Texte à méditer :  
La peur est une cage où vous êtes enfermé. La spiritualité est la clé de la liberté.
  

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C.R.I.-E.V.H. - n°04 2006 1° Partie

 

C.R.I. – E.V.H. n° 4 Février 2006


1ère Partie

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A méditer avec « l’assise silencieuse »


Nous sommes tous co-créateurs de l’univers, mais la seule chose que nous puissions changer dans l’univers, c’est nous-même et à travers notre changement personnel, nous entraînons les autres à changer, mais directement nous ne pouvons rien.

En conclusion : commençons par nous changer nous-même et lorsque le moment sera venu l’entourage suivra.

 

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Parce que comme cela, elle se sent mieux


Des hommes participaient à une réunion traitant sans aucun doute d’affaires importantes. Différents membres du groupe faisaient leur rapport au leader. Soudainement, la porte s’est ouverte et la femme du leader fit irruption. Elle avançait en réprimandant le leader d’une voix forte et en colère. Elle était fâchée parce que son mari n’était pas passé au magasin, avant le soir, pour acheter du lait.


Tout le monde sauf le leader, était là, choqué et incrédule. Le leader assis, laissa patiemment sa femme terminer sa tirade. Quand elle quitta la salle, une personne demanda au leader, « Pourquoi, Monsieur, l’avez-vous laissée faire cela devant nous tous ? » Avec sagesse et plein d’égards le leader répondit en disant, « Parce que comme cela, elle se sent mieux. »


Cet incident est un exemple évident, d’un des côtés de la personnalité agitée de Mary Todd Lincoln, la femme du 16ème président des Etats Unis, Abraham Lincoln. L’incident eu lieu à la Maison Blanche, lors d’une réunion du Cabinet.

 

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ycoeur43.gif  S’il n’y a pas deux périodes de peine, on ne pourra expérimenter leplaisir. Le plaisir est seulement un intervalle entre deux peines.  ycoeur43.gif

 

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Partager, c’est prendre soin


Il y a quelques années, une grande chanteuse, qui avait acquis une réputation mondiale pour sa voix magnifique et son talent exceptionnel, était allée à une réception.

Il y avait là une petite fille qui avait une jolie voix, aussi lui demanda-t-on de chanter.
Le morceau qu’elle désirait chanter était un duo, un air chanté par deux personnes.
L’enfant chantait la partition principale et elle avait besoin de quelqu’un pour chanter le second rôle. Mais personne ne voulait chanter l’accompagnement. Pour tous les adultes présents, chanter la seconde voix c’était abaisser leur dignité.


Comme personne ne voulait répondre au désir de la fillette, il y eut un silence !!

Alors soudainement la célèbre chanteuse dit : « Si vous voulez, je vais faire la seconde voix. »
Et elle fit ce qu’elle avait dit. Le duo fut chanté par les deux, la voix de la petite fille s’élevait haute et claire tandis que la voix de la plus célèbre chanteuse de l’époque suivait doucement en parfaite harmonie avec la voix de l’enfant.

Cette chanteuse renommée, au cœur noble, avait accepté de partager sa voix avec la petite fille.

 

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    ycoeur43.gif  Le mental est le seul responsable de la joie comme de la souffrance, de l’esclavage comme de la liberté. ycoeur43.gif

 

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La souris des champs et la souris des villes


Il était une fois une petite souris qui vivait à la campagne ; elle invita une petite souris qui vivait à la ville.

Lorsque la petite souris des villes s’assit pour dîner elle fut surprise de découvrir que la petite souris des champs n’avait rien d’autre à manger que de l’orge et des graines. « En réalité » dit-elle : « Vous ne vivez pas bien du tout, vous devriez voir comment je vis ! J’ai toutes sortes de choses délicates à manger, tous les jours. Vous devriez me rendre visite et voir combien il est agréable de vivre à la ville. »
La petite souris des champs était contente et quelque temps après elle alla, à la ville, rendre visite à son amie.


La première chose que la souris des villes fit voir à la souris des champs fut le placard de la cuisine de la maison où elle vivait. Là, sur l’étagère du bas, derrière quelques pots en grès, il y avait un grand sac en papier rempli de sucre brun. La petite souris des villes fit un trou dans le sac et invita son amie à grignoter. Les deux petites souris grignotaient et grignotaient, et la petite souris des champs pensait qu’elle n’avait jamais grignoté des choses aussi délicieuses de sa vie. Elle était en train de penser à la chance de la souris des villes quand, soudainement, la porte fut ouverte violemment par la cuisinière qui venait prendre un peu de farine. « Courez » chuchota la souris des villes. Elles coururent aussi vite qu’elles le purent vers le petit trou par lequel elles étaient entrées. La petite souris des champs était toute bouleversée, mais lorsqu’elles furent hors de danger la petite souris des villes dit : « Ce n’est rien elle va bientôt repartir et nous pourrons y retourner. »


Lorsque la cuisinière fut partie et eut fermé la porte, elles se faufilèrent doucement et cette fois-ci la souris des villes avait quelque chose de nouveau à lui montrer. Elle emmena la petite souris des champs dans un coin de l’étagère du haut, où était grand ouvert un pot de pruneaux. Avec beaucoup d’efforts, elles en sortirent un du pot et commencèrent à le grignoter sur l’étagère. C’était encore meilleur que le sucre brun. La petite souris des champs appréciait tellement cette saveur qu’elle n’arrivait pas à grignoter assez vite, mais, tout à coup, au milieu de leur repas, il y eut un grattement à la porte et un bruyant et perçant : « MIAHOU ! »

« Qu’est-ce que c’est ? » dit la souris des champs. La souris des villes chuchota seulement : « Chut ! » et elle courut aussi vite qu’elle put vers le trou. La souris des champs courut aussi, vous pouvez le croire, aussi vite qu’elle put.

Aussitôt qu’elles furent hors de danger, la souris des villes dit : « C’était la vieille chatte, c’est la meilleure : « souricière » de la ville, si elle vous attrape, vous êtes perdue. »

« Ceci est vraiment terrible » dit la petite souris des champs, « Nous ne retournerons plus dans le placard. »
« Non » dit la petite souris des villes, « Je vais vous emmener à la cave, là, il y a quelque chose de spécial. »


Ainsi, la petite souris des villes fit descendre l’escalier de la cave à sa petite amie. Il y avait là un grand placard avec de nombreuses étagères. Sur les étagères, il y avait des pots de beurre et de fromage emballés ou pas. Au-dessus pendaient des chapelets de saucisses et il y avait aussi un tonneau de pommes aigres.

Cette si bonne odeur montait à la tête de la petite souris des champs. Elle courrait le long de l’étagère, elle grignotait un petit morceau de fromage par ci, un peu de beurre par là, lorsqu’elle aperçut un morceau de fromage sentant délicieusement bon, posé bizarrement dans un coin. Elle allait mettre les dents dans le fromage lorsque la souris des villes la vit : « Stop, stop ! »cria la souris des villes : « C’est un piège ! »

La petite souris de campagne s’arrêta et dit : « Qu’est-ce que c’est qu’un piège ? »
« Cette chose est un piège » dit la petite souris des villes : « à la seconde où vous touchez le fromage avec vos dents quelque chose s’abat fortement sur votre tête et vous êtes morte. »
La petite souris des champs regardait le piège, regardait le fromage et regardait la petite souris des villes« Si vous voulez bien m’excuser » dit-elle « Je pense que je vais retourner à la maison, je préfère avoir de l’orge et des graines à me mettre sous la dent, mais manger confortablement en paix, plutôt qu’avoir du sucre brun, des pruneaux et du fromage, et d’être effrayée par la mort à chaque instant ! »

Ainsi la petite souris des champs retourna chez elle et y passa le reste de sa vie.

 

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L’essentiel, est le contentement intérieur.

Dalaï Lama

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Vous êtes ce que vous dites :


Un jour, dans une ville de l’Ouest américain, un prédicateur dit que celui qui a atteint la Vérité Absolue ou la Connaissance doit rester le même dans toutes les circonstances, il est toujours calme et n’est pas perturbé par les évènements extérieurs.


Quelques cow-boys agressifs entendant ce discours décidèrent de le mettre à l’épreuve. Lorsque le prédicateur arriva dans le village, ils lui demandèrent de se tenir sur un baquet retourné pour s’adresser à l’assemblée.
Le prédicateur accepta et fut vite absorbé par son sujet.


Pendant ce temps, dans les rangs, les cow-boys commencèrent à faire feu. Les balles sifflaient aux oreilles du prédicateur. Le prédicateur n’était pas le moins du monde perturbé ; il continuait son discours avec le même calme qu’il l’avait commencé.

Quand il eut fini, les cow-boys l’entourèrent et, lui tenant les mains dirent : « Vous êtes absolument sincère ; vous faites réellement comme vous dites. »

 

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ycoeur43.gif  Seul un dur chemin permet de gagner la Paix, en éliminant la violence et la cupidité du cœur des individus. ycoeur43.gif

 

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Les deux voyageurs et le fermier :


Un voyageur rencontra un vieux fermier qui binait son champ à côté de la route. Impatient de se reposer les pieds le vagabond héla le paysan qui sembla heureux de redresser son dos et de parler un moment.

« Quelle sorte de gens vivent dans la ville voisine ? » dit l’étranger.

« Comment étaient les gens de l’endroit d’où vous venez? » Réplique le fermier, répondant à la question par une question.

« Ils étaient mauvais, tous faiseurs de trouble et aussi paresseux. C’était les gens les plus égoïstes du monde et on ne pouvait faire confiance à aucun d’entre eux. Je suis heureux d’avoir quitté ces vauriens. »

« S’il en est ainsi » répondit le vieux fermier « Hé bien ! Je crains que vous trouviez les mêmes personnes dans la prochaine ville. »

Désappointé le voyageur poursuivit sa route lourdement.


Un peu plus tard, un autre étranger venant de la même direction, héla le fermier et ils s’arrêtèrent pour parler.

« Quelle sorte de gens vivent dans la ville voisine ? » demanda-t-il.« Comment étaient les gens de l’endroit d’où vous venez ? » Réplique à nouveau le fermier.

« C’était les meilleurs gens du monde. Travaillant dur, honnêtes et amicaux. Je suis peiné de devoir les quitter. »

« Ne craignez rien » dit le fermier « Vous trouverez les mêmes personnes dans la ville voisine »


Souvent les gens que nous rencontrons ne sont que le reflet de notre propre état mental.

 

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ycoeur43.gif   Le secret du bonheur n’est pas de faire ce que l’on aime, mais d’aimer ce que l’on fait. ycoeur43.gif

 

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HOPE (Espoir) ou EPOH


Un matin, alors que je déjeunais, je surpris la conversation de deux cancérologues.

L’un d’eux se plaignait amèrement : « Vous savez Bob, je ne comprends pas. Vous utilisez les mêmes médicaments, le même dosage, le même protocole et les mêmes critères de procédure. Cependant j’obtiens un taux de réaction de 22%, alors que vous, vous en obtenez 74%. C’est incompréhensible pour des métastases cancéreuses. Comment faites-vous ? »

Son collègue répondit : « tous les deux nous utilisons Etoposide, Platinium, Oncovin et Hydroxydurea. Vous l’appelez E.P.O.H., je dis à mes patients que je leur donne H.O.P.E (=Espoir en anglais). Aussi sombres que soient les statistiques, j’insiste sur le fait, nous avons une chance. »

 

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Voir le verre à moitié plein et non le verre à moitié vide.
L’espoir fait vivre


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CHIOTS A VENDRE


Un petit garçon se tenait devant la vitrine d’un marchand. Sur cette vitrine une pancarte annonçait : “Chiots à vendre”.

“Combien vendez-vous les chiots ?” demanda-t-il.
“Entre 30 et 50 €.”, répondit le marchand.

“J’ai 2,37 €”, dit le petit garçon. “Puis-je les voir, s’il vous plaît ?”
Le marchand sourit et siffla : cinq petites boules de poils accoururent du chenil.
À la traîne, loin derrière les autres, l’un des chiots boitait. C’est celui-là que le petit garçon choisit immédiatement. Il dit : “Qu’est-ce qui ne va pas avec ce petit chien ?”

Le marchand expliqua que sa hanche désarticulée ferait toujours de lui un estropié.
Tout excité, le petit garçon dit : “C’est celui-là que je veux !”
“Non, tu ne peux pas acheter ce petit chien”, répondit le marchand, “si tu le veux vraiment, je te le donne”.

Le petit garçon se fâcha. Regardant le marchand droit dans les yeux et indiquant du doigt le petit chien il dit : “Je ne veux pas que vous me le donniez. Ce chiot a autant de valeur que les autres et je vous paierai le prix intégral. Je vous donne tout de suite 2,37 € et je vous donnerai 50 centimes tous les mois jusqu’à ce que j’aie remboursé ma dette.”
Le marchand répliqua : “Tu ne peux vraiment pas acheter ce petit chien. Il ne pourra jamais courir, sauter et jouer avec toi comme les autres chiots.”

Alors, le petit garçon se baissa et remonta la jambe de son pantalon pour laisser voir sa jambe gauche sérieusement déformée, toute tordue, que soutenait un appareil orthopédique. Regardant le marchand, il répondit doucement : “Eh bien ! Moi-même, je ne cours pas très bien et le petit chiot aura besoin de quelqu’un qui le comprenne.”


Moralité : S’il est une chose commune à tous les gens du monde, c’est le besoin d’être aimé. Il n’y a personne qui soit inutile ou peu important, même si, le corps est « estropié » le principe de vie qui est à l’intérieur a une valeur égale aux autres. Tous les jours, faisons en sorte qu’une personne ait le sentiment d’être importante. Que cette personne ressente que quelqu’un l’aime pour l’amour de l’Amour.

 

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LES GENS HEUREUX


Les gens heureux! Ils font du bonheur le but de leur existence, ils recherchent une certaine qualité de vie, plutôt qu'une accumulation de plaisirs.

Ils ont la capacité de changer ce qui peut l'être, mais aussi d'accepter l'inévitable.
Enfin ils ne transforment pas tous leurs désirs en besoins.

Ils choisissent d'être, plutôt que d'avoir et préfèrent l'essentiel à l'accessoire.


Robert Blondin

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La chaîne et le peigne


Il y avait une fois, en quelque lieu du monde, deux époux dont l’amour n’avait pas cessé de grandir depuis le jour de leur mariage.

Ils étaient très pauvres et chacun savait que l’autre portait en son cœur un désir inassouvi :
lui, avait une montre en or et ambitionnait secrètement d’acquérir, un jour, une chaîne du même métal précieux ; elle, avait de grands et beaux cheveux, et rêvait d’un peigne de nacre pour les serrer sur sa nuque.

Avec les années qui passaient, lui, en était venu à penser au peigne plus qu’à la chaîne de montre; cependant qu’elle oubliait la nacre en cherchant comment acheter la chaîne rutilante.
Depuis longtemps, ils n’en parlaient plus, mais leur esprit secrètement nourrissait le projet impossible.


Au matin de leurs noces d’or, le mari eut la stupeur de voir son épouse avancer vers lui, les cheveux coupés.
- Qu’as-tu fait, mon amie ?

Elle ouvrit alors ses mains dans lesquelles brillait la chaîne d’or.
Je les ai vendus pour acheter la chaîne qui accompagnera ta montre.

Ma pauvre amie, s’écria-t-il, en ouvrant ses propres mains dans lesquelles resplendissait la nacre, j’ai vendu la montre pour t’acheter le peigne.

Et de tomber dans les bras l’un de l’autre, dépouillés de tout, riches de leur seul amour.

Gérard Bessières

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ycoeur43.gif  C’est vous qui construisez  votre destinée. Faites le bien, soyez bons et vous obtiendrez le bien en retour. Accomplissez de mauvaises actions et vous récolterez seulement de mauvaises conséquences.ycoeur43.gif

 

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Le voleur de biscuits


Un jour, une dame devait attendre dans une aérogare, car son vol avait quelques heures de retard.
Elle alla dans une boutique pour se trouver un livre, acheta un paquet de biscuits, puis s'assit pour lire.

Bien qu'absorbée dans sa lecture, elle s'aperçut que l'homme à côté d'elle, effronté s'il en fut,
prit un ou deux biscuits dans le paquet posé entre eux.
Elle fit mine de ne rien voir pour éviter un esclandre fâcheux.
Elle lisait, mangeait des biscuits et surveillait le départ des avions, tandis que le «voleur de biscuits» se goinfrait avec ses provisions.


De plus en plus agacée à mesure que le temps passait, elle songea: «Si je n'étais pas si aimable, je le giflerais. »
Chaque fois qu'elle prenait un biscuit, l'homme sans gêne se servait.
Lorsqu'il n'en resta qu'un seul, elle se demanda comment il réagirait.
L'air content, il eut un petit rire nerveux, puis il prit le dernier biscuit et le cassa en deux.
L'homme lui offrit une moitié et mangea sa part.

 Lui arrachant des mains, elle se dit:«Je n'en reviens pas, cet homme a du culot et ne pourrait pas être plus impoli, vraiment, il ne me dit même pas merci! »
Elle ne se rappelait pas avoir été aussi exaspérée.

Aussi soupira-t-elle, soulagée, lorsque son vol fut annoncé. Rassemblant ses affaires, elle partit prendre son avion, sans même regarder l'ingrat voleur de provisions.

Une fois à bord et confortablement installée, elle chercha son livre qu'elle avait presque terminé.
En fouillant dans son sac, elle resta bouche bée, ses biscuits étaient là, sous ses yeux étonnés.
«Si mes biscuits sont ici», pensa-t-elle, désespérée, alors les autres étaient les siens, qu'il a bien voulu partager!»

Trop tard pour s'excuser, elle se rendit compte, malheureuse, que c'était elle l'impolie, l'ingrate, la voleuse!

 

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ycoeur43.gif  L’Amour chante des berceuses, Il calme et apaise. Pratiquez le vocabulaire de l’Amour et n’apprenez pas le langage de la haine et du mépris. ycoeur43.gif

 

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L’Amour des parents est le plus beau des cadeaux


Voici une lettre écrite par un enfant qui ne recherche qu'une seule chose: l'amour de ses parents.


"J'aimerais être Félix, notre petit chat, pour être comme lui pris dans vos bras chaque fois que vous revenez à la maison...

J'aimerais parfois être un baladeur pour me sentir écouté par vous deux, sans aucune distinction, n'ayant que mes paroles au bout des oreilles, fredonnant l'écho de ma solitude...

J'aimerais être un journal pour que vous preniez le temps chaque jour de me demander de mes nouvelles...

J'aimerais être une télévision pour ne jamais m'endormir le soir sans avoir été, au moins une fois, regardé avec intérêt...

J'aimerais être une équipe de hockey pour toi papa, afin de te voir t'exciter de joie après chacune de mes victoires et un roman pour toi maman, afin que tu puisses lire mes émotions...

A y bien penser j'aimerais n’être qu'une chose: un cadeau inestimable pour vous deux!
Ne m'achetez rien pour ma fête. Permettez-moi seulement de sentir que : "JE SUIS VOTRE ENFANT."


Questions :
1) Lorsque l’enfant envie le petit chat, de quelle Valeur parle-t-il ?
2) Lorsque l’enfant à envie d’être écouté de quelle valeur parle-t-il ?
3) Pourquoi l’enfant demande-t-il que l’on s’intéresse à lui ?
4) Vous est-il arrivé de ressentir ce que ressent cet enfant ?

 

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ycoeur43.gif La raison ne peut prévaloir que lorsque les arguments sont avancés sans élever la voix.ycoeur43.gif

 

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Le merveilleux des choses

Kay Challenor


Le marronnier était là depuis aussi longtemps que l’enfant pouvait s’en souvenir. Il était là également depuis aussi longtemps que ses parents pouvaient s’en souvenir et même depuis que les grands-parents de l’enfant se souvenaient avoir joué autour de son tronc, grimpant entre les larges racines noueuses qui se tordaient et s’enroulaient autour de sa base.

Ils avaient eu beaucoup de plaisir à jouer aux pirates, à Robin des Bois et aux animaux sauvages qui vivent au plus profond de la sombre forêt. Tout le temps que les enfants jouaient, l’arbre attendait, en les surveillant. Attendant que chaque génération grandisse et devienne des hommes et des femmes, leur faisant de l’ombre avec les feuilles de ses branches qui passaient successivement du stade de bourgeons verts en un tableau de rouges et d’or selon les saisons.

Maintenant c’était la saison des marrons. Les enfants cherchaient sous l’arbre les coques piquantes pour les ouvrir et découvrir leurs sombres trésors.
« J’en ai trouvé une ! » hurla Timmy brandissant sa trouvaille pour la montrer aux autres « Oh …. ! Quel veinard ! »
Timmy tenait le marron dans sa main. Le soleil se réfléchissait sur la surface marron foncée et elle brillait magnifiquement. Il paraissait presque assez bon pour être mangé.
« Tu es un champion Timmy ! »

Timmy souriait à son frère et mit le gros marron d’Inde dans la poche de son manteau. Les autres avaient trouvé un certain nombre de marrons ; certains en avaient plein un sac. Ils avaient l’âge de participer au championnat annuel des marrons d’Inde de l’école.

Tous les ans, quelques enfants essayaient de trouver la façon de rendre leurs marrons d’Inde plus durs pour résister aux chocs répétés des autres et ainsi devenir le champion du plus fort marron d’Inde. Certains enfants essayaient de sécher ou de cuire leurs marrons et d’autres essayaient même de percer un trou dedans et de le remplir avec du ciment. Cependant, ils ne gagnaient jamais. Il fallait prendre conscience, que les seuls véritables marrons d’Inde champions, poussaient naturellement et faisaient partie des plus gros tombés de l’arbre.

Tim s’assis sur l’une des racines de l’arbre, le dos appuyé contre le tronc. Sa main tenait le marron dans sa poche. Il pouvait sentir la surface lisse contre ses doigts et il savait que c’était un marron exceptionnel.

Deux enfants rejoignirent le groupe, ils avaient déjà ramassé des marrons, mais ils désiraient en avoir plus.
L’un d’eux demanda : « Laisse-moi voir ce que tu as » Il regarda dans le sac qu’on lui montrait. « Il n’y a rien de mieux » il se moquait : « ce sont les plus gros que vous avez ? »
« Non, Timmy a trouvé le plus gros ; il est dans sa poche. »

Renfrogné, le garçon se dirigea alors vers Timmy : « Montre-le-moi » dit-il, lui lançant un regard mauvais.
Timmy tenait fermement le marron dans son poing fermé. Il savait que le garçon était un petit dur et que s’il sortait le marron de sa poche probablement le garçon le lui déroberait.
« Non »

Le garçon lança vers Timmy, un regard avec un éclat de colère sur son visage. Pendant un moment l’atmosphère fut tendue et silencieuse, alors, pour tranquilliser Timmy le garçon dit : « Comme tu veux » et se tournant vers ses compagnons, haussant les épaules : « Cet enfant en a trouvé un énorme. Il doit y en avoir plus d’un, alors, essayons de trouver les autres. »
« Mais nous avons regardé partout. »

Renfrogné à nouveau le plus grand des garçons dit : « Alors allons à l’arbre et secouons-le pour les faire tomber. »
Il chercha un grand bâton et commença à sauter vers les branches qui surplombaient, frappant violemment les marrons jusqu’à ce qu’ils tombent de l’arbre.

Timmy bondit. Avec le dos contre le tronc de l’arbre, il était sûr de sentir les vibrations de l’arbre.
La frustration du plus grand des garçons augmentait. Les marrons étaient hors de portée de son atteinte ou n’étaient pas assez mûrs et tenaient fort aux branches. Il décida alors d’essayer une nouvelle tactique, il réunit des pierres et commença à les lancer sur l’arbre.

Tim sursauta à nouveau il avait senti une profonde vibration sous lui. Il pouvait ressentir la douleur de l’arbre comme une énergie sortant du tronc de l’arbre qui lui piquait le dos.
Il bondit sur ses pieds : « Stop ! »

Surpris par cet éclat, le garçon s’arrêta stupéfait. Le visage de Timmy rougit, quelque chose à l’intérieur de lui, le poussait à agir et à dire ce qu’il pensait : « Tu blesses l’arbre. Ne réalises-tu pas que cet arbre est un organisme vivant et qu’il ressent la douleur ? »

Le garçon se concentra, réfléchit, il ne voulait pas perdre la face devant l’affront d’un enfant et il prit une autre pierre : « Ouais ! C’est sûr cette masse de bois éprouve des sentiments ! » Il leva son bras prêt à lancer son projectile.
Alors une chose ahurissante se produisit.
Une soudaine rafale de vent entoura l’arbre. Cela soufflait à travers les feuilles les faisant bouger et frémir, les branches craquaient et s’entrechoquaient ensemble. L’arbre tout entier apparaissait vivant, une masse vivante d’énergie et sonore.

Le garçon se tenait immobile, ahuri.
« Regarde » dit Timmy « Ce n’est pas parce que l’arbre ne parle pas comme toi et moi, ce n’est pas parce qu’il ne se déplace pas comme toi et moi qu’il ne vit pas et qu’il n’éprouve pas des sentiments. »

Timmy sentit son marron d’Inde grossir dans sa main, il le sortit de sa poche et sans enthousiasme le tendit vers le garçon : « Voici, ne blesse plus jamais aucun arbre et je te donne mon marron. »

Le garçon regarda fixement Timmy tenant le beau marron dans la main. Une partie de lui désirait le prendre, il voyait que c’était un marron extraordinaire qui lui aurait permis de gagner tous les championnats scolaires. Cependant il secoua la tête : « Non-merci Tim, c’est OK. » Il regardait l’arbre immobile, posa sa main sur le tronc, il sentait l’écorce rugueuse où étaient gravés les stigmates de sa croissance, il étudiait le tronc noueux qui lui racontait l’histoire et les expériences de l’arbre. Alors qu’il se concentrait sur l’arbre le garçon devint lui aussi immobile, cloué sur place comme s’il était devenu une partie de l’arbre, une partie de son calme et de ses expériences.

Lentement un large sourire lui éclaira le visage, il semblait heureux et content en retirant sa main. Toute sa colère et ses tensions semblaient être parties : « Ouais ! J’ai senti l’arbre parler. J’ai pu sentir un mouvement subtil sous mes doigts et ma main est devenue chaude. N’est-ce pas ahurissant ! »

Timmy souriait et dit «Pensez que tout ceci est parti d’une seule graine comme celle-ci ! » Il montrait son marron qui scintillait et miroitait : « Magique ! »

Les autres garçons souriaient : « Tim, c’est réellement une beauté. Plante-le et nous attendrons qu’il grandisse. Peut-être que dans le futur, il deviendra aussi grand et immense que cet arbre. »
Timmy accepta : « Faisons-le ! »

L’arbre répondit en faisant bruisser ses feuilles et osciller ses branches d’approbation.


Questions:
1) Pourquoi les enfants ramassent les marrons d’Inde ?
2) Quels sont d’habitude les marrons qui deviennent champion ?
3) Pourquoi les marrons ne tombaient pas de l’arbre, même lorsque le garçon les frappait avec un bâton ou avec des pierres ?
4) Qu’a ressenti l’arbre lorsqu’il fût frappé ?
5) Que dit Timmy au plus grand des garçons ?
6) Que ressentit le plus grand des garçons lorsqu’il toucha l’arbre ?
7) Que décidèrent de faire Timmy et le garçon avec le marron ?
8) Qu’a appris le grand garçon ?
9) Qu’avez-vous ressenti en écoutant cette histoire ?
10 )Est-ce que cela vous rappelle quelque chose dans votre propre vie ?

 

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  ycoeur43.gifLa terre est une grande entreprise, une usine active dont la production est l’Amour. Il est possible de produire de l’Amour et de l’exporter à des millions et des millions de personnes qui en ont besoin. Plus Il est partagé, plus Il devient profond, plus son goût est doux et plus grande est la joie. ycoeur43.gif

 

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Qu’est-ce qu’un ami?

Trudy Road


C’était le calme et la paix dans la classe, certains enfants lisaient pendant que les autres finissaient leur devoir écrit.

Jack, ne se sentait pas très bien. Il avait eu mal au ventre l’avant veille et il ne se sentait pas encore bien, mais il ne voulait pas aller à l’infirmerie de l’école. Il décida de demander à son professeur la permission de rester dans la classe. Le professeur lui demanda s’il voulait s’asseoir sur le coussin dans le coin bibliothèque.

Lorsque le professeur l’avait regardé de son bureau il l’avait vu aider un de ses camarades pour les maths, maintenant il remarquait qu’un autre garçon, Wasim s’était arrêté de faire son travail et s’était assis près de Jack, l’entourant de ses bras et lui parlant gentiment. Wasim prit un livre pour le lire à son ami. Le professeur était heureux de voir un tel comportement attentionné. Il décida de recommander Wasim pour le diplôme du mérite en récompense de l’attitude amicale qu’il avait eu dans la matinée.

A la récréation les enfants sortirent pour jouer. Jack qui se sentait encore malade, resta à l’intérieur. Wasim demanda à rester avec lui.

Le professeur souriait : « Quel ami charmant ! » pensait-il.
Après la récréation, c’était l’heure de l’histoire, que tous les enfants aimaient . Pendant que le professeur choisissait un livre, les enfants s’étaient assis sur le tapis, il remarqua que Jack était allongé sur le coussin du côté le plus éloigné de la pièce et son ami David lui lisait une histoire.
A nouveau le professeur souriait en lui-même : « Un autre enfant attentionné » Il pensait : « manquer l’heure de son histoire pour faire la lecture à son ami malade. Cela fera deux diplômes .»

Wasim et David rirent joyeusement lorsque le professeur leur dirent qu’ils étaient désignés pour le diplôme de camaraderie. Ils étaient surpris aussi, car ils considéraient qu’il était tout à fait normal de s’occuper d’un camarade qui ne se sent pas bien- et maintenant on leur donnait un prix pour cela !

« Quel étrange professeur nous avons ! »Pensèrent-ils en recevant fièrement leur prix.


QUESTIONS:
1) Quel nom donneriez-vous à cette histoire?
2) Pourquoi Jack ne peut-il pas faire son travail ?
3) Que lui dit  le professeur ?
4) Qu’a fait Wasim ?
5) David est-il un bon ami ?
6) Pourquoi Wasim et David s’étonnaient que leur professeur leur discerne le prix de camaraderie pour ce qu’ils avaient fait ?
7) Que ressentez-vous en entendant cette histoire ?
8) Pouvez-vous vous souvenir d’une fois où quelqu’un a été un bon ami pour vous? Et une autre fois?

 

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ycoeur43.gif  Votre futur est façonné par la compagnie avec laquelle vous vous associez. Ainsi, choisissez soigneusement vos amis et ne développez pas un attachement trop fort pour une personne. Soyez gentil avec tout le monde, mais ne permettez pas que votre amitié se transforme en esclavage. ycoeur43.gif

 

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Date de création : 02/02/2006 @ 18:16
Dernière modification : 06/05/2008 @ 15:15
Catégorie : C.R.I.-E.V.H.
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Pensée du jour
 
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L’homme doit toujours avancer vers la force ; il ne devrait pas se réfugier dans le mensonge, la méchanceté et la malhonnêteté qui sont les caractéristiques fondamentales de la lâcheté. Cette lâcheté est née de l’acceptation d’une image fausse et inférieure de nous-même. Vous pensez que vous êtes l’enveloppe, la couche extérieure, mais vous êtes en réalité le noyau, le cœur. Cette fausse identification est l’erreur fondamentale. Tout effort spirituel doit être dirigé vers la suppression de l’enveloppe et la révélation du noyau central. Aussi longtemps que vous dites « Je suis Untel », vous êtes obligé d’avoir peur, mais une fois que vous dites et éprouvez « Je suis Brahman », vous obtenez une force invincible.
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