La bouée de sauvetage
Bouée de sauvetage
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C.R.I.-E.V.H. - n°04 2006 1° Partie
C.R.I. – E.V.H. n° 4 Février 2006
A méditer avec « l’assise silencieuse »
En conclusion : commençons par nous changer nous-même et lorsque le moment sera venu l’entourage suivra.
Il y avait là une petite fille qui avait une jolie voix, aussi lui demanda-t-on de chanter.
Alors soudainement la célèbre chanteuse dit : « Si vous voulez, je vais faire la seconde voix. » Cette chanteuse renommée, au cœur noble, avait accepté de partager sa voix avec la petite fille.
Lorsque la petite souris des villes s’assit pour dîner elle fut surprise de découvrir que la petite souris des champs n’avait rien d’autre à manger que de l’orge et des graines. « En réalité » dit-elle : « Vous ne vivez pas bien du tout, vous devriez voir comment je vis ! J’ai toutes sortes de choses délicates à manger, tous les jours. Vous devriez me rendre visite et voir combien il est agréable de vivre à la ville. »
« Qu’est-ce que c’est ? » dit la souris des champs. La souris des villes chuchota seulement : « Chut ! » et elle courut aussi vite qu’elle put vers le trou. La souris des champs courut aussi, vous pouvez le croire, aussi vite qu’elle put. Aussitôt qu’elles furent hors de danger, la souris des villes dit : « C’était la vieille chatte, c’est la meilleure : « souricière » de la ville, si elle vous attrape, vous êtes perdue. » « Ceci est vraiment terrible » dit la petite souris des champs, « Nous ne retournerons plus dans le placard. »
Cette si bonne odeur montait à la tête de la petite souris des champs. Elle courrait le long de l’étagère, elle grignotait un petit morceau de fromage par ci, un peu de beurre par là, lorsqu’elle aperçut un morceau de fromage sentant délicieusement bon, posé bizarrement dans un coin. Elle allait mettre les dents dans le fromage lorsque la souris des villes la vit : « Stop, stop ! »cria la souris des villes : « C’est un piège ! » La petite souris de campagne s’arrêta et dit : « Qu’est-ce que c’est qu’un piège ? » Ainsi la petite souris des champs retourna chez elle et y passa le reste de sa vie.
Dalaï Lama
Quand il eut fini, les cow-boys l’entourèrent et, lui tenant les mains dirent : « Vous êtes absolument sincère ; vous faites réellement comme vous dites. »
« Quelle sorte de gens vivent dans la ville voisine ? » dit l’étranger. « Comment étaient les gens de l’endroit d’où vous venez? » Réplique le fermier, répondant à la question par une question. « Ils étaient mauvais, tous faiseurs de trouble et aussi paresseux. C’était les gens les plus égoïstes du monde et on ne pouvait faire confiance à aucun d’entre eux. Je suis heureux d’avoir quitté ces vauriens. » « S’il en est ainsi » répondit le vieux fermier « Hé bien ! Je crains que vous trouviez les mêmes personnes dans la prochaine ville. » Désappointé le voyageur poursuivit sa route lourdement.
« Quelle sorte de gens vivent dans la ville voisine ? » demanda-t-il.« Comment étaient les gens de l’endroit d’où vous venez ? » Réplique à nouveau le fermier. « C’était les meilleurs gens du monde. Travaillant dur, honnêtes et amicaux. Je suis peiné de devoir les quitter. » « Ne craignez rien » dit le fermier « Vous trouverez les mêmes personnes dans la ville voisine »
L’un d’eux se plaignait amèrement : « Vous savez Bob, je ne comprends pas. Vous utilisez les mêmes médicaments, le même dosage, le même protocole et les mêmes critères de procédure. Cependant j’obtiens un taux de réaction de 22%, alors que vous, vous en obtenez 74%. C’est incompréhensible pour des métastases cancéreuses. Comment faites-vous ? » Son collègue répondit : « tous les deux nous utilisons Etoposide, Platinium, Oncovin et Hydroxydurea. Vous l’appelez E.P.O.H., je dis à mes patients que je leur donne H.O.P.E (=Espoir en anglais). Aussi sombres que soient les statistiques, j’insiste sur le fait, nous avons une chance. »
“Combien vendez-vous les chiots ?” demanda-t-il. “J’ai 2,37 €”, dit le petit garçon. “Puis-je les voir, s’il vous plaît ?” Le marchand expliqua que sa hanche désarticulée ferait toujours de lui un estropié. Le petit garçon se fâcha. Regardant le marchand droit dans les yeux et indiquant du doigt le petit chien il dit : “Je ne veux pas que vous me le donniez. Ce chiot a autant de valeur que les autres et je vous paierai le prix intégral. Je vous donne tout de suite 2,37 € et je vous donnerai 50 centimes tous les mois jusqu’à ce que j’aie remboursé ma dette.” Alors, le petit garçon se baissa et remonta la jambe de son pantalon pour laisser voir sa jambe gauche sérieusement déformée, toute tordue, que soutenait un appareil orthopédique. Regardant le marchand, il répondit doucement : “Eh bien ! Moi-même, je ne cours pas très bien et le petit chiot aura besoin de quelqu’un qui le comprenne.”
Ils ont la capacité de changer ce qui peut l'être, mais aussi d'accepter l'inévitable. Ils choisissent d'être, plutôt que d'avoir et préfèrent l'essentiel à l'accessoire.
Ils étaient très pauvres et chacun savait que l’autre portait en son cœur un désir inassouvi : Avec les années qui passaient, lui, en était venu à penser au peigne plus qu’à la chaîne de montre; cependant qu’elle oubliait la nacre en cherchant comment acheter la chaîne rutilante.
Elle ouvrit alors ses mains dans lesquelles brillait la chaîne d’or. Ma pauvre amie, s’écria-t-il, en ouvrant ses propres mains dans lesquelles resplendissait la nacre, j’ai vendu la montre pour t’acheter le peigne. Et de tomber dans les bras l’un de l’autre, dépouillés de tout, riches de leur seul amour. Gérard Bessières
Bien qu'absorbée dans sa lecture, elle s'aperçut que l'homme à côté d'elle, effronté s'il en fut,
Lui arrachant des mains, elle se dit:«Je n'en reviens pas, cet homme a du culot et ne pourrait pas être plus impoli, vraiment, il ne me dit même pas merci! » Aussi soupira-t-elle, soulagée, lorsque son vol fut annoncé. Rassemblant ses affaires, elle partit prendre son avion, sans même regarder l'ingrat voleur de provisions. Une fois à bord et confortablement installée, elle chercha son livre qu'elle avait presque terminé. Trop tard pour s'excuser, elle se rendit compte, malheureuse, que c'était elle l'impolie, l'ingrate, la voleuse!
J'aimerais parfois être un baladeur pour me sentir écouté par vous deux, sans aucune distinction, n'ayant que mes paroles au bout des oreilles, fredonnant l'écho de ma solitude... J'aimerais être un journal pour que vous preniez le temps chaque jour de me demander de mes nouvelles... J'aimerais être une télévision pour ne jamais m'endormir le soir sans avoir été, au moins une fois, regardé avec intérêt... J'aimerais être une équipe de hockey pour toi papa, afin de te voir t'exciter de joie après chacune de mes victoires et un roman pour toi maman, afin que tu puisses lire mes émotions... A y bien penser j'aimerais n’être qu'une chose: un cadeau inestimable pour vous deux!
Kay Challenor
Ils avaient eu beaucoup de plaisir à jouer aux pirates, à Robin des Bois et aux animaux sauvages qui vivent au plus profond de la sombre forêt. Tout le temps que les enfants jouaient, l’arbre attendait, en les surveillant. Attendant que chaque génération grandisse et devienne des hommes et des femmes, leur faisant de l’ombre avec les feuilles de ses branches qui passaient successivement du stade de bourgeons verts en un tableau de rouges et d’or selon les saisons. Maintenant c’était la saison des marrons. Les enfants cherchaient sous l’arbre les coques piquantes pour les ouvrir et découvrir leurs sombres trésors. Timmy souriait à son frère et mit le gros marron d’Inde dans la poche de son manteau. Les autres avaient trouvé un certain nombre de marrons ; certains en avaient plein un sac. Ils avaient l’âge de participer au championnat annuel des marrons d’Inde de l’école. Tous les ans, quelques enfants essayaient de trouver la façon de rendre leurs marrons d’Inde plus durs pour résister aux chocs répétés des autres et ainsi devenir le champion du plus fort marron d’Inde. Certains enfants essayaient de sécher ou de cuire leurs marrons et d’autres essayaient même de percer un trou dedans et de le remplir avec du ciment. Cependant, ils ne gagnaient jamais. Il fallait prendre conscience, que les seuls véritables marrons d’Inde champions, poussaient naturellement et faisaient partie des plus gros tombés de l’arbre. Tim s’assis sur l’une des racines de l’arbre, le dos appuyé contre le tronc. Sa main tenait le marron dans sa poche. Il pouvait sentir la surface lisse contre ses doigts et il savait que c’était un marron exceptionnel. Deux enfants rejoignirent le groupe, ils avaient déjà ramassé des marrons, mais ils désiraient en avoir plus. Renfrogné, le garçon se dirigea alors vers Timmy : « Montre-le-moi » dit-il, lui lançant un regard mauvais. Le garçon lança vers Timmy, un regard avec un éclat de colère sur son visage. Pendant un moment l’atmosphère fut tendue et silencieuse, alors, pour tranquilliser Timmy le garçon dit : « Comme tu veux » et se tournant vers ses compagnons, haussant les épaules : « Cet enfant en a trouvé un énorme. Il doit y en avoir plus d’un, alors, essayons de trouver les autres. » Renfrogné à nouveau le plus grand des garçons dit : « Alors allons à l’arbre et secouons-le pour les faire tomber. » Timmy bondit. Avec le dos contre le tronc de l’arbre, il était sûr de sentir les vibrations de l’arbre. Tim sursauta à nouveau il avait senti une profonde vibration sous lui. Il pouvait ressentir la douleur de l’arbre comme une énergie sortant du tronc de l’arbre qui lui piquait le dos. Surpris par cet éclat, le garçon s’arrêta stupéfait. Le visage de Timmy rougit, quelque chose à l’intérieur de lui, le poussait à agir et à dire ce qu’il pensait : « Tu blesses l’arbre. Ne réalises-tu pas que cet arbre est un organisme vivant et qu’il ressent la douleur ? » Le garçon se concentra, réfléchit, il ne voulait pas perdre la face devant l’affront d’un enfant et il prit une autre pierre : « Ouais ! C’est sûr cette masse de bois éprouve des sentiments ! » Il leva son bras prêt à lancer son projectile. Le garçon se tenait immobile, ahuri. Timmy sentit son marron d’Inde grossir dans sa main, il le sortit de sa poche et sans enthousiasme le tendit vers le garçon : « Voici, ne blesse plus jamais aucun arbre et je te donne mon marron. » Le garçon regarda fixement Timmy tenant le beau marron dans la main. Une partie de lui désirait le prendre, il voyait que c’était un marron extraordinaire qui lui aurait permis de gagner tous les championnats scolaires. Cependant il secoua la tête : « Non-merci Tim, c’est OK. » Il regardait l’arbre immobile, posa sa main sur le tronc, il sentait l’écorce rugueuse où étaient gravés les stigmates de sa croissance, il étudiait le tronc noueux qui lui racontait l’histoire et les expériences de l’arbre. Alors qu’il se concentrait sur l’arbre le garçon devint lui aussi immobile, cloué sur place comme s’il était devenu une partie de l’arbre, une partie de son calme et de ses expériences. Lentement un large sourire lui éclaira le visage, il semblait heureux et content en retirant sa main. Toute sa colère et ses tensions semblaient être parties : « Ouais ! J’ai senti l’arbre parler. J’ai pu sentir un mouvement subtil sous mes doigts et ma main est devenue chaude. N’est-ce pas ahurissant ! » Timmy souriait et dit «Pensez que tout ceci est parti d’une seule graine comme celle-ci ! » Il montrait son marron qui scintillait et miroitait : « Magique ! » Les autres garçons souriaient : « Tim, c’est réellement une beauté. Plante-le et nous attendrons qu’il grandisse. Peut-être que dans le futur, il deviendra aussi grand et immense que cet arbre. » L’arbre répondit en faisant bruisser ses feuilles et osciller ses branches d’approbation.
Trudy Road
Jack, ne se sentait pas très bien. Il avait eu mal au ventre l’avant veille et il ne se sentait pas encore bien, mais il ne voulait pas aller à l’infirmerie de l’école. Il décida de demander à son professeur la permission de rester dans la classe. Le professeur lui demanda s’il voulait s’asseoir sur le coussin dans le coin bibliothèque. Lorsque le professeur l’avait regardé de son bureau il l’avait vu aider un de ses camarades pour les maths, maintenant il remarquait qu’un autre garçon, Wasim s’était arrêté de faire son travail et s’était assis près de Jack, l’entourant de ses bras et lui parlant gentiment. Wasim prit un livre pour le lire à son ami. Le professeur était heureux de voir un tel comportement attentionné. Il décida de recommander Wasim pour le diplôme du mérite en récompense de l’attitude amicale qu’il avait eu dans la matinée. A la récréation les enfants sortirent pour jouer. Jack qui se sentait encore malade, resta à l’intérieur. Wasim demanda à rester avec lui. Le professeur souriait : « Quel ami charmant ! » pensait-il. Wasim et David rirent joyeusement lorsque le professeur leur dirent qu’ils étaient désignés pour le diplôme de camaraderie. Ils étaient surpris aussi, car ils considéraient qu’il était tout à fait normal de s’occuper d’un camarade qui ne se sent pas bien- et maintenant on leur donnait un prix pour cela ! « Quel étrange professeur nous avons ! »Pensèrent-ils en recevant fièrement leur prix.
Date de création : 02/02/2006 @ 18:16
Dernière modification : 06/05/2008 @ 15:15
Catégorie : C.R.I.-E.V.H.
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| Pensée du jour
L’homme doit toujours avancer vers la force ; il ne devrait pas se réfugier dans le mensonge, la méchanceté et la malhonnêteté qui sont les caractéristiques fondamentales de la lâcheté. Cette lâcheté est née de l’acceptation d’une image fausse et inférieure de nous-même. Vous pensez que vous êtes l’enveloppe, la couche extérieure, mais vous êtes en réalité le noyau, le cœur. Cette fausse identification est l’erreur fondamentale. Tout effort spirituel doit être dirigé vers la suppression de l’enveloppe et la révélation du noyau central. Aussi longtemps que vous dites « Je suis Untel », vous êtes obligé d’avoir peur, mais une fois que vous dites et éprouvez « Je suis Brahman », vous obtenez une force invincible.
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