais avons-nous déjà pensé que si nous étions réellement à la place de l’autre personne, vraiment « dans ses souliers », nous serions alors aux prises avec ses émotions, ses préjugés, ses réactions, ses inquiétudes, ses ambitions, ses objectifs, ses inhibitions, ses instincts, bref, nous aurions son passé, son présent et son avenir et il est fort probable que nous agirions exactement de la même façon qu’elle. Avant de condamner quelqu’un, essayons non seulement de le comprendre, mais de vibrer au même diapason que lui et nous constaterons alors que nos émotions ressemblent aux siennes. (Auteur inconnu)
« AUJOURD'HUI MON MEILLEUR AMI M'A GIFLÉ AU VISAGE. » Ils ont continué à marcher jusqu'à ce qu'ils trouvent une oasis, où ils décidèrent de prendre un bain. Celui qui avait été giflé tomba dans la boue et commençait à se noyer, son ami le sauva. « AUJOURD'HUI MON MEILLEUR AMI M’A SAUVÉ LA VIE. » L'ami qui avait giflé et sauvé son meilleur ami lui demanda : L'autre ami a répondu : « Lorsque quelqu'un nous blesse nous devons l'écrire sur le sable où les vents du pardon peuvent l'effacer. Mais, lorsque quelqu'un fait quelque chose de bon pour nous, nous devons le graver dans la pierre où aucun vent ne peut jamais l'effacer. »
Entendant celale mari fait monter son épouse sur l’âne. Il marchait derrière eux. Entendant ceci, l'épouse descend rapidement etlaisse le mari monter sur l'âne. Le mari a rapidement demandé à son épouse de le rejoindre sur l'âne. Puis, ils ont rencontré un jeune homme qui a commenté : "Pauvre âne, comment pouvez-vous supporter le poids de deux personnes. Elles sont cruelles pour vous." Entendant cela, le mari et l'épouse immédiatement descendent de l'âne et le portent sur leurs épaules.
que ce soit dans le passé, le présent ou le futur.
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« Que se passe-t-il? » Kerri s'est tournée vers deux de ses amies pendant qu'elles s'asseyaient près d'elle. Kerri sourit à nouveau, cette fois-ci réellement : « J’étais juste perdue dans mes pensées, je suppose. Le temps reflète en ce moment ce que je ressens. » Le vent soufflait aussi sur les arbres et leurs branches se balançaient dans tous les sens, elles grinçaient et gémissaient sous la contrainte. La pluie était fouettée en bas sur la cour de récréation, elle bouillonnait avec un bourdonnement incessant. Diane a frémi : « Si cela reflète ton humeur, tu ne dois pas être bien! » « Mais c’est ce que font les chats! » S’exclama Juniper tandis que Diane lui lançait un regard sévère pour la faire taire.« Enfin parfois. » Continua-t-elle plus doucement :« Franchement elle sera de retour dans un jour ou deux, Kerri. » « OH, c’est terrible, Kerri.Tu dois avoir le cœur brisé. » a dit Diane pleine de sympathie.« J’imagine comment je me sentirais si cela arrivait à mon chien et il n’est jamais parti; surtout pendant si longtemps ! » « Je suis sûr qu'elle va bien » dit Juniper. « C’est un chat intelligent et les chats sont des brillants chasseurs. Elle trouvera de quoi manger. » Juniper, le menton appuyé sur ses mains, savait juste que la chatte de Kerri allait bien. Quelque chose à l’intérieur le lui disait. Au fond d’elle-même, eIle savait que la chatte était vivante, ils devaient tous aider Kerri pour découvrir où était Samba. Peut-être était-elle coincée quelque part, ou enfermée à l’intérieur, il fallait juste chercher activement. Juniper se lève rapidement et se dirige vers le bureau au milieu de la salle de classe. Elle prend un rouleau de papier et le cogne très fort. Les autres enfants dans la salle ont cessé de parler et l’ont regardée surpris. « Hé ! Vous tous,Kerri a besoin de notre aide. »Juniper raconta aux autres enfants, la disparition de la chatte et de son plan pour commencer la recherche. « Bien, nous pourrions faire quelques affiches pour les mettre dans les magasins du village, la poste et aussi autour du village. Peut-être pourrions-nous en faire maintenant ?Nous pourrions en faire beaucoup si nous nous y mettons tous ensemble. » Les enfants ont accepté et ont commencé par dessiner des affiches. Elles étaient toutes de différentes couleurs, quelques enfants ont même dessiné des images de Samba. A la fin de la récréation il y avait une pile d’affiches prêtes à être posées. « Mais, vous avez été bien occupés! » a commenté leur professeur, M. Thomas, quand il est entré dans la salle de classe. « Qu’avez-vous fait ? » Les enfants ont accepté et ont commencé à travailler lorsque M. Thomas a donné le plastique. M. Thomas a également sorti une carte d’état major du village et l'a étendue sur son bureau. Il a appelé les enfants autour de lui pour leur montrer : « Cette carte contient les détails du village entier. » A-t-il expliqué.« Toutes les routes et ruelles.Tous les bâtiments, maisons, église et même abris pour les animaux. Regardez. » Il désigna un rectangle isolé dans le coin d'un champ.« Voici cet emplacement. Regardez? » Les enfants commençaient à être excités. Il n’y avait aucun signe de Samba dans la soirée, mais Kerri se sentait bien mieux. C’était bon d'avoir planifié quelque chose, plutôt que de rester assis en rond et de ne rien faire . Cela la rendait plus optimiste.« Tu sembles plus heureuse ce soir. » a dit sa maman. « Je le suis. » Kerri raconta à sa maman ce qui s'était passé à l'école.« Que c’est beau!Comme c’est gentil, chacun travaillant ensemble pour t’ aider. Je suis sûr que vous retrouverez Samba » « Cela nous aidera à la fin. Maintenant divisez-vous en groupes de six et chaque groupe peut rechercher dans une rue. Rappelez- vous, vous devez frapper aux portes des maisons pour demander aux personnes si vous pouvez chercher dans leurs jardins. N’oubliez pas d'expliquer ce que vous faites et d'être poli! Nous nous retrouverons ici dans une heure, chaque groupe a-t-il une montre? Bon, alors allons-y! » Une heure plus tard les groupes ont commencé à revenir. Un à un ils sont entrés dans la salle de classe. Kerri se tenait dans l’attente, prêt de la porte. Son groupe avait recherché sans succès, par le bas vers le ruisseau. Elle espérait qu'un des autres groupes aurait eu plus de chance, mais chaque groupe d'enfants qui revenaient secouaient leurs têtes tristement. Kerri commençait à se sentir l’estomac serré. Elle était si certaine que sa chatte serait retrouvée. « Bonjour Don, qui y a t il ! Entrez. » Le fermier avançait dans la classe portant une grande boîte en carton. Rayonnant, il regardait les enfants.« J’ai lu vos affiches ce matin elles sont très visibles ! J'avais regardé chez moi hier soir, mais je n'avais pas vu la chatte favorie de Kerri. Lorsque j'ai vu vos affiches aujourd'hui, j’ai pensé que peut-être j'avais manqué quelque chose. Après tout, il faisait sombre et la lumière n’était pas trop bonne. » Il a posé la boîte sur le sol. On entendait gratter à l’intérieur et un faible miaulement. Kerri bondit sur ses pieds. Don mit ses doigts sur ses lèvres et fit signe à Kerri d’approcher. Il a doucement ouvert la boîte de telle sorte qu'elle puisse voir à l'intérieur. Kerri avait le souffle coupé d’ébahissement. À l'intérieur, il y avait sa chatte avec en plus cinq chatons minuscules. « Elle va assez bien, ainsi que ses petits. Je pense cependant qu'elle a perdu du poids. Elle a besoin de manger un peu. Qu’en pensez-vous? » Kerri ne pouvait pas répondre. Elle avait perdue la parole. Une grosse boule d'émotion lui nouait la gorge tandis que Samba se frottait sur son menton, en ronronnant.
Le premier jour, le garçon planta 17 clous dans la clôture. Par la suite, comme il apprenait à se dominer, le nombre de clous plantés diminua graduellement. Finalement, un jour vint où le garçon ne perdit pas son calme. Il en fit part à son père, qui l'invita dès lors à retirer un clou de la clôture chaque fois qu'il réussirait à se maîtriser pendant toute une journée. Les jours passèrent... À un moment donné, l'enfant fier de lui, alla trouver son père pour lui dire qu'il avait réussi à arracher tous les clous. Ce dernier prit alors son fils par la main et le conduisit jusqu'à la clôture. Il le félicita pour sa grande volonté, mais il attira aussi son attention sur les trous laissés pas les clous enlevés. Il lui expliqua alors que la clôture ne serait plus jamais la même et que les paroles blessantes, au même titre que les clous, laissent des marques. Peu importe le nombre de fois où tu t'excuseras, la blessure sera toujours là.
MGM Nair /India Un fermier va à la ville demander au propriétaire d'un restaurant s'il aurait l’occasion d’utiliser un million de cuisses de grenouilles. Surpris, le propriétaire du restaurant demande à l'homme où il pourrait obtenir tant de cuisses de grenouilles! Le fermier répondit : « Près de ma maison, il y a un étang qui est plein de grenouilles, il y en a bien un million. Elles coassent toute la nuit et vont me rendre fou! » Ainsi le propriétaire du restaurant et le fermier firent un accord, le fermier livrerait les grenouilles au restaurant, cinq cents par semaine. La première semaine, le fermier est revenu au restaurant, l’air penaud, avec deux petites grenouilles décharnées. Le propriétaire du restaurantdit : « Et bien... où sont toutes les grenouilles? » La prochaine fois que vous entendrez quelqu'un vous critiquer ou se moquer de vous, vous vous rappellerez, que c’est seulement un couple de grenouilles bruyantes. Rappelez-vous en outre, que les problèmes semblent toujours plus importants dans l'obscurité. Vous êtes-vous jamais étendu dans votre lit la nuit, vous inquiétant de choses quivous semblent presque accablantes comme un million de grenouilles qui coassent? Le matin venu en examinant les chosesvous réalisez qu’elles sont plutôt bonnes, et que cela ne valait pas la peine de vous agiter et de vous faire tant de soucis.
Tiré d’une histoire traditionnelle Il était une fois, un lion qui, par une chaude après-midi dans la forêt, somnolait à l’ombre d'un arbre. Il ne s'était pas endormi rapidement, parce que les lions sont toujours sur leurs gardes. Sa lionne lui avait justement attrapé un bon dîner et il se sentait si bien nourri qu’il avait l’impression que pour le moment, personne ne lui ferait de mal. Pendant ce temps, derrière le rocher se faufilait un petit suricate. C’était juste un suricate ordinaire et il n'allait nulle part en particulier. Il avait chaud et était occupé à rechercher un peu d’ombre. Il allait d’un côté et de l’autre, mais où qu’il aille le sol était chaud sous ses pattes, il sautait de-ci de-là comme un malheureux. Quand, soudain, il s'est trouvé une zone fraîche : « Ah »pensa-t-il joyeusement : « C'est juste l'endroit que je recherche. » Il était si heureux d'être à l’écart du soleil qu'il n'avait pas remarqué la grande tête fauve qui était déjà allongée à proximité. « Vous devriez faire plus attention, là où vous allez! », dit une voix profonde. Et, avant que le suricate ait tout à fait réalisé ce qui lui arrivait, une énorme patte hirsutes’abattit sur lui. « C’est vrai ! », dit le lion.Et il a soulevé sa grande patte juste assez pour permettre au suricate de bouger de quelques centimètres avant de la laisser retomber sur lui à nouveau.Tous les chats aiment jouer. « S’il vous plaît, lion » cria le suricate : « S’il vous plaît, laissez-moi partir. » « Je peux vous donner deux raisons » dit le suricate, pensant rapidement. Le lion a ri : « Et comment un petit suricate comme vous peut-il être de quelque aide au Roi de la Forêt? »a-t- il demandé.« Je n’en suis pas sûr. » « Merci beaucoup », dit le suricate avec reconnaissance.« Et ne pensez pas que j'oublierai, parce que nous, les suricates tenons toujours nos promesses. » En disant cela il partitaussi rapidement qu'il le put. Les jours ont passé le lion a oublié sa rencontre avec le suricate. Mais un jour, il est tombé dans un piège. Les chasseurs de la ville voisine avaient creusé un trou profond et l’avaient recouvert d’un filet. Le filet a ensuite été couvert avec de l'herbe et des roseaux. Avec un hurlement de peur et de colère il est tombé à travers les roseaux. « Non, non », dit un autre : « Nous obtiendrions plus d'argent d'un zoo. » Surpris, le lion baissa les yeux et vit que c'était un suricate : « Comment unsuricate peut-il m'aider ? », demanda le lion tristement : « Avec toute ma force je n’arrive pas à briser ce solide filet. » Voyant que personne ne regardait, il a très tranquillement commencé à ronger la corde qui tenait prisonnier le lion. Il remuait de plus en plus rapidement ses mâchoires, et enfin ses petites dents ont lacéré les fibres dures de la corde : « Là ! » a haleté le suricate, alors que la corde tombait en morceaux. « Rampez maintenant doucement hors du filet tandis, que les chasseurs sont occupés à parler. » Avec précaution, le lion est sorti du filet et a suivi le suricate hors du camp des chasseurs puis, retourna à nouveau dans les profondeurs de la forêt. « Petit suricate, je ne sais pas comment vous remercier », dit le lion avec reconnaissance.« Dites-moi ce que vous aimeriez avoir et je ferai de mon mieux pour vous le donner en remerciement de votre aide » « OH, vous ne me devez rien du tout. », dit le suricate : « Ne vous rappelez-vous pas de moi? Je suis le suricate que vous avez libéré par le passé et je vous libère maintenant à mon tour, exactement comme je vous l’avaispromis. Nous les suricates, sommes petits, mais néanmoins, nous faisons notre possible pour tenir nos promesses. » Ainsi quand nous sentons quelqu'un nous marcher sur les pieds soyons aimable avec la personne. Soyons des amis, jamais des ennemis.
Un homme sort de sa maison pour admirer son nouveau camion. À sa grande stupéfaction il vit son fils âgé de trois ans qui martelait joyeusement la peinture brillante de la carrosserie du camion. L'homme courut vers son fils et, en colère, il lui frappa les mains avec un marteau pour le punir. Bouleversé, le père est retourné chez lui et s’est suicidé.
Nous devons contrôler notre colère. Si nous ne le faisons pas... elle se développera infiniment, et, nous conduira à blesser... même ceux qui nous sont les plus chers.
Trop souvent, nous ne faisons pas la différence entre la personne et le comportement.
Si vous essayer d'être vous-mêmes, il y a des êtres qui vous entourent qui partiront (peut-être?) Si vous apprenez à être une personne qui se suffit et qui ne s'accroche pas aux autres, ils resteront encore plus car ils n'auront jamais peur d'être exploités par vous. N'oublions pas aussi que, lorsqu'on enchaîne les autres on s'enchaîne aussi. Fiez-vous à votre intuition, laissez-la vous guider, elle ne vous trompera jamais. Et, si un jour vous échouez dans une démarche, dites-vous que c'est par cette expérience que vous deviendrez encore plus vous-mêmes.... (Marcel Gagnon)
S'accorder le droit de se tromper est pour moi le premier pas vers ce mieux-être.
Date de création : 14/04/2006 @ 17:10
Dernière modification : 04/02/2011 @ 23:29
Catégorie : C.R.I.-E.V.H.
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L’homme doit toujours avancer vers la force ; il ne devrait pas se réfugier dans le mensonge, la méchanceté et la malhonnêteté qui sont les caractéristiques fondamentales de la lâcheté. Cette lâcheté est née de l’acceptation d’une image fausse et inférieure de nous-même. Vous pensez que vous êtes l’enveloppe, la couche extérieure, mais vous êtes en réalité le noyau, le cœur. Cette fausse identification est l’erreur fondamentale. Tout effort spirituel doit être dirigé vers la suppression de l’enveloppe et la révélation du noyau central. Aussi longtemps que vous dites « Je suis Untel », vous êtes obligé d’avoir peur, mais une fois que vous dites et éprouvez « Je suis Brahman », vous obtenez une force invincible.
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29 Avril 2025 Bonne fête à toutes les C'était aussi un 29 Avril Les Françaises votent pour la première fois (élections municipales). Né(e) un 29 Avril 1958 Vous venez de
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